Il était une fois une petit fille du doux nom de Lola qui adorée les bonbons. Elle vivait avec sa mère car son père est mort d un cancer des poumons ,elle na pas euh le temps de lui dire au revoir. Un jours elle retrouva une boite de bonbon que son père lui avait offert. Elle na jamais ose en mangé un. Mais comme elle adore les bonbon elle se dit que mange un de ses bonbon rendrait hommage a son père. Alors elle en mange un. Puis sa chambre se mit a tournée de plus en plus vite, puis elle arriva sur une planète bizarre. Elle était rose avec des bonbon partout. Lola tourna la tête est vit deux petit fille avec des aille .les deux petit fille saute sur un bonbon géant. L une des deux fille avais de cheveux roux et l autre des cheveu brun claire.
Lola: salut
Les deux fée: salut tu es nouvelle
Lola: Euh non je suis perdu
Une des deux fée: je m appelle Camille et elle c elle qui a des cheveux roux s appelle Sara
Lola regarda bien Camille.Elle vit une magnifique robe bleu turquoise et deux marron a tomber quand ta Sara elle avais une robe vert pomme. elle était trop belle avec des yeux bleu aussi.
Sara : Tu sais quand je regarde une personne je vois son passé , son présent et son future.
Lola : Et pour moi tu voie quoi?
Sara : je peut pas te dire mais tu doit allé voire la fée de mort de tout urgence c est au sujet de ton père
Lola : OK mais vois reste avec moi !
Sara et Camille: Oui on peut dire qu'on est amies !
Les trois amies se dirige verre un long chemin de bonbon. Sara avais beau avoirs des pouvoirs pour se qui de retrouvé un chemin elle était pas tellement douer.Mais heureusement Camille connais bien se chemin car avent elle allé voire la fée des mort pour sa voire qui était sa mère.
Camille : la fée des morts aime bien mettre des épreuve devant sa grotte !
Sara : Camille , Lola se que je vous est pas dit c est que la fée des mort est ma mère
Camille : quoi sa fait 10 ans qu on est amies et tu me la jamais dit!
Sara : désole mais je ne savais pas comment te le dire
Lola : Camille tu sais Sara a quand même le courage de te le dire
Camille : oui tu a raison
