Sous le poids de l'enfer familial

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Les jours passent et je veux déjà disparaître. Chaque jour, je me demande pourquoi cela m'arrive. Les rapports intime devient un supplice pour moi . Il n'y de douceur, ni de caresses à chaque fois , j'essaye de l'éviter mais il me répète toujours:
— une femme ne dois pas se refuser à son mari sinon il sera maudite par les Anges .
Donc je n'es  pas le choix que de le laisse faire .le seule mots « doux » qu'il me dit c'est d'ouvrir les jambes et de me taire pendant les rapports intimes. Il m'interdit de sortir ou même de parler à la voisine sur prétexte qu'elle est pas marié et pourrai m'influencer.  Un jour, j'ai pris mon courage à deux mains et je lui ai demandé si je pouvais reprendre mes études. Mais je connaissais déjà sa réponse :
— La place de la femme, c'est dans son foyer, pas à l'école. L'école ne fait que vous pervertir.
Il m'interdit tout, même de lire un livre. J'ai l'impression de vivre dans une prison. Un jour, il a levé la main sur moi parce que j'avais trop salé son plat. Ce jour-là, j'ai fui chez mes parents, espérant y trouver du soutien. Mais mon père m'a chassée en disant qu'il n'avait plus de fille et que je devais retourner dans mon foyer, car je n'étais plus la bienvenue. Ma mère n'a rien dit. Mes propres parents m'ont trahie. Je me sens seule au monde et incomprise. Je prie pour ne pas tomber enceinte dans ce mariage, car avec un enfant, je ne pourrais jamais m'enfuir de cet enfer. J'ai réussi à me procurer des pilules contraceptives, que j'ai cachées là où il ne pourra jamais les trouver.
Mais  j'ai peur qu'il fini par remarquer que, mois après mois, je ne tombais toujours pas enceinte.
Aujourd'hui , comme d'habitude, mon mari est partie travailler tôt le matin. A la maison, seule, je ne pouvais plus supporter les murs qui m'etouffaient. Alors, jai décidé d'aller rendre Visite à ma voisine.malgré qu'il m'a interdit de le voir  Elle est si gentille, si chaleureuse. Elle est la seule avec qui je me sens un peu libre, même si elle ne sait rien de l'enfer que je vis.
Quand je suis arrivée chez elle, elle m'accueillie avec un sourire. Nous avons discuté de tout et de rien.
Pendant un instant, j'ai réussi à oublier ma douleur, ma peur mon mari. Mais le temps a filé. Je n'ai pas vu l'heure passer. Il était déjà 18h Mon cœur s'est serré quand j'ai réalisé qu'il devait être rentré . Le chemin du retour ma semblé interminable. Chaque pas m'éloigner de ce petit moment de répitet me rapprochait de la tempête qui m'attendait. J'avais la boule au ventre, cherchant desesperement une excuse.  Quand j'ai ouvert la porte, il etais déjà là, son visage sombre et fermé m'a glacée. Avant même que je ne puisse dire un mot, sa main est partie. Une gifle brutale, si forte que, elle m'a fait tomber par terre.  -Tu etais ou? Qui t'a donné l'autorisation de sortir de cette maison ?
Je voulais répondre, mais ma voix était bloqué. Les larmes coulaient deja
—les anges maudissent les femme qui sort de la maison sans l'autorisation de leur mari.
Il m'a attrape par les cheveux et m'a trainée jusqu'à la chambre. La, les coups ont commencé à pleuvoir. Ses poings, ses pieds, tout ce qu'il pouvais utiliser J'avais tellement mal que je ne pouvais plus bouger. Je suis restee la, recroquevillée sur le sol, attendant qu'il s'arrête, qu'il se fatigue.

Vendu à mon père a un inconnu :mon  mariage forcéWhere stories live. Discover now