Je me réveille doucement et je vois qu'Andrew, Anthony, Dylan et Caleb sont là en train de me regarder et je me rappelai de mon rêve.
Moi : Mes parents sont morts quand j'avais 8 ans.
Anthony : Qu'est-ce que tu entends par mort quand tu avais 8 ans ? Tu sais bien que tes parents sont morts frappés par la malédiction des 100 familles.
Moi : Non ils n'étaient pas mes vrais parents.
Andrew : As-tu une preuve au moins ?
Moi : Oui et je peux même vous montrer où ils sont aujourd'hui.
Dylan : Montre-nous Élie.
Moi : Il va nous falloir une voiture pour y aller, c'est en dehors de la ville.
Dylan : On te suit.
Caleb m'aide à me relever et on quitte cette pièce d'ailleurs, je me demande où on est. Je regarde derrière moi avant de partir et je vois ce qui ressemble au mur de ma bibliothèque, un mur rempli de photo, d'article de journal. Pourquoi il en a un ici ? À qui il appartient ? À peine, je me réveille que je retrouve un souvenir que ma tête est encore plus remplie de question qui comme à mon habitude reste sans réponse. Le trajet se fait en silence, les seuls moments où je parlais, c'était pour indiquer le chemin à prendre.
En fin, nous arrivons au bout de trente minutes, enfin arrivé n'est tout t'a fait le bon mot, car il faut continuer à pied. La nuit commence à tomber, mais malgré cela le champ qu'on traverse en ce moment, je sais que c'est celui qui était dans mon souvenir. Je sais qu'ici, on l'appelle le champ fleuri, car il est presque toute l'année en fleur. Il est vraiment magnifique. On le traverse et une fois arrivé au bout une cabane en bois apparaît sous nos yeux et je m'arrêtai.
Moi : En entrant dans la cabane, vous vous rendrez dans le salon, une fois arrivé, vous verrez un tapis rouge dessous, vous trouverez une trappe, vous descendrez et un tunnel en pierre s'entendra devant vous, vous devrez prendre ce chemin et à la fin, vous les trouverez attachées au poignet sur une croix de dieu. Pour ce qui est de moi, je ne veux pas y retourner en tout cas pas maintenant, je ne suis pas prête.
Caleb : Si tu veux, je reste avec toi.
Moi : Non, vous devez y aller, dans la pièce où mes parents, enfin où les Roswell son, se trouve un coffre et dedans se trouve un grimoire qu'on se transmet de génération en génération et d'autre livre. Prenez les autres livres sauf le grimoire qui doit rester dans le coffre, j'irai le chercher moi-même quand je serais prête et si vous compter l'ouvrir, vous ne pourrez pas seul les Roswell sait comment l'ouvrir. Je vous attends.
Ils commencent à partir en me regardant, moi, je ne bouge pas, je ne suis pas prête à les revoirs et je dois aller chercher autre chose et je ne veux pas qu'ils viennent avec moi, car je suis sûr qu'il est là-bas en train de m'attendre. J'attends qu'ils disparaissent dans le léger brouillard qui vient de se lever et je prends un deuxième chemin que si tu ne connais pas, tu ne le verrais même pas, car il est caché derrière des buissons.
Je continue à marcher, mais à chaque pas que je fais, la peur grandie en moi. Comme tout t'a l'heure une cabane en bois se trouve sous mes yeux et à l'intérieur se trouve une partie de moi, il est temps de la reprendre. Je frappe à la porte et j'attends qu'on vienne m'ouvrir. De la lumière apparaît dans la cabane et une ombre bouge à l'intérieur, mais elle ne vient pas vers moi, elle va de l'autre côté alors je décide de parler.
Moi : Ouvre-moi, c'est moi Élie, Élie Roswell.Je pus voir que l'ombre avait pris le chemin de la porte et vient m'ouvrir. Il se tient devant moi surpris de me voir ici.
Inconnu : Tu ne devrais pas être ici Élie.
Moi : Je suis désolé, mais j'ai besoin de ton aide.
Je vois qu'il hésite, mais il finit par se décaler pour me laisser entrer. J'entre et rien n'a changé cette cabane est la même que dans mon souvenir. Malgré quelques souvenirs, je ne peux toujours pas me rappeler de mon passé, je possède juste des briques. Je me tourne vers lui qui lui me fixe.
Inconnu : Tu te souviens de moi ?
Moi : Un peu, pourquoi tu ne retournes pas chez toi ?
Inconnu : C'est ici chez moi maintenant.
Moi : Écoute moi, mes parents sont mort quand j'avais 8 ans tué par ceux qui m'ont adopté et ils se sont fait passer pour la branche principal des Roswell mais ça, tu le savais déjà n'est-ce pas ?
Inconnu : Oui mais tu sais, j'ai essayé de les arrêtés mais je n'avais que 12 ans que voulais-tu que je face ?
Moi : Je ne t'en veux pas et je n'en veux pas la branche secondaire de ma famille, car aujourd'hui, il ne reste que moi tout comme toi, tu es le dernier de ta famille tué il y a plus de 10 ans. Cette année sera différente des autres et tu le sais à cause de moi les familles sont plus que jamais en danger et toi aussi.
Inconnu : Et que veux-tu que je fasse ?
Moi : Tu n'as plus 12 ans, tu sais te défendre à ce que je vois, car je suppose que tout ce matériel de musculation est à toi ?
Inconnu : Et alors ça ne change rien que je sache me défendre.
Moi : Je sais mieux que personne que tu es fort, je me souviens d'une partie de notre enfance à vrai dire, je me souviens que de toi et pas des autres.
Il sourit, mais je veux aussi me souvenir d'Andrew, Anthony, Dylan et Caleb. Pourquoi je suis incapable de m'en souvenir, ils font aussi partie de moi, j'en suis sûr.
Moi : Je t'en prie viens nous aider à arrêtés ceux qui s'en prennent à nous aux familles fondatrices.
Inconnu : Tu devrais partir Élie, je pense que tes amis vont avoir fini, tu dois arriver avant eux pour qu'il ne se doute de rien.
Moi : Tu veux dire qu'ils ne savent pas que tu te trouves ici, car tu es sensé être mort, c'est ça ? Arrête de te cacher, même dans cette cabane tes démons seront toujours là en toi. Au revoir et je reviendrais te voir plus tard, et même si tu pars, je te retrouverai.
Inconnu : Tu comptes de servir de tes relations sait ça ?
Moi : Malgré la mission que je leur ai confié, gardé un œil sur toi ne changera pas grand-chose. Dans deux jours, c'est-à-dire samedi, c'est le bal des Lord, je t'y attends, si je ne te vois pas, je reviendrai. Il est temps de sortir et de les affronter plus personne ne doit souffrir.
Je quitte la cabane et en parlant du bal, je n'ai toujours pas de tenue, il faut que je m'en occupe. Ce que je n'ai pas dit sait que je me souviens de chaque partition que j'ai jouée sur le piano qui se trouve dans le salon depuis que je suis petite et des conséquences que ça implique.
J'arrive assez vite au champ et je me remets à la même place. Je n'ai pas eu à attendre que même pas 5 minutes plus tard, je les vois arrivées avec les livres et le grimoire. Je leur avais dit de ne pas le prendre, il doit rester dans cette cabane. Ils sont maintenant à ma hauteur et Caleb me tend le grimoire.
Moi : J'avais dit qu'il devait rester dans cette cabane.
Dylan : On est désolé, mais on n'a pas eu le choix, quelqu'un nous attendait à la cabane et nous a dit de le prendre et de mémoriser chaque détail, car on ne pourrait pas revenir.
Moi : Comment ça ne pas revenir ?
À peine que j'ai eu fini ma phrase que des flammes s'élèvent dans le ciel. Non-pourquoi, la cabane brûle. Je me mets à courir en direction des flammes. Quand je vis les flammes la recouvrir je m'écroule, cette cabane ne contenais pas que le grimoire mais aussi des affaires qui appartenait au Roswell depuis qu'ils se sont à Lourvell. En relevant la tête, une ombre se trouve de l'autre côté et je vois qu'il me fixe. Sans comprendre ce qui m'arrive, je me lance vers les flammes pour pouvoir attrapé celui qui a mis le feu, mais on m'arrêta dans ma course. Je me retourne et c'était Caleb qui me tenait.
Caleb : Élie calme toi, si tu te jettes dedans, tu seras brûlé alors calme toi. Je sais que tu es énervé en colère après cette personne, mais te jeter dans les flammes ne résoudra rien la cabane brûlera encore.
Je ne l'écoute pas, je veux tenir celui qui a fait ça, mais il ne me lâche pas donc je finis par abandonné et il me sert dans ses bras pendant que moi, je pleure. Il me soulève et me porte tout en prenant la direction du champ puis de la voiture où tout le monde était déjà assis. Je ne dis rien et la voiture démarra.
Dans la peau de Caleb
On vient juste de quitter Élie pour se diriger vers la cabane. Je me retourne, mais je ne la vis pas à cause du brouillard qui s'est levé, pourvu qu'il ne lui arrive rien. On arrive à la cabane et nous entrons. De loin, c'est vrai qu'on aurait dit une cabane, mais c'est une ancienne maison qui a brûlé dans un incendie. On se dirige vers le salon et effectivement, il y a bien un tapis rouge. Andrew soulève le tapis et on découvre une trappe fermée. Pour l'instant, tout ce que a dit Élie est vrai, on essaye dans un premier temps de casser le cadenas, mais il résiste donc Dylan s'approche et je sais très bien ce qu'il va faire. Il sort de sa poche ce qui lui sert à ouvrir toutes les serrures et en quelques secondes le cadenas tombe et nous pouvons continuer notre chemin.
Le tunnel est bien en pierre et qui plus est en bon état, il a résisté, mais on voit quand même quelques fissures sinon rien n'a redire ceux qu'il l'on fait était doué. On prend les torches accrochées sur les côtés et on les alluma. Andrew passa devant et on le suivait. Au bout de quinze minutes, j'apercevoir une pièce, en entrant plein de lumière s'alluma et ce qu'on vit était digne d'un film d'horreur, Pleins de squelettes d'être humain étaient accrochés à des croix. De chaque côté, il en avait que ce soit à gauche ou à droite et tout au bout de cet aller, un coffre nous fait face.Anthony : Je comprends pourquoi elle n'a pas voulu venir avec nous. Sans vouloir, vous pressez, on prend les livres et on part ça vous va ?
Dylan : Tout ta fait d'accord avec toi, cette pièce est un cimeterre celui des Roswell.
Andrew : Charmant, personnellement, je préfère celui en ville.On marchand vers le coffre, j'avais l'impression de voir de la douleur sur les visages des ancêtres d'Élie. Une croix attire mon regarde elle se trouve à droite tout au bout de l'aller. Je m'avance pour voir le nom qui était écrit dessus.
Moi : Les gas, vous devrez venir voir.Je sens qu'ils s'approchent et quand ils ont vu la même chose que moi, je distinguer la même expression sur leur visage que celle que j'avais quand j'ai vu, c'est deux mots.
Dylan : Qu'elle horreur qui a bien pu la mettre là. Cette croix est destinée à Élie, c'est ici que son cadavre devrait se trouver regarder la date de mort a été effacé.
Anthony : Qui peut être aussi dérangé pour faire ça, exposer tous ces cadavres comme si c'était des œuvres à regarder. Les mecs, cet endroit donne la chair de poule.
Dylan : Et encore, tu n'as rien vu regarder le sol où se trouve le coffre.
On s'avance jusqu'au coffre et on baisse notre tête, une horreur, il n'en reste pas beaucoup en vie, mais ceux qu'il reste se mange mutuellement pour survivre. J'ai du mal à croix que je vois cette scène.
Anthony : C'est quoi sous les serpents ?
Andrew : On dirait un cadavre, sérieusement, c'est quoi cet endroit.
Andrew se baisse pour mieux voir, mais d'un coup les serpents saut vers lui, malgré la vitre en verre qui nous protège, on a tous sursauté. Heureusement, elle a l'air solide. Je me dirige vers le coffre, mais il est fermé.
Moi : Dylan vient, on a besoin de tes talents.
Dylan : J'arrive.
Dylan fait pareil que tout t'a l'heure et l'ouvre sans problème. On prend les autres livres et on laisse le grimoire. On en prend plusieurs chacun et on allait partir quand une personne se tient à l'autre bout de la pièce et nous regarde. On ne distingue pas son visage, car il porte une cagoule.
Inconnu : J'espère que mon serpent de la dernière fois vous a plus.
Moi : C'est toi qui l'a amené chez Élie, tu n'es pas bien.Inconnu : Je vais vous dire deux chose la première, vous avez 10 minutes avant que je mette le feu dans cette pièce et ce qui reste du manoir et la deuxième, c'est qu'elle m'appartient Élie est à moi. Mémorisé bien ce que vous avez vu, elle voudra savoir ce qui se trouvait dans cette pièce. Top chrono.
On ne cherche pas à comprendre, car s'il a déjà amené un serpent chez Élie qui sait de quoi il est capable. On prend le grimoire et on court vers la sortie, j'espère qu'on aura assez de temps. On arrive à la trappe et on la monte à toute vitesse et on sort de la maison, mais on court toujours sur au moins 300 mètres pour enfin s'arrêter. On reprend notre souffle.
Andrew : Il va me le payé celui-là.
Anthony : Mais c'est qui lui ?
Moi : Dylan et moi, on pense que c'est celui qui a sauvé Élie, mais personne ne sait pourquoi.
Anthony : Bas ça ne change pas la fait qu'il soit déranger.
Moi : On est d'accord. Je propose qu'on retourne où est Élie.
On marche en sa direction et on l'aperçoit au loin, elle n'a rien, je suis soulagé. On arrive à sa hauteur.
Élie : J'avais dit qu'il devait rester dans cette cabane.Dylan : On est désolé, mais on n'a pas eu le choix, quelqu'un nous attendait à la cabane et nous a dit de le prendre et de mémoriser chaque détail, car on ne pourrait pas revenir.
Élie : Comment ça ne pas revenir ?
A peine qu'elle eut fini sa phrase que des flammes s'élèvent dans le ciel. Elle court en direction de l'endroit d'où on venait. Je le suis en courant, et que je suis arrivé, elle était effondrée par terre, j'arrive à sa hauteur, mais sans que je comprenne sur le coup, elle se lève pour se jeter dans les flammes, heureusement, je la rattrape à temps et c'est là que je le vois.
Moi : Élie calme toi, si tu te jettes dedans, tu seras brûlé alors calme toi. Je sais que tu es énervé en colère après cette personne, mais te jeter dans les flammes ne résoudra rien la cabane brûlera encore.
Je la soulève et je la porte et direction du champ puis la voiture où tout le monde était déjà assis. Je la mis derrière et on démarra.
C'est Anthony qui conduit et il nous ramène chez Élie.
Anthony : On se voit demain au lycée. Reposez-vous bien.
Dylan : Vous aussi, à demain.
Andrew et Anthony partent et on rentre chez Élie.Dylan : Je vais chercher mes affaires et je dors là ce soir, mes parents ne sont pas en ville, il ne rentre que samedi pour le bal.
Moi : Je dors aussi ici, je vais chercher des affaires et je reviens.
Élie : D'accord.
On sort et on passe par-derrière, c'est bien plus rapide.
Fin du point de vue de Caleb
Dans la peau d'ÉlieJe vais me poser sur mon canapé, cette journée à été beaucoup trop chargé pour moi. Je suis fatigué. Je me suis posé même pas 5 minutes qu'ils sont déjà revenus, ils sont rapides.
Dylan : Élie ça ne te gêne pas si je fais à manger, car je vois bien que tu es fatigué.
Moi : Non vas-y fait comme chez-toi.
Ça tombe bien, je n'avais vraiment pas envie de faire à manger. Ça sent bon que ça me donne faim. Caleb est en train de mettre la table. Je ne sais pas comment ils font tous les deux pour tenir.
Dylan : Élie tu viens à table, c'est l'heure de goûter à ce repas que j'ai préparé.
On s'installa tous et on commença à manger et je crois que Dylan viendra cuisiner plus souvent, car c'est vraiment bon.
Moi : Dylan, je t'engage, c'est délicieux.
Dylan : Merci Élie.
Moi : Demain faut absolument que j'achète la tenue pour le bal des Lord, je n'ai aucune robe.
Caleb : On va s'occuper de ça et tu seras la plus belle.Moi : Mais oui pendant qu'on n'y est, je serais cendrillon.
Dylan : Cela serai dommage, tu devrais rentrer après minuit, car le soir à minuit, il y a un feu d'artifice, il ne faut pas le loupé, il est tous les ans plus spectaculaire que l'année passée.
Moi : D'accord, je resterai après minuit.
On finit de manger en racontant tout ce qui s'est passé aujourd'hui enfin moi, je ne leur parle pas de ma petite escapade chez lui, on débarrasse et on va se coucher. Le lendemain, on est tous les trois en retard donc on court partout, c'est assez drôle, car Caleb s'est complètement étalé et Dylan et moi, on a rigolé ce qui nous a valu d'être encore plus en retard. On arriva au lycée avec plus de trente minutes de retard, le prof nous a donné un devoir maison sur qui a inventé le réveil sympa le devoir.
On va le faire tous les trois ça ira bien plus vite. À la pause déjeuner on rejoint Andrew et Anthony et bizarrement beaucoup de personnes nous regardent.
Moi : Pourquoi il nous regarde ?
Caleb : Car je suis trop beau.
Moi : Ne Rêve pas trop non plus.
Le reste de la journée se passa tranquillement et j'ai trouvé une robe toute seule car les garçons m'on laisser pour aller je ne sais où. Encore heureux que je suis venu avec ma voiture. Je vous passe vendredi et nous sommes maintenant samedi. Je me prépare pour le bal qui commence à 19h00 et il est 17h00. Je vais à la douche, je m'habille, je me coiffe et me maquille. Je suis juste à l'heure. Quelqu'un sonne à la porte, je pense que c'est les garçons. Je vais ouvrir et je fus surpris de voir qui s'était en réalité.