J'ai retrouver mon amour

Une disparition innatendue

Jean était plus là depuis deux jours. J'étais aller au commissariat pour prévenir sa disparition mais ils m'ont dit qu'ils s'occupent de tout. J'ai appelé Marc. Je ne savais pas quoi lui dire au téléphone. J'étais trop gêné.

«  Allô ?

- Qui est-ce ?

- C'est Hélène.

- Oh ! Salut Hélène, comment vas-tu ?

- Eh bien, mal. Très mal.

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Je sais pas si je te le dis car tu vas être sûrement énervé.

- Dit le moi !

- C'est vrai, il faut te dire ce qui se passe. Je t'ai pas appelé pour rien, non ? Voilà, c'est à propos de Jean.

- T'inquiète pas. Tu peux me parlé de lui. Je ne suis plus en colère contre vous. C'est grâce à vous que j'ai rencontrer quelqu'un.

- Est-ce que ce serait la femme que tu as bousculé.

- Oui. Elle s'appelle Claude. C'est une femme super ! Elle est drôle, intelligente, belle. Elle a toutes les qualités que je cherchais. En fait, tu m'a donner un sacré coup de pouce ! Bon je vais arrêter de parler de ma copine, parlons de ton problème. Qu'est-ce qui se passe ?

- Eh bien, le lendemain de notre rendez-vous, il n'était plus là. Alors j'ai attendu et il n'est toujours pas rentré. Je suis aller voir le commissariat. Et là... je... j'ai peur.

- Écoute. Déjà, arrête de pleurer. Et puis il n'est pas perdu. Tu as appelé ses parents ?

- Non.

- Il faut que tu l'appelle. Ça ne coûte rien d'essayer !

- Oui mais je leurs dit quoi ?

- Ce que tu m'a dit.

- Ok. Désolé de t'avoir dérangé et... merci !

- T'inquiète pas, tu ne m'as pas dérangé !

- Au revoir. »

Il était 20h. Je suis aller dîner seule et dormir seule.

Le lendemain matin, après le petit-déjeuner, en regardant un film pour me distraire, j'ai pensé qu'il fallait appelé la mère de Jean. Il avait disparu depuis trois jour et il n'est toujours pas rentré. J'ai composé le numéro.

«  Allô ?

- Bonjour Marguerite, c'est Hélène.

- Bonjour Hélène, comment-tu vas ?

- Mal.

- Qu'est-ce qui se passe ?

- On ne sait pas disputé ! En fait, votre fils, Jean, a disparu depuis trois jour. Au début, je voulais attendre le lendemain en pensant qu'il allait rentré mais il n'est pas rentré. Juste avant ça disparition, on était allé clarifié les choses avec Marc, un ancien petit-ami, pour lui dire que c'est Jean que j'aime. J'ai appelé Marc mais il m'a dit qu'il ne la pas revu depuis. J'ai appelé la police et ils m'ont dit qu'ils s'occupaient de tout. D'ailleurs, je n'est pas eu d'infos. Enfin bref, il n'est toujours pas rentré. Je suis vraiment désolé ! Je ne sais plus quoi faire ! Aidez-moi !

- Mais ne t'inquiète pas ! Il est avec moi, il regarde un film. Il regarde « une place pour deux ». Je pensais qu'il t'avait prévenu !!!

- C'est vrai ? Il est avec vous ? Je n'arrive pas a y croire. En plus, j'étais entrain de regarder le même film ! Vous pouvez me le passé ?

- Oui, je te le passe.

- Merci.

- ...

- Allô ?

- C'est Hélène.

- Hélène ! Tu vas bien ?

- Oui, ça vas maintenant !Tu ne m'avais pas prévenu que tu allais chez tes grands-parents. Je me suis super inquiété. J'ai même appelé la police et Marc. Je croyais que tu avais disparu.

- Mais Hélène, tu n'avais qu'a m' appelé !

- Mais tu n'as pas de téléphone ! Et puis, si tu en aurais eu un, il est beaucoup trop lourd a transporté.

- Mais je veux dire mes parents. Normalement, on téléphone au moins les parents du disparu avant d'appelé Marc. Pourquoi tu l'a appelé ?

- Ben... Vu que tu l'avait vu et que c'était un peu en tension entre vous deux, je me suis dit que vous vous êtes donner rendez-vous pour vous... tabassez. Même si je ne pense pas du tout que tu ferrais ça.

- Mais alors là, tu délire ! Et puis pourquoi tu n'a pas appelé après ?

- J'avais peur.

- Mais de quoi ?

- Ben, c'est justement ça le problème. Je ne sais pas.

- Bon, oublions tout ça.

- Je vais venir. Mais d'abord, je vais prévenir les policiers. Et... désolé.

- Non, c'est plutôt à moi de m'excuser. A toute à l'heure.

Je n'y arrive pas a y croire ! Il était chez sa grand-mère. Mais pourquoi je ne l'ai pas appelé plus tôt. Quelle idiote, je suis !