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Yeraz
Ces lèvres, ces yeux, son odeur, tous sa me rends fou. Elle me regarde comme si j'étais un grand prédateur, c'est marrant a vrai dire.
Lyssa : Yeraz, dégage !
Moi : Tu ne veux pas m'embrasser ?
Dis-je en rigolant.
Elle me regard comme si elle allait m'arracher les yeux. Je sais bien qu'elle essaie seulement de me résister, mais un jour elle sera toute à moi.
Ces yeux sont magnifiques, son œil droit est d'un marron noisette alors que l'autre est d'un marron foncé.
Lyssa : T'as fini de me regarder ?
Moi : T'es vraiment casse couille.
La provocation, oui j'aime sa.
Lyssa : Il est presque minuit.
Je rapproche mon visage du sien, je peux sentir son souffle chaud se mélanger au mien. J'attrape ses poignets et les relèvent au dessus de sa tête.
Moi : T'as aucun moyen d'échappatoire.
Elle essaie de se débattre, en vain.
Lyssa : Tu n'es qu'un enfoiré !
Moi : On me le dit souvent.
Soudain, un de mes homme nommé Jake vient toquer à la porte.
Jake : Boss, Mademoiselle Darlynn vous attend.
Je me relève et replace correctement ma cravate. Je me dirige vers la sortie de la chambre, je m'arrête et me retourne face à Lyssa.
Moi : N'essaie pas d'écouter au porte.
Lyssa : Et si je le fais ?
Moi : Je m'occuperai personnellement de ton cas.
Je lui adresse un sourire en coin et me retourne pour sortir de la piece.
Quelques minutes plus tard
Je suis installer dans mon fauteuil noir en cuir. La demoiselle, Anna Darlynn, me fait face.
Anna : Écoute Yeraz, c'est quand que toi et moi nous pouvons nous fiancer ?
Je serre les poings, cette femme m'exaspère. Sa famille veut qu'elle m'épouse et elle n'a pas l'air dérangé à cette idée, alors que moi c'est hors de question. Je m'en bas les couilles de cette fille pourrie gaté.
Moi : Écoute moi bien, tu n'es qu'une pourrie gâtée par tes parents.
Anna : Mais Yeraz, pourquoi tu réagis comme sa ? Je t'aime moi.
Moi : Et bien moi non ! Maintenant casse toi de ma baraque !
Elle soupire et commence à me regarder comme si une idée malicieuse est apparu soudainement. Elle s'approche de moi, elle ouvre un peu plus son décolté en voulant me montrer ses seins. Je ne baisse pas les yeux et reste concentré sur son regard seulement.
Anna : Alors prends moi seulement pour une nuit et j'épargne mon père en lui disant que tout est arrangé et que ce mariage est annulé.
Je contracte la mâchoire. Je veux que ce mariage me laisse enfin en paix mais d'un autre côté, je n'aurai plus de raison de garder avec moi Lyssa. Et si elle apprenait que ce mariage a été anulée et que je l'ai gardé avec moi pour rien. Elle me détestera.
Anna : Alors Yeraz ?
Elle a peut être des courbes mais celle de Lyssa sont bien meilleures et de loin.
Je ricane à ma pensée déplacé.
Anna : Quesque tu as ?
Moi : Seulement une pensée drôle.
Anna : Bon je ne vais pas coucher la Yeraz ! Décide toi !
Mon esprit est embrouillé.
Je la regarde puis mon regard descend sur sa poitrine.
Anna : S'il te plaît Yeraz...
Lyssa
Je me balade dans la villa, tout à l'air calme. Je me demande bien quel est son métier pour avoir une si grande baraque. Je lui demanderai bien.
J'avance un peu plus dans les couloirs de la villa jusqu'à entendre des bruits dans une piece. Ma curiosité me dit de regarder ce qui se passe. Bien évidemment je le fais.
Mon cœur rate un battement en voyant Yeraz entrain de baiser une femme sur son bureau. Je peux reconnaître que sa a l'air violent et intense vu comment celle ci crie.
Ce n'est qu'un enculé qui fait sa à toutes les filles qu'y croise. Il me répugne.
Je décide de vite repartir dans ma chambre.
Quelques minutes plus tard
Je ne lui laisserai en aucun cas m'approcher. Malgré ce contract rien ne m'empêche de le repousser. Rien que de revoir les imagines leur partie de jambes en l'air me répugne.
Je vais fermer les yeux pour oublier cela.
Je m'endors pour évaporer toute pensées.
Lendemain,
10h40
J'ouvre difficilement les yeux, la lumière du soleil m'éblouie. Je regarde autour de moi et à la plus grande surprise, Yeraz est à côté de moi. Je suis persuadée d'avoir dormie seule. Ce salit s'est introduit dans ma chambre.
J'ai oublié que c'était suand même chez lui. Merde. Mais quand même, il n'a pas de respect.
J'approche mon visage du sien. N'empêche il a l'air paisible quand il dort. Ses traits sur son visage sont bien défini.
Soudain, il ouvre les yeux. Gênée je sursaute et bascule en arrière pour tomber du lit. Mais Yeraz me rattrape avant.
Yeraz : Tu ne fais vraiment pas attention putain.
Moi : Hum merci.
Il me regarde et affiche un sourire en coin.
Yeraz : J'aurai préféré que tu m'embrasses pour me remercier.
