Chapitre 12 ♡ -Fait moi un câlin

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Je sentis des petits doigts toucher mon visage, apparemment pour m'embêter.

Je me réveille un petit peu en clignant des yeux et aperçoit Gimenez, Carrasco et koke au-dessus de ma tête, c'est toujours les mêmes hein...

« Mais laissez moi... » Dis-je d'une voix à peine audible et endormie.

Antoine arrive au même moment.

« Putain les gars vous abusez là, elle dormait ! Dit Antoine. Venez pas vous plaindre si demain elle vous fait chier. » Renchérît il.

Il les poussa dehors, et leur dit de rentrer dans leur chambre.
Il s'allonge ensuite dans le lit et me fait un bisous sur la joue.

« Rendors toi chaton. »

Pas besoin de me le dire deux fois, quelques minutes plus tard, j'étais repartie dans les bras de Morphée.

Je me réveilla tôt le lendemain matin, bien décidée à me venger des 3 détraqueurs de mon sommeil.
Je pense que je vais quand même attendre une heure convenable avant d'aller leur faire le misère. Si ils sont fatigués à cause de moi je vais clairement me faire disputer par Simeone, et je préfère éviter si vous voyez ce que je veux dire.

Je divague donc dans le lit allongée sur le dos pendant qu'Antoine dort toujours.

Je vois affiché 9h sur mon téléphone et décide que c'est une bonne heure pour aller embêter certaines personnes.
Je vais pour sortir du lit quand un bras entoure ma taille et Antoine me colle à lui.

« Tu pensais aller où comme ça ? » Me demanda-t-il endormi, il a certainement compris.

« Allez s'il te plaît ! Ils l'ont mérité non ? » Et je lui fis les yeux doux.

« Bon ok, mais si tu as des problèmes tu te débrouilles ! » Dit il en rigolant.

« T'inquiètes ! »

« Fait moi un câlin. » Me dit tendrement Antoine.

Je me colle à lui et reste quelque minutes à lui faire un câlin pendant qu'il me caresse les cheveux.

« Bon, le devoir m'appelle ! »

Il rigole et je sors discrètement de la chambre, m'approche de celle des trois garçons qui par chance dorment ensemble. Je pousse la porte et cours jusqu'au lit où je saute.
Koke, Gimenez et Carrasco se réveillent en sursautant et ne comprennent pas tout de suite.

Je sautais toujours sur leur lit morte de rire quand des bras attrapèrent mes deux jambes et je m'étalais comme une crêpe sur le lit et tous se mirent à me faire des chatouilles, ce que je ne supporte pas.

« Oh non pitié tout mais pas de chatouilles ! » Criais je.

« Pitié ? Pas de pitié ! » Dit Carrasco.

Et ils me chatouillèrent jusqu'à ce que je manque de souffle. Je réussi finalement à m'échapper et je courus jusqu'à notre chambre et ferma la porte derrière moi et je me rallongea dans le lit.

« Oh mon dieu, j'en suis sortie vivante. Dis-je essoufflée.
Si jamais c'est toi qui leur a dit que je craignais les chatouilles, je le prendrai mal. » Lançais-je à Antoine.

Il me Lança un petit sourire malicieux qui veut tout dire.

« Donc c'est toi qui leur a dit ? Ça c'est moche monsieur Griezmann, très moche. »

Ils ne se sont plus jamais quittés Où les histoires vivent. Découvrez maintenant