Ten Months • Antoine Griezmann

8

Je met cette petite note en début de chapitre pour ceux qui aurez oubliée : le chapitre 8 est en réalité la deuxième partie du chapitre 7 puisque je l'est couper en deux! Bonne lecture!

PDV Ellie.

Antoine m'ouvre la porte de sa voiture. Une Maserati GranTurismo noire également.

« Tu à la même voiture que Paul ! » je monte a l'avant de se bijou alors qu'Antoine referme la portière après moi.

Il se précipite à mes côtés et fait rugir le moteur de sa voiture. Crâneur.

« Ouais , on a quasiment les même goûts avec Paul puis il faut dire que c'est un vrai trésor cette voiture. »

« une splendide italienne au style racé, qui taquine les 300km/h en vitesse de pointe et qui se négocie à près de 160.000 euros. » je touche le magnifique cuir intérieur des sièges « c'est moins de 15 jours de travail pour un joueur professionnel tel qu'Antoine Griezmann. » je tourne ma tête vers lui.

Il me regarde en souriant , encore et toujours. Il dépose sa main sur ma cuisse , en y exerçant une légère pression mais je ne suis concentré que sur son regard bleu électrisant illuminé par les spots. Je ressens une électricité entre nous , celle qui n'existe que quand nous sommes tous les deux.

« Tu parle de ma voiture et de ce qu'elle m'a coûté ; alors que ton père possède une Bugatti Chiron sortie cette année , dont le moteur atteint les 100 km/h en 2,5 seconde et dont le prix est estimé a 2 500 000 euros. » il sourit comme pour me dire que ce que je venais de dire avant , n'a pas de sens.
Touchée . Coulée.

« Tu en sais beaucoup sur mon père. »

« Oh mais ce n'est pas tout. » je fronce les sourcils ; que va t'il encore me dire que je ne sache déjà ? « l'entraîneur du FC Valence a offert à sa fille une Mercedes-Maybach S 600 Guard , d'une valeur de 378 000 euros. » son regard est espiègle et taquin. « alors , où est ton magnifique carrosse princesna ? »

« D'accords , je suis prise en flagrant délit. Ma magnifique Mercedes est resté chez moi à Valence , je n'aime pas la sortir. » j'hausse les épaules.

« Pourquoi ça ? » nous avons commencé a roulé vers la fête en question.

« J'ai l'impression que tout le monde la regarde , et c'est sûrement le cas vu que c'est un modèle rare ; je n'aime pas ça. » je marque une pause après ma phrase. «Passé pour une riche , ou une gosse de riche. La simplicité et la discrétion c'est mieux. »

Quand je finis de parler la voiture est a l'arrêt , et Antoine me regarde les yeux écarquillés.

« Qu'est ce qu'il y a ? » je rigole doucement.

« C'est la première fois que j'entends des paroles comme celle la , sortir de la bouche de la fille dont le parent est riche. Tu m'impressionne de jour en jour Ellie. » je ne me rend pas compte tout de suite de la situation , et de la manière dont ces mots on était prononcé : avec une douceur inégalée.

« On devrait peut-être y aller. »

Je sort de la voiture précipitamment , rompant le contact visuel et dégageant au passage sa main sur ma cuisse.

Il me suit juste derrière quand je rentre dans le somptueux manoir. La musique est forte et la grande salle principale est décorée à l'image des Bleus. J'ai l'habitude de se genre de fête : à chaque fois que le FC Valence gagné un match , mon père organisé de grandes fêtes pour célébrés leurs victoires.

« Ellie Echeberria. » une voix masculine qui met familière me fait face en même temps que Karim Benzema.

« C'est moi. » je me permet de le détailler de haut en bas. Il porte un simple t-shirt blanc avec un jean et des basket. Il ne jouait pas aujourd'hui , et je ne l'est pas non plus vu a Clairefontaine.