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Chapitre 2

Je partis rejoindre mon père aux écuries, il ne tenait pas les rênes deux chevaux scellés. L'un alezan l'autre noir comme la nuit.
Il me tendit les rênes de celui qui était alezan, son nom était brune. J'accrochais mon sac à l'arrière sur la selle et mis mon pied gauche dans l'étrier et pris mon élan pour passer ma jambe droite par-dessus le corps du cheval, un foie bien installer je réglais mes deux étriers pour qu'il soit à la bonne taille de mes jambes, puis je réglais les rênes.

-Tu n'étais pas obligé d'emporter ce sac avec toi.

-Si, c'est tout ce qu'il me reste maintenant.

Nous nous mirent en marche, nous sortîmes des écuries et on marcha vers les abords du village vers les collines immenses et infinie. Il y avait un fin brouillard, qui s'étendait sur les plaines, prisonnier des collines.
Notre voyage allait durée une journée pour allée vers les terres du seigneur Dracos. Nous passerons par la montagne aux mille roches puis par la forêt dense et ensuite nous remontrons le lit de la rivière jusqu'aux vallées où se trouve le fameux château du prince Draco

À Midi mon père décida de s'arrêter dans une auberge du nom au lit on dort pour que l'on puisse manger un peu, je n'avais pas mangé ce matin et pas beaucoup hier soir. Nous nous asseyons à l'une des tables de l'auberge et mon père nous commanda à manger.
-Qu'a tu commander .
-De l'omelette, du pain et un peu de vin.
-Miam je m'en régale d'avance.
-Ne t'inquiète pas le repas de fête c'est demain avec le prince .
-Je m'en réjouis d'avance;
-Ne dit pas sa tu veux, je veux que tu te comportes bien demain.
-Oui comme d'habitude, c'est mon rôle de toute façon.
-Bon mangeons.
Je retournais à mon assiette énerver et stresser

Après un petit repas nous repartîmes à cheval.
Je ne me sentais pas prête à me marier, je me demandai comment mon père avait réussi pour qu'un prince veut de moi.
J'admire la nature quand je vis une biche brouter tranquillement avec son petit, je ne me voyais pas comme sa dans quelques années.

Nous avancions tranquillement, sur une toute petite route au milieu de la forêt, nous étions à quelques lieus du château quand j'entendis un battement d'ailes puissant, je levais la tête et vis un immense dragon nous survolions avec un homme dessus. J'en étais choqué.
-PAPA, y a un dragon dans le ciel avec un homme dessus !
Mon père leva la tête au ciel, avec un air perplexe.
-Peut-être que la rumeur disait vrai, en tout cas je ne voie rien .
Je relevais la tête est m'aperçus que le dragon avais disparu.
j'étais pourtant sur d'en avoir vu un, peut-être que ce mariage me montais à la tête.
Nous continua notre chemin.

Je commence à m'endormir sur la selle quand soudain mon père s'arrêta, il se mais à scruté les alentour puis d'un air apeuré fit demi-tour, je l'imitais et il me dit :
-Va-t'en au galop il y a des bandits cachés !
Mon père était souvent sur les routes, il avait à prendre à c'est dépendu à savoir quand il y avait un problème.
Je donnais un grand coup de talon dans le ventre de mon cheval et il s'élança au galop, la route n'était pas très favorable pour la fuite il y avait plein de trous et de cailloux.
j'entendis mon père me suivre mais quand je me retournais-je vie que ce n'étais pas lui mais plutôt l'un des brigands. Il était grand et musclé, sale avec une barbe d'au moins une semaine.
Je tournais d'un coup pour m'enfoncer dans la forêt, plusieurs troncs me barrais le passage mais mon cheval réussit à sauter par-dessus.
Le gars me rattrapait quand soudain un deuxième arriva sur ma droite et décocha une flèche dans ma cuisse.

La douleur me coupait le souffle, mais sous le coup de l'adrénaline je pris les rênes et fouettai la cuisse du cheval pour qu'il galop plus vite, Je tournai d'un coup vers la gauche et déboucha dans une clairière, j'avais affreusement mal, je crus que s'en étais finis de moi quand des hommes en uniforme arrivèrent sur moi et sortirent leurs épées, je fermais les yeux pensants qu'il allait me tuer quand je sentis un bras puissant m'enserrer la taille je lâcher tous puis ce fut le noir complet.
La douleur surgit de nulle, je me réveillais en hurlant, je compris ensuite que l'on m'avait retiré la flèche de ma cuisse. Je retombais inerte évanouie dans les bras de cette inconnue.

J'entendis des bruits autour de moi peu à peu compréhensible, c'était une conversation entre deux hommes :
-Que faisons-nous chef ?
-Nous allons attendre qu'elle se réveille pour pouvoir la déplacer;
-Nous venons de retrouver son père, vivants, on lui a dit pour son père .
-Bien envoyer un message à mon père pour le prévenir de notre éventuel retard et sur tous dits lui de ne pas envoyer Orqua.
-Oui chef.

-Allés ma courageuse réveille-toi.
Au bout de quelques minutes, je réussis à ouvrire faiblement les yeux, je me trouvais allongé par terre dans les bras d'un homme, il avait la tête cachée par une cape et je vis que sa bouche ou s'étirait un sourire en coin de mauvais garçon.
Je pris peur et essayai de m'enfuir mais la douleur à ma cuisse explosa et je naquis réussis qu'à rouler sur moi-même

Il rigola.
-Tu croies que ces avec cette blessure que tu vas t'enfuir .
-OUI, mais qui êtes-vous bon sang, j'ai failli frôler la mort aujourd'hui !
-C'est un fait, je me nomme Killer, de la maison Dracos et toi tu es Rose ma fiancée.
Je le regardais choquer
Il me sourit et me dit :
-tu es faible, économise t'es force tu veux !
-Je...heu... je balbutiai car je n'y arrivais pas à y croire .
J'étais toujours allongé par terre, je ne voulais pas être faibles devants lui. Je pris mon courage à deux mains et me relevais au bout d'un long effort sur humain, je sentais son regard moqueur dans ma dot je me retournai et la vie sourire. Il retira sa capuche est vie son visage. Il était....