Chapitre 10

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Je retournais donc au lycée où Je vis Jean au loin accompagné de Marco. Son petit ami maintenant.

Ils étaient assez mignons ses deux la, tant mieux qu'ils se soient trouvés.

Le cheval avait la tronche bien arrangé. Un vilain bleue sur le menton. Et la gueule toute blanche.

Il l'avait vraiment chercher et mérité tout de même.

Mes deux meilleurs amis me firent de grands signe pour que je vienne.

Ce que je fis au pas de course, Je n'avais pas très envie de croiser Jean. Nous partîmes dans un coin du lycée et nous nous assîmes au sol.

- Demain n'oublie pas tu viens chez moi, et n'essaye mêmes pas de te défiler ça ne marchera paas~ !

Armin était vraiment motivé pour que je vienne. ça sentait le piège à pleins nez.

- Ouais, ouais... Je viendrais. Soupirais-je.

- Je sens que l'on va bien s' amuseeer~ ! S'enthousiasma mon meilleur ami.

- Super.. marmonnais-je peu convaincu que mon excursion chez lui serve à quelque chose.

- Mikasa tu va directement à la fête ou tu nous rejoins et on n'y va tout ensemble ? Enchainais-je.

- Je vous rejoins. Fit-elle sans flancher vers la joie ni vers l'ennuie.

Quand ce fut l'heure d'aller en cours je me motivais en me disant qu'il ne resté plus qu'une journée et demi à passer dans cette enfer. Et se serrait enfin le week-end.

Les cours passèrent rapidement.

Annie m'attendait au portail de fer du lycée. Elle avait l'air impatiente.

Elle veut juste me défoncer rapidement, je pense.

- Aller grouille Eren.

Je marmonnais quelque chose d'inaudible, comme un juron.

- Si tu n'es pas content c'est pareil.

Quand je l'eus rejoins, nous prîmes immédiatement le chemin de sa maison.

Après un long moment de silence, elle eu un gloussement dont je fus choqué. Jamais Annie ne rit. Jamais.

- J'ai vus tout à l'heure dans les couloirs ce que tu as fais au cheval.

Elle prit une pause et reprit avec un sourire dans la voix malgré ses yeux froids :

- Mes leçons te servent apparemment et tu à l'air de bien te débrouiller, je te félicite.

J'aurais presque dansé sur place tellement j'étais content que ces mots sortent de sa bouche.

En plus Annie quoi !

- Je travail dur, mais c'est surtout grâce à toi ! Confirmais-je sans hésitation.

Lorsque nous fûmes chez elle, elle me balança un pantalon de sport au visage. Je le rattrapais avant qu'il ne s'écrase sur ma face.

Annie partit se changer dans sa chambre et elle revient, lorsque je me fus également changé dans le salon. Ses parents étaient toujours absents, enfaite elle ne parle jamais d'eux...

Comme si ils n'étaient pas existant. Mais bon, ce n'est pas comme si elle était de nature à beaucoup raconter des choses à son sujet. Des choses tout court enfaite.

          

Je la suivis donc dans sa salle de sport personnel. Il faut savoir que Annie est carrément riche.

Tout le matériel y était, quelque machine de musculation, des tapis de yoga, des sacs de boxe.

Et en plein milieux un grand tatami pour les sports de combats.

Une fois à pied nus sur les tapis, Annie m'ordonna de faire des échauffements. Ce que je fis, non pas s'en râler.

Pour la peine Annie me dit d'en faire plus. Je retiens la leçon est l'injurié mentalement.

Après ça la blonde décida qu'il était tant de me battre avec elle.

Elle demanda que je l'attaque. Ce que je fis mais elle bloqua mon élan avec une main poser sur mon torse. En attrapant mon poignet d'un mouvement sec et rapide elle me plaqua au sol.

Son regard n'était plus froid il était brûlant d'envie de se battre. Elle était animée par cette envie si puissante que ça me faisais presque peur.

- Encore ! Fit-elle.

Et nous répétâmes ça pendant ce qui me sembla une éternité.

Je l'attaquais donc encore. Elle aller une fois de plus me bloquer mais j'esquivais. Ce qui la déconcerta je pus lui décrocher un coup dans la jambe juste derrière son genoux et par la même occasion j'en profitais pour la prendre par les épaules pour être sur de la mettre au sol. Ce que je réussis.

Annie rit les joues rouges. Je fis un regard très surpris. Et elle put inverser nos rôles me plaquant ainsi au sol et elle s'assit sur mon ventre avec un grand sourire.

- Ne jamais se laisser déconcentrer. Même si tu crois que c'est fini ! Finit-elle par me conseiller.

Merde. J'y étais presque arrivé pour une fois. J'essaierais de régler ce détail au prochain entraînement.

- Mais sinon ce n'était pas mal du tout. Affirma-t-elle en se relevant.

Annie me tendis sa main que je pris avec une petite hésitation pour me lever à mon tour.

Après nous être désaltéré je partis me changer dans une pièce à l'écart d'Annie.

Quand ce fut le moment de partir elle tapota amicalement le dos et me lança :

- J'ai beau te le répéter mais tu n'écoute pas quand je te dis de ne pas retenir ta force. Tu n'es pas au maximum tu hésite encore. Ce n'est pas parce que je suis une fille j'espère ?

Je secouais la tête un peu trop indécis apparemment car elle me donna une plus grosse tape sur l'épaule qui me projeta littéralement en avant.

- La prochaine fois. Compte sur moi pour ne pas retenir mes coups.

Je me mortifiais. Attends elle n'était déjà pas à son maximum ? Merde. Je vais vraiment finir par mourir sous ses attaques.

Je partis donc avec la certitude que j'étais mort pour le prochain cours.

Je rentrais donc chez moi il était presque 17 heures.

Annie ne rigolait vraiment pas quand elle m'entraîner la dernière fois je suis rentré à 20 heures et ma mère a crus que j'avais une petite amie. J'en ai ris et depuis elle ne pense que j'ai une copine. Alors elle est devenus un peu plus gentille avec moi depuis ce temps là. Si j'aurais sus que pour être tranquille il fallait que je dise à ma mère que j'avais une copine.

Je rentrais donc chez moi et partit m'enfermer dans ma chambre toute la soirée.

Je m'endormis donc très tôt pour une fois et me réveillé également tôt.

Riren/Ereri : Ma rencontre du virtuelle avec la réalitéWhere stories live. Discover now