J'ai peur, simplement peur.

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Nous étions aujourd'hui mardi, et nous n'avions toujours pas eu de nouvelle de Lucy.
Nous étions rentré plus tôt que prévue suite à c'est événements et j'avais pris les affaires de Lucy avec moi.
Nous sommes entré en effraction au lycée avec Luxus pour trouver son adresse et voir si elle était chez elle. Malheureusement non son appartement était vide de vie.
Je désespèrais, je désespère. Où est tu Lucy ?

Pourquoi ne répond tu plus au téléphone, pourquoi est il éteint.
Pourquoi ne nous donne tu plus signe de vie ?
C'est questions qui tourne en boucle dans ma tête je n'en peux plus.
Je n'ai aucun moyen de savoir où elle se trouve.
Je ne sais presque rien d'elle finalement.
Aujourd'hui je travaille exceptionnellement toute la journée.
Je ne vais donc pas en cours et ce n'est peut-être pas plus mal.
Je n'aurais pas pus y aller sans ma Luce.
Ma copine. La mienne.
Es pour sa qu'elle a fuit ? Aurai-je fait quelques chose de mal ?
J'étais au bar entrain de nettoyer les verres qui était brillant.
Brillant comme les yeux de Lucy.

Point de vue Lucy.
Je me trouve de nouveau ici. Dans cette maison, dans se château, dans ce lieu qui avait était ma prison dorée.
J'arpentais les grand couloirs me dirigeant dans cette pièce qui m'avait emprisonné.
Ma chambre.
Je suis étonné qu'elle n'est pas changer d'un poil, tout était comme je l'avais laissé, enfin pour être exact tout était propre et bien rangé comme si mon départ n'était qu'hier.

-Votre père à insisté que cette chambre sois nettoyer chaque jours et qu'aucun objet soit placé différemment.
M'interrompit une voix me sortant de mes pensées.

-Oh c'est vous, excusez moi je suis rentré sans vous informer de ma présence.

-Ne vous inquiétez pas Mlle, je vous est vue entré, vous savez votre père regretter énormément ce qu'il vous a fait subir, il vous aimais tant. dit une des domestique qui avait était le plus proche de notre famille, de ma mère.

-Je ne lui en est jamais voulus, je comprenais sa douleur qui lui rongeait l'âme et le coeur. Je suis partis pour lui également.
Je ne voulais pas qui souffre. Dis-je en serrant les point et baissant la tête essayant vainement de retenir les larmes qui menaçait de couler et de déferlé tel un torrent ardent sur mes joue.

-Mademoiselle...

- Laissez moi je vous pris.

-... Bien. Dit elle en s'en allant.

Je sortie de la chambre et vis au loin, au bout du couloir, une porte.
Une porte qui m'avait était interdite d'ouvrir.
Je me souviens que cette porte était autrefois souvent ouverte et émanait d'elle une lumière chaleureuse et joyeuse.

Je me dirigeait vers cette porte et l'ouvrit.
Un escalier se dressait devant moi se séparant en deux pour finir par se rejoindre et continuer sa route en ne fesant plus qu'un. La fenêtre qui éclairait les escaliers était haute et grande et laisser apercevoir le jardin qui se dressait sous un ciel nuageux.
Je montait les escaliers et me rendis dans cette pièce.
Cette pièce dans laquelle ma mère avait passer tant de temp.
Cette pièce qui elle contrairement à ma chambre n'avait pas était entretenue depuis des années recueillait des meubles recouverts de tissus blanc ou reposé de la poussière.
Même sans la vue de ses meubles je savait très bien qu'elle était la signification à cette pièce et pourquoi elle n'avait pas était entretenue.
Cette pièce, ce bureau ou ma mère passer la plus part de son temp.
Lorsqu'elle était triste elle se réfugiés ici.
Après la mort de ma mère mon père avait fermé et bannit cette pièce.
Elle renfermé toute la peine, la tristesse et la colère de ma mère.
Elle venait ici pour peindre lorsqu'elle ne se sentait pas bien.
Je soulevait un drap blanc qui recouvrait une silhouette qui devait sûrement être une de c'est peinture.
Lorsque le drap tomba mes larmes suivit le chemin du drap.
Devant moi, devant mes yeux se trouvais un tableau. Un tableau nous représentant. Mon père et moi.
La peinture était semblable à une photographie que nous avions prise un été peux de temp avant l'annonce de la maladie de ma mère qui l'emporta. Seulement contrairement à la photographie, ma mère ne se trouvais pas sur le tableau. Mon père et moi étions côte à côte. Un sourire amère sur le visage.

La Vie En Rose En Ai-je Le Droit ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant