Ton cou, ton cou était pour moi comme une obsession, dit de cette façon, cela peut porter confusion, je ne t'ai jamais trouvée belle de cette manière, ce que je veux dire, c'est que pour moi, ton cou était un signe que tu étais toujours là, une certaine assurance de ta présence en ce monde. Le battement de ta jugulaire ainsi que la délicieuse odeur qui s'émanait de ton cou. C'était une odeur florale, légère, une certaine odeur, une innocence, l'odeur que l'on attribue aux jeunes enfants qui étaient là.