recueil os harry potter

Os n°14: Un Nouveau Chapitre

C'était un après-midi ensoleillé à Pré-au-Lard, et une douce brise soufflait sur les rues pavées. Hermione Granger flânait dans le village, savourant la beauté du moment. Après la guerre, elle avait pris du temps pour elle, cherchant à redécouvrir ce qu'elle aimait.

Elle s'arrêta devant la boutique de farces et attrapes des jumeaux Weasley, "Weasleys' Wizard Wheezes". Un sourire se dessina sur son visage en repensant à toutes les fois où elle avait ri des inventions de Fred et George.

En poussant la porte, elle fut accueillie par le bruit des clochettes et l'odeur des bonbons. George, qui était derrière le comptoir, leva les yeux et lui adressa un sourire radieux.

George : (sincèrement) Hermione ! Quelle surprise ! Que fais-tu ici ?

Hermione : (souriante) Juste une petite promenade. Je voulais voir comment allait la boutique.

George s'approcha d'elle, un éclat malicieux dans les yeux.

George : (taquin) Tu sais, si tu veux un bonbon explosif, je peux t'en offrir un en guise de remerciement pour ta visite.

Hermione : (riant) Non, merci. Je préfère garder mes cheveux en place aujourd'hui !

Ils échangèrent des rires, et une complicité palpable s'installa entre eux. Après un moment de discussion sur les nouveautés de la boutique, George la conduisit à l'arrière, où il avait installé un petit espace de détente.

George : (gesticulant) Regarde, j'ai créé un coin tranquille pour que les clients puissent se reposer. Qu'en penses-tu ?

Hermione : (impressionnée) C'est adorable ! Tu as vraiment un talent pour créer une atmosphère accueillante.

Alors qu'ils s'installaient sur des chaises confortables, George observa Hermione avec attention. Il avait toujours admiré sa détermination et son intelligence, mais il commençait à ressentir quelque chose de plus fort.

George : (hésitant) Tu sais, depuis la guerre, j'ai réalisé à quel point il est important d'apprécier les gens autour de nous. Et… je me rends compte que j'apprécie beaucoup ta présence.
Hermione, surprise par ses mots, le regarda dans les yeux.

Hermione : (sincèrement) Moi aussi, George. Je t'ai toujours admiré, ta capacité à faire rire les gens même dans les moments difficiles.

Il y eut un silence, une tension douce et légèrement électrique. George se leva et s'approcha d'elle, son regard sérieux.

George : (avec passion) J'aimerais que tu saches que j'aimerais passer plus de temps avec toi, pas seulement en tant qu’amis.

Hermione : (battant des cils) Tu veux dire… ?

George : (prenant une grande respiration) Oui, je pense qu'il est temps pour moi de te dire que j’ai des sentiments pour toi. Je veux qu'on explore cela ensemble.

Hermione sentit son cœur s'emballer. Elle avait toujours eu une affection particulière pour George, mais elle n’avait jamais osé y penser sérieusement.

Hermione : (souriante) Je suis heureuse de l'entendre. J'ai aussi commencé à ressentir quelque chose de plus fort pour toi.

George, un sourire éclatant sur le visage, s'approcha encore plus près.
George : (avec un doux sourire) Alors, que dirais-tu d'un rendez-vous ? Juste toi et moi, sans farces ni distractions ?

Hermione : (enjouée) J'adorerais ça.
Leurs yeux se croisèrent, et dans cet instant, le monde autour d'eux sembla disparaître. George s'avança lentement et prit la main d'Hermione, l’enlaçant délicatement.

George : (avec tendresse) Je suis impatient de commencer ce nouveau chapitre avec toi.

Hermione : (sincèrement) Moi aussi, George. Je sens que cela pourrait être quelque chose de spécial.

Ils échangèrent un regard complice, puis George se pencha légèrement et l'embrassa doucement sur les lèvres. Le baiser était tendre et prometteur, une nouvelle étape dans leur relation.
En se retirant, Hermione ne put s'empêcher de sourire.

Hermione : (espiègle) Et si ça ne fonctionne pas, je pourrais toujours te lancer un sort de désenvoûtement.

George : (riant) Je prendrai le risque. Avec toi, je suis prêt à tout.

Ils continuèrent à discuter, à rire et à se découvrir mutuellement, savourant la magie d’un nouvel amour qui naissait. Dans ce petit coin de Pré-au-Lard, ils savaient qu'ils avaient trouvé quelque chose de précieux, un lien qui les unirait pour les années à venir.