Dark doll:1-l'orphelinat de Lestar [ EN PAUSE]

Chapitre 7: dortoir des hommes

Je m'assoupit. Quand je me réveillait je ne pus croire ce que j'ai vu...
J'étais allongé sur un lit dans notre QG. Mat avait bien travailler sur cette pièce. Tout était propre et la débauche avait disparut (mit a part peut-etre le minibar). Il avait transformer une zone en salle de surveillance avec nos caméras sans fil installée partout dans l'orphelinat et surtout elles étaient bien caché et vraiment toutes petites. Deux lits avaient été nettoyer et faits. Il y avait même une table avec de la nourriture de l'eau et des objets utiles. Il avait mit notre micro-générateur en marche ce qui faisait fonctionner et les caméras et quelques lumières de la pièce. Il faisait presque bon vivre. Franchement pour une fois qu'un lieu pareil me servait à quelque chose. Toutefois il me dit remarquer que le lieux n'a pas une mais deux trappe pour y entrer. Nous sommes entrés par le dortoir des filles, qui est adjacent a celui des garçon à travers la porte close. Je passe la tête a travers la trappe des gars. Cela soulève tout un monde peuplé de rats, araignée, cafard et autres vermines. La salle est totalement plongé dans le noir. Je demande à Mat une lampe torche. Il en a une, qui éclaire peu, mais qui éclaire quand même. Je balaye la pièce d'un léger rayon lumineux. Tout est poussiéreux mais en bon état. Les fenêtres sont totalement barricadé de planches. Les lits sont fait. Chacun a son oreiller blanc bien positionné au bout. Et une couverture bleue marine orne chaque lit. Tous sont fait sauf un. Au milieu, une couverture forme une bosse. Je m'aproche et j'entend légèrement ronfler. Je suis tétanisé. Une goutte de sueur perle de mon front et tombe sur le parquet tandis que j'approche une main fébrile de la couette. Je la saisit et je sent quelque chose se crisper en dessous. Je ne sait pas ce qu'il y a en dessous mais ça a peur. Je l'attrape et je la tire d'un coup. En dessous un jeune homme d'environ 18 ans se recroqueville. Il se met à crier:
"- Non pitié Monsieur. L je vous en prie ne me refaite pas cela. Je n'aime pas les hommes ne m'approcher plus. Vous avez eu mon silence en échange de la nourriture illimité mais cela suffit ne me touchez plus!!
- euh je te demande pardon? Vous êtes qui d'abord jeune homme?" Lui demandai-je surpris. Il me regarde, voit que je ne suis pas celui dont il a peur et se relève. Debout il fait largement 1m76. Il est vraiment svelte et assez féminin dans la manière de se tenir. Il me prend dans ces bras et se met à pleurer sur mon épaule. Je sais déjà qui il est. C'est Charlie, le premier de la liste des jeunes gens décédés. Je le repousse doucement vers son lit pour qu'il s'asseoit. Je pose la lampe sur la table de chevet de manière à bien le voir. J'approche ma main de son visage pour lui poser le tatouage sur le front. Néanmoins il est aspiré en arrière au moment ou je l'approche. Je l'entend hurler quelque chose avant un silence pesant. Plus de bruit. Je reprend la lampe. J'entend uniquement ma respiration, haletante, angoissée. Puis un bruit vie à briser ce silence. Des grattement d'ongles sur le sol. Ils approchent. Mais où est Charlie? Je fait tomber la lampe dans le faire exprès en lançant un juron. Elle roule jusqu'au milieu de l'allée. Et je vois Charlie. Il a les yeux cousus et le visage griffée. Sa peau fait ressortir des veines noiratres. Sa féminité à laissé place a une sorte de disloquation de son corps. Ces bras ont un angle vertical inquiétant. Son dos est tellement courbé qu'une scoliose à du naître en quelques secondes. Ces bras tel des branches se rabaisse dans un craquement d'os terrible. Son visage se tire laissant apparaître des dents pointues et inégales. Il court vers moi. Mais je suis prêt cette fois. Je ne me ferai pas avoir deux fois. Je l'attend la main sur mon couteau. Il nest pas loin. Je le sors et lui fonce dessus. Il arrive à me griffée sur l'omoplate mais moi je l'eventre totalement. Ces viscères ressortent et s'éclatent sur le sol dans un liquide noir. Il me fixe de ces yeux cousus et tire sur ces paupières. Elles se déchirent et il peut enfin voir. Il hurle de douleur et me fonce dessus. Je suis prêt à l'attendre mais au lieu de tenter de me planter, il s'agenouille devant moi et me tend son front en criant qu'elle allait bientôt revenir. Je lui met la paume sur le front. Nouveau flash de lumière. Il se retrouve comme avant. Mais habillé de blanc, le visage souriant, beau. Il me remercie et part comme une brume. Je m'asseois par terre et je souffle un bon coup le temps que mon coeur réduise la cadence. Mais à peine ai-je le temps de m'en rendre compte que la nuit est tombé. Une planche tombe d'une fenêtre et me laisse entrevoir le ciel étoilé. En face de moi une petite fille me fixe. Elle a le teint pâle et la peau de porcelaine. Et merde je fait quoi moi?...

Désolé pour le retard mais en vacance la connexion est un peu toute pourrie. Je vous envoie ce chapitre depuis un café avec wifi bonne lecture j'essaierai de vous en remettre undes que je peut. Biz ❤