Enfance Difficile

Chapitre 15 : retour

Ce matin, il est difficile pour moi de me lever. Je reste dans un brouillard vague. Mais une chose m'aide à me réveiller complètement. Une énorme masse s'écroule sur moi. Ce qui me fait sursauter. Je pousse un cri de surprise. L'homme que j'aime se penche sur moi et m'embrasse tendrement. Ses mains glissent sous mon T-shirt et elles entament une série de chatouille. Je suis plier en deux. Je n'arrive pas à le repousser. Ma respiration se fait difficile avec le rire qui sors de ma bouche. Il s'attaque à mes côtes l'endroit que je crains le plus. Lorsqu'il tente à nouveau de m'embrasser J'arrive finalement à prendre le dessus et c'est à mon tour de le torturer. Il est beaucoup plus puissant que moi. Je sais qu'il va rapidement reprendre la main. Alors qu'il essaye de m'attraper, je pars en courant de la chambre avec dans mes mains, son pantalon. Il se met à ma poursuite avec seulement un boxer pour le couvrir. Je voies les filles qui n'en ratent pas une miette sur son passage. Je n'arrive pas à arrêter de rire. Au bout de quelques secondes, je suis emporté par un poids lourd. Il s'est jeté sur moi afin de me mettre à terre. C'est réussi. Nous nous écroulons tout les deux par terre dans le couloir. Le rire me tord l'estomac. Je n'arrive même pas à me relever. Il récupère son pantalon et l'enfile à toute vitesse. A ce moment là, les professeurs sortent de leur chambre. Le rouge me monte au joue. Je suis a la fois mal a l'aise et morte de rire. Nous affichons, le sourire le plus angélique que nous sachons faire et retournons dans la chambre. Ils n'avaient pas l'aire d'avoir beaucoup apprécié notre petit manège. Dès que nous sommes hors de leur vue, je le taquine gentiment et le pousse. Il m'attrape et me jette sur le lit.

-Tu mériterai que je te punisse.

Il me met une tape sur les fesses puis se met à m'embrasser le cou avec hardeur. Nous sommes interrompu lorsque quelqu'un tape contre la porte.

-Dans une demi heure je veux voire tout le monde rassembler dans le hall. Vous n'avez pas intérêt à avoir une seconde de retard.

Merde ! Nous sommes en retard. Je file sous la douche pendant que mon chérie prépare nos bagages. Une fois que j'ai finis, nous inversons les rôles. C'est bon, je crois que nous avons tous. Nous rejoignons le hall où un amas de personnes s'étaient rassemblés. L'appel commence et nous regagnons le bus. Nous nous plaçons au fond du bus. L'ambiance est sympas tout le monde rigole. Un garçon fouille dans son sac et en sors une enceinte. Il met de la musique et tout le monde se met à chanter. Il y en a qui ne seront pas chanteur professionnel. Ça c'est certain. Arrivé à l'aéroport, nous passons déposé nos valises. S'en suit une longue attente jusqu'au portique de sécurité. Je dépose toute mes affaire dans les boîtes en plastique blanche. Lorsque je passe la borne une mini sirène se déclenche. Un agent de sécurité me demande d'avancer. J'écarte les bras et les jambes. Ils vient me tâter à la recherche d'objet dangereux ou de stupéfiant. Valentin s'avance.

-Bon, vous avez fini ? Dit il. Je n'aime pas trop qu'on tripote ma copine.

L'agent me fait signe que je peux reprendre mes affaires. J'embrasse Val dont la réaction ma amusée. J'ai trouvé ça mignon. Avant de reprendre l'avion, j'envoie un dernier message à mes parents. Je vais dans un petit magasin m'acheter des bonbons et un paquet de saucisson. Oui vous pouvez trouver ça bizarre mais j'adore ça. Les garçons devant moi, eux ont pris des boissons énergisantes. Je sens que je ne vais pas pouvoir dormir avec le boucan qu'ils vont faire.
Je prend place dans l'airbus A380 place 29B. Il n'y aucune personne de mon entourage assis près de moi. Un vieux monsieur s'assoit à ma droite, un journal à la main. Quelques minutes plus tard, un homme à la musculature imposante et le parfum trop abondant s'assoit près de moi. Les deux personnes m'entourant prenne énormément de place. Lorsque je me lève de mon siège pour aller faire un coucou a Val, je sens une main se poser sûre mes fesses. Je me retourne vers l'homme à ma gauche et lui assène un coup de poing. Qu'il rattrape au vol. Il commence à me choper par le col. Je lui met un coup de boule afin de lui échapper. Les hôtesses de l'air arrivent en courant vers nous et essayent de nous séparer. Je suis dans un état de colère assez important. Je ne rêve que d'une chose éclater la gueule de se type. D'où il se permet de tel chose. Un prof échange de place avec moi après qu'il m'ait sermonné. Valentin ayant eut rumeur d'une dispute me concernant vint me voire. Je lui promais de lui révéler ce qu'il c'est passé en arrivant à l'aéroport. Je me met de la musique et m'endors sur l'épaule de Val. Je dors le reste du trajet. Je suis réveillé par la pression subit par l'aterrissage. Lorsque nous sortons, je suis contente de pouvoir enfin me dégourdir les jambes. Les professeurs me disputent encore une fois puis me laisse tranquille. J'explique ensuite à Valentin ce qu'il s'est passé. Il est fou de rage. J'essaie de le calmer mais c'est sans grand succès. Nous récupérons nos bagages et rentrons au bahut. Je dépose rapidement mes affaires dans ma chambre et rejoins mon copain à sa voiture. Ce soir, je dors chez lui. Nous commandons à manger, chez un traiteur. Le repas est excellent. Une fois qu'il est terminé je débarrasse et vais me coucher. Je me relève rapidement et cour aux toilettes. J'ai des nausée affreuse. Val vient me tenir les cheveux.

-Sarah, tu ne vas pas bien ?

-Ne t'en fais pas, ça ne doit pas être grand chose, j'ai du mal digéré quelque chose. Viens, on va se coucher.

Je me lave les dents et retourne me coucher dans ses bras. Pendant toute la nuit, mes vomissements ne se tarissent pas. Valentin décide donc de me prendre rendez vous chez le médecin le lendemain. Je ferme les yeux espérant dormir un peu.

Voilà, j'espère que ce chapitre vous à plu. Qu'est ce qui ne va pas chez Sarah ?
Pour le savoir il faut lire la suite !

N'hésitez pas à laissez des commentaires et des votes, c'est toujours très encourageant.

Je suis désolé pour les deux chapitres précédents, ils n'étaient pas terrible mais j'étais en panne d'inspiration.

Bonne continuation
Gmlecture1