Première Partie

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           °CETTE HISTOIRE EST PUREMENT PARODIQUE ET N'A E AUCUN CAS POUR BUT DE  DESCRIMINER OU JUGER QUI QUE CE SOIT.°


Je me promenais telle la princesse que j'étais, rejetant une de mes mèches noires.

Moi, Harry Potter, j'étais le garçon le plus populaire de Poudlard. Et je le savais !

J'avais un besoin permanent de me sentir aimer de tous.

Oublier tout ce que vous pensez savoir sur mon vécu et celui de mes «amis». La femme qui était sensée faire ma biographie, Rita Skeeter, a vraiment tout changé, jusqu'à son nom : JK Rowling. C'est à quel point elle est une mytho !

Mon premier véritable amour fut, malgré tout ce que vous pourriez croire, Voldemort.

Ah mon cher Voldy ! Que je l'ai aimé ! Mais qu'il était chiant avec ses complexes, notamment le plus imposant. L'expression « Comme le nez au milieu de la figure » ne valait absolument rien concernant son cas. Car oui, il n'en avait pas. Il avait préféré avoir une face de serpent ! Mais que voulez-vous, l'amour rend aveugle ! Et surtout non-odorant, ce qui était bien pratique pour moi lorsque je ne voulais pas me laver. Flemme lorsque tu nous prends !

Ah et ses plaintes incessantes : « Tu ne penses pas que je devrais faire de la chirurgie, Harry chéri ?! Si tu dis oui, je t'Avada Kédavrise ! Je t'aime tellement ! Mais j'aimerais bien pouvoir sentir ton odeur, je pense, envoûtante. A moins que tu ne sentes mauvais, et là catastrophe ! Un Doloris comme punition ! »

Ma lassitude me l'avait fait quitter.Et maintenant, il voulait ma mort.

Lorsque je lui avais annoncé notre rupture, il m'envoya Nagini dans la tête. Un coup de croc sur le front, et POUF ! A moi la cicatrice trop stylée qui fait craquer tout le monde ! J'ai ensuite fait croire à tout Poudlard que j'avais fait un duel de mort avec Voldy, provoquant sa fin, alors qu'il avait juste sombrer dans la dépression en fait. Et j'ai tué mes parents pour rendre la mise en scène encore plus épique et tragique ! Vous n'imaginez pas le temps qu'il m'a fallu pour arriver à pleurer à chaque mention de leur nom.

Pendant un temps, j'avais fréquenté notre directeur : Albus Percival Wulfric Brian Dumbledore.

Ce vieux pédophile avait vraiment des manies bizarres. Il me demandait souvent de montrer ma «baguette»; il avait même posé la sienne (toute fripée) sur mon front. Ça m'avait fait tout drôle ! Ces dites sensations me donnaient des maux de crâne.

J'eus alors un amant, plus respectueux de ma fragile personne, Drago Malefoy.

Quand Albus le découvrit, il me violenta puis se battit avec le présent amour de ma vie.

Drago dans sa belle jeunesse, gagna haut la main, ses cheveux Malefoyens virevoltant dans le vent telle une pub pour shampoing moldu.

L'autre vieux se jeta donc d'une tour, ne pouvant supporter ma trahison.

Tant pis, sa baguette fripée sur mon front ne me manquera pas.

J'ai donc vécu un moment avec le beau garçon restant. Jusqu'au jour où cet ignoble blond peroxydé me trompa avec Hermignonne : MA BESTA DE TOUJOURS POUR LA VIE ! J'ai beaucoup pleuré; ses abdos me manquaient, bordel !

J'ai donc décidé d'être raisonnable et de sortir avec Ginny. Mais Ron m'en empêcha, car elle était sa sœur. J'ai alors réussi à le séduire avec ma cicatrice, l'objet de ses fantasmes. Il croyait que je ne l'entendais pas marmonner dans son sommeil la nuit, le coquin ! Pour cela, il suffisait juste de remettre une mèche en arrière pour la mettre en valeur. C'est que le pauvre avait lui aussi été déçu par Hermignonne, sa''petite copine''. Dans un élan de compassion, je me dévouai à lui offrir mon amour, enfin, seulement histoire d'un soir, à son plus grand plaisir.

Je lui fis croire que nous sortions ensemble, mais le lendemain, ne voulant pas salir ma réputation en m'affichant avec un roux, je le quittais.

Je me suis rabattu sur Hagrid, le seul qui pouvait me donner de l'amour.

Ce gros bourru n'était autre qu'un mal-aimé, n'attendant qu'une chose, de la tendresse.

Il m'avait d'ailleurs confié que ces premières expériences sexuelles furent avec Madame Maxime (« un peu grande, mais pas gênant », avait-il dit.)

Deux problèmes s'opposaient à notre amour. Les mèches de ces sourcils broussailleux me chatouillaient partout et il m'étouffait de ses bras. Alors je l'ai quitté, ne voulant pas risquer ma vie.

J'ai donc fini avec la plus inattendue des ''personnes''... Dobby. Car Dobby était LIIIIBRE, libre de ses choix.

Cet elfe de maison était parfait, il pliait à tous mes désirs. Sa petite taille était parfaite, et arriver pile à la hauteur de... vous êtes assez grands pour comprendre.

Malheureusement, je le quittai.

Il avait couché avec KREATTUR !! Cet immondice de la nature !

Dobby s'était donc suicidé, la tête éclatée sur une lampe.

Bien fait.

Toutes ces relations m'avaient épuisées, nous étions maintenant en vacances d'été. J'habitais avec mon oncle Sirius et Buck.

Et c'est un soir, en voulant proposer une partie de Strip Poker à Sirius que je les découvrais.

Mon oncle s'amusait, si je puis dire, avec la baguette de Buck. Chacun ses pratiques, je ne le jugeais pas ! J'avais même décidé de les rejoindre, voulant tester de nouveaux horizons ! Amen.

Voilà la première partie de mon INCROYABLE vie, je voulais rétablir une partie de la vérité.



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⏰ Last updated: Oct 07, 2017 ⏰

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This Woman Who Lies.Where stories live. Discover now