Je suis désolé si sa fait longtemps j'ai pas écrit wAllah j'y pensais plus trop désolé d'en avoir fait attendre certain sah mais c'est bon je vais essayer de recommencer a écrire, merci pour ceux qui on pas lâcher ma chro parce-que j'etait plus trop actif, vous êtes des sah mddr.
DANS LA PEAU DE SIHAM :
Medecin : sa fait bientôt 1 mois que sa dure !
Infirmière : Avez-vous songer a prévenir sa famille qu'elles n'a peut de chance de s'en sortir ?
Médecin : C'est une étape très difficile a vrai dire. Chaque fois que nous demandons l'autorisation au tuteur légal de pouvoir débrancher le patient, cela fini toujours en larme.
Infirmerie : Monsieur nous avons tous fait pour la sauver, maintenant tout dépend d'elle.
Je les entend parler, j'aimerai leurs dire que je suis la j'suis pas encore morte mais aucuns mots peuvent sortir de ma bouche et sa m'rend folle. Et dire que j'etait sur le point de me marier avec Amir, sa me fait tellement mal de le laisser, et ma mère mes frère ? Ils on déjà perdu papa, je ne veut pas les laisser a mon tours wAllah je veut pas !
J'sais que les médecin ils ont raison, j'croit faudrait un miracle pour que j'me réveille. Mehlish, ma mort elle es pas par hasard, c'est Dieu qui a voulu. Nous appartenons a lui, c'est donc a lui que nous reviendrons.
Les heurs elles passent et moi j'galere dans c'lit, sa devait être le plus beau jours d'ma vie wsh !
J'entend des bruits. La porte s'ouvre. Sa doit encore être le toubib hein. J'entend les pas ce rapprocher de moi. A force de me fié qu'a mon ouï, j'arrive a cerner ce que les gens font quand il entre.
La, je sais que c'pas l'toubib parce-que la personne qui es rentrer me tient la main. Cette main par Allah je la reconnaîtrait entre milles, Amir.
Je l'entend soupirer, il doit vraiment être mal, il a perdu tout c'est être cher mis a part sa mère, et maintenant c'est moi qui le laisse, qui l'abandonne.
Amir : Siham steuplait ....
Désolé encore si ce chapitre est court mais c'est juste le temps de me remettre dedans zehma mdr, bonne lecture.
VOUS LISEZ
Chronique de Siham: t'es le risque que je veux prendre
General Fiction"les sourire peuvent aussi signifier de la peine, Ilya des jours ou j'fait semblant depuis qu'mon père manque a l'appel."