Coucouu tout le monde, bonne année. Meilleurs vœux et joyeux Noël en retard, j'espère que ce chapitre vous plaira ;)Marine se réveilla le lendemain, complètement crevé par les évènements des dernières semaines, elle sentit les mains de Jordan, lui caresser les hanches doucement. Elle ouvrir petit à petit les yeux, les habituants à la lumière qui commençait tout juste à entrer par les fenêtres de la chambre.
« bonjour mon amour,» dit-il, en lui embrassant le front, « bien dormi ? »
« bonjour » répondit-elle, la voix encore enrouer par le sommeille. « aussi bien qu'on puisse le faire au vu des circonstances. Et toi ? »
« tant que tu es dans mes bras, tout va bien. » dit-il en passant ses mains sur le bas de son dos, faisant des petites caresses.
Il sentait Marine sourire dans son cou tout en y déposant quelques baisers à intervalle régulier.
« il est quelle heure ? » demanda-t-elle sa voix étouffée contre son corps.
« je crois qu'il est à peu près six heures moins quinze. »
« je dois me lever alors, j'ai plein de réunions avec l'équipe pour préparer mon discours de ce soir. »
« Mm... j'ai pas envie que tu partes » dit-il, en la serrant encore plus dans ses bras.
« Mmh.. J'ai pas envie de partir non plus, mais il faut être réaliste le pays est dans un état pas possible, les Français ont besoin d'être rassurés, et ils ont surtout besoin qu'on se batte pour eux et c'est ce que je compte faire. » répondit-elle d'une voix déterminée, en levant doucement la tête pour qu'il puisse se regarder dans les yeux.
« j'ai confiance en toi Marine, tu as été parfaite jusque-là, et tu continueras toujours à l'être, je le sais, et tous les Français le savent au fond d'eux même. » dit-il en déposant un chaste te baiser sur ses lèves puis sur son front.
Il savait que Marine était gênée quand il la complimenter comme ça, elle détestait avoir autant de reconnaissance pour ce genre de choses. Alors elle détourna légèrement les yeux avant de changer de sujet :
« et toi ton interview c'est à 20h40 non ? »
« ouais, je dois être dans les locaux de France 2 à 20h15. Et toi tu iras à quelle heure sur le plateau de CNews ? »
« j'irai à 18h avec Tanguy, vu que l'interview est à 19h. »
« Macron va parler à 20h. » dit-il en lui caressant les cheveux.
« je sais. » répondit-elle avec un soupir. « allez, on se lève Monsieur ! » dit-elle en lui tapant les hanches.
Jordan ne s'y attendant pas sursaute au contact de sa main froide sur sa peau nu. puis frémit sentant son toucher faire réagir quelque chose en lui.
Marine essaya de partir, mais c'était sans compter Jordan, qui lui avait une autre idée en tête.
Encore assis sur le lit, il lui prit la main lorsqu'elle passait à côté et la fit tombée sur lui.
« j'ai envie de toi. » dit-il d'une voix mielleuse. « ça fait trop longtemps qu'on a pas pu être seul comme ça »
« Jordan...on n'a pas le temps.. » répondit-t-elle en regardant ses lèvres, sentant déjà le membre dur qui touchais sa cuisse.
« il est encore tôt.... » souffle-t-il.
Et avant qu'elle ne puisse répondre, il l'attira dans un baiser profond, passant ses mains autour de ses hanches, tout en exerçant des mouvements de langue fréquent sur ses lèvres.
Ses doigts glissèrent le long de son dos, traçant des cercles paresseux sur sa peau. Marine sentit un frisson la parcourir, sa volonté de résister s'étiolant à mesure que les gestes de Jordan devenaient plus insistants.
Il la fit basculer doucement, inversant leurs positions, et plongea son visage dans le creux de son cou. Ses lèvres laissèrent une traînée de baisers légers sur sa peau, comme s'il voulait graver chaque centimètre d'elle dans sa mémoire.
Marine ferma les yeux, ses mains trouvant instinctivement le chemin jusqu'aux épaules de Jordan. Elle sentit ses baisers devenir plus pressants, son souffle se mêlant au sien, et une chaleur familière envahir son corps.
« Jordan... », murmura-t-elle, ses doigts se crispant légèrement contre lui.
Il releva la tête juste assez pour croiser son regard.
« Dis-moi d'arrêter, Marine, » dit-il dans un murmure rauque. « Si tu veux vraiment partir, dis-le maintenant. »
Mais au lieu de répondre, elle l'attira à elle, scellant leurs lèvres dans un baiser qui dissipait toute hésitation.
Le souffle de Marine s'accéléra légèrement alors que Jordan la maintenait contre lui. Leur peau était en contact direct, et cette proximité, ces gestes aussi simples qu'un frôlement, étaient chargés d'une énergie presque palpable. Leurs corps semblaient se comprendre, se désirer sans mots, dans un silence où seul le bruit de leurs respirations s'intensifiait.
Jordan s'inclina vers elle, sa main glissant délicatement sur son dos nu, le toucher léger, explorateur, presque hésitant, comme s'il cherchait à la sonder avant de s'avancer davantage. Il sentit les muscles de Marine se détendre sous ses caresses, une invitation silencieuse à aller plus loin.
« Tu sais que je t'aime, Marine, » murmura-t-il dans un souffle presque inaudible.
Elle ferma les yeux, les battements de son cœur se faisant plus forts, plus irréguliers. L'expression de son visage trahissait un mélange de désir, mais aussi d'une certaine vulnérabilité
« Je le sais, » répondit-elle doucement, une chaleur envahissant ses joues. « Et moi aussi, je... »
Mais avant qu'elle n'ait pu terminer sa phrase, Jordan la fit se pencher vers lui, capturant ses lèvres dans un baiser léger, mais qui se transforma rapidement en quelque chose de plus pressant, plus impétueux. Il n'y avait pas de retour possible maintenant. Leurs baisers étaient intenses, affamés, et chaque mouvement, chaque frôlement entre eux semblait alimenter cette tension inexorable qui les attirait l'un vers l'autre.
Jordan effleura doucement la courbe de son cou, sentant Marine frissonner sous ses doigts. Ses lèvres se déplaçaient lentement, avec une sensualité qui contrastait avec la passion dévorante qui se lisait dans ses gestes. Il la sentit se tendre et se détendre à chaque caresse, comme une corde prête à se briser sous la pression de ce désir qu'ils avaient tous les deux du mal à contenir.
Marine plongea ses doigts dans les cheveux de Jordan, l'attirant encore plus près d'elle, son corps se pressant contre le sien. Il sentit la chaleur de sa peau, le rythme effréné de son cœur contre le sien, et la tension dans l'air devenait presque insoutenable.
Elle laissa sa main glisser lentement, suivant le contour de ses muscles, prenant son temps, savourant chaque mouvement. La tendresse de ce geste contrastait avec la chaleur qui montait en elle, une chaleur qu'elle n'avait pas l'habitude de ressentir aussi intensément.
Jordan ferma les yeux, se mordillant légèrement la lèvre inférieure sous l'effet de la douce pression qu'elle exerçait sur lui.
Ils étaient là, suspendus dans ce moment d'attente, ce moment où tout semblait possible. Puis, doucement, mais avec une certitude brûlante, Jordan l'attira à lui, leurs corps se mêlant dans une danse silencieuse où chaque mouvement, chaque respiration devenait un jeu sensuel, un échange intime.