Je m'appelle Ayano Aishi et j'ai 17 ans. Je suis une personne assez spéciale, mais je m'en fiche. Avant de commencer à raconter ce que je vie en ce moment, je vais commencer par raconter l'histoire depuis le tout début, alors que je ne faisait pas encore partie de ce monde. Ma mère était comme moi étant jeune, elle ne ressentait aucune émotion et faisait semblant devant les autres d'être une personne normale, mais, un jour, un garçon ( mon futur père ) a tout basculer dans sa vie, elle a ressenti tout d'un coup une vague d'émotion. Elle a compris que c'était ce garçon sa raison de vivre, elle se jura qu'elle finira avec lui un jour ou l'autre, qu'il le veuille ou non. Derrière l'école dans laquelle elle étudiait se trouvait un cerisier et elle eu l'horreur de découvrir un jour le garçon de ses rêves les plus profond offrir une bague, un magnifique anneau qui semble être en or incrustée de trois gros diamants rouges, à une camarade de sa classe, Hanako. Bien sûr, elle accepta le présent et tomba sous le charme du jeune homme. Rioba ( c'est le nom de ma mère ) pris une grande décision comme celle qu'a pris sa propre mère autre fois, comme elle ne peut pas supporter l'idée que son âme soeur soit éloignée d'elle, elle se promit de tuer la jeune Hanako au plus vite, cela vous semblera de la folie ou une solution des plus idiote mais on voit bien que dans ce cas vous n'avez jamais ressenti ce qu'est réellement l'amour et de ne pas pouvoir s'imaginer sans quelqu'un en particulier dans notre vie. Elle suivit Hanako toute la journée et trouva le bon moment au moment où elle se dirigea au toilettes. Elle n'hésita pas, lui mis la main sur la bouche par derrière et lui planta un couteau noir incrusté de pierre comme sa bague dans le front. Elle ne paniqua pas et pris les choses en main, on ne trouva jamais l'auteur du crime. Mais ! Un journaliste dont on ne connais pas le nom s'en mêla, et malgré les policier qui lui affirmait que le coupable était impossible à trouver. Il voulu quand même mener sa petite enquête et remarqua quelque chose, une étudiante n'agissait commes les autres, elle semblait intimidé voir user de violence envers d'autres fille qui tourne autour d'un garçon en particulier et il comprit tout et fut le seul. Mais il lui fallait des preuves concrète pour accuser cette fille qui n'était nulle autre que Rioba et il n'en avait aucunes. Il décida de quand même l'accuser en espérant qu'elle craquera devant le juge car il s'agit quand même d'une accusation très grave ! Mais lors de la cérémonie, le journaliste fu bluffer, il n'avait jamais vu un jeu d'acteur aussi parfait de la part d'une femme ! Elle a pleurée comme un pauvre petit animal blessé et tout le monde la crue quand elle accusa le journaliste d'être un pervers qui observe et accuse ensuite des étudiantes. Elle charma tout le monde et le journaliste fut accusé et en sortant du bâtiment, il entendit une voix féminine dans son dos lui dire ceci :
- J'espère qu'à présent vous avez compris, et j'espère aussi pour vous que nos chemin ne se croiseront plus jamais, sinon... gare à ce qui vous arrivera...
Il se retourna et se retrouva en face de Rioba, et remarqua toute l'horreur qu'il y avait dans son regard, un regard vide, sans expression, comme celui d'une poupée qui le fixait comme ca. Il prit bien compte de la phrase de la phrase de Rioba et espère bien ne plus jamais la croisée. Les années passèrent, le journaliste perdit son emplois, fut humilié de tous, mais rencontra une femme avec laquelle il eut une fille, mais sa femme mourut pendant l'accouchement. Le journaliste ( qui du coup n'en était plus un ) fut démoli intérieurement par cette nouvelle et au cours de la vie de sa fille, il était un père horrible, elle dut pratiquement s'élever seule et se débrouilla d'ailleur très bien ! Son père, qui la connaissait à peine, la vit utiliser à partir d'un certain âge un ordinateur, il n'avait aucune idée de l'endroit d'où il provenait ni par quel moyen elle a obtenue l'argent pour se procurer cet engin. Il ne lui posait pas de question car sa fille lui faisait un peux peur, ca n'aura pas été qu'une fois où il l'a vue rentrée de l'école avec du sang sur ses vêtements. Rioba n'avait toujours pas réussi à se faire remarquer par celui qu'elle aimait, alors elle n'avait plus le choix, elle allait utiliser la force. Elle attendit qu'il soit seul pour lui faire respirer un anesthésiant et le traîner, endormie, jusqu'à chez elle, elle l'attacha sur une chaise, comme l'avait fait ma grand-mère avant elle, elle a dailleur eu beaucoup de mal à ajouté cette cave à notre maison, sa mère ( cette à dire mon arrière grand-mère que je n'est bien sûr pas connue ) n'était pas au courant de ses activitées meurtrières. Après plus de 6 heures de sommeil, il se réveilla, chouter et paniquer. Il était adorable à ce moment là d'après ma mère. Leur dialogue se passa comme ceci, c'est ma mère qui l'a débuter :
-Oh, chéri ! Tu es enfin réveillé !
-...ahhh...quoi ?
-C'est toujours amusant de te regarder dormir, mais on se lasse un peu après 6 heures, tu sais ?
-Qu'est-ce qui se passe ? Ou suis-je ?
-Nous somme dans mon sous-sol, chéri ! Ma mère a eu beaucoup de mal à faire ajouter ce sous-sol à notre maison !
-De quoi est-ce que tu par... hein ? C'est quoi ça ?! Je suis attaché à une chaise ?! Avait-il dit en commençant à sérieusement s'agiter.
-En effet chéri. C'est la chaise que ma mère a fabriqué pour mon père quand elle le gardait ici ! Et maintenant tu es assis dessus, aussi ! N'est-ce pas romantique ?
-...n'es-tu pas... cette fille qui est passée à la télé récemment ? Ton nom c'est... Aishi-san ?
-Oh, tu n'as pas besoin d'être si formel, chéri ! Tu peux utiliser mon prénom tu sait.
-Doux Jésus... ce n'est pas vrai, si ? Tout ce qu'a dit le journaliste ?
Elle devint plus froide.
-J'ai dis. Utilise mon prénom. Chéri.
-Je suis désolé, je ne te connais pas assez bien pour...
Elle coupe en plaçant un couteau sous sa gorge.
-Dis. Mon. Nom.
-R... Rioba ! Rioba !
-Oh, chéri ! J'ai attendu tellement longtemps pour t'entendre dire ça !
-Qu... qu'est-ce que tu me veux ? Je suis ta prochaine victime ?
-Victime ? Bien sûr que non, chéri ! Tu es l'élu que je protégeais depuis tout ce temps !
-Protégeais... ? Tu veux dire... toute ces filles à l'école...
-C'est ça, chéri ! Elles menaçaient notre amour ! Je devais me débarrasser d'elles.
-Amour ?! Mais on ne s'est jamais parlé avant aujourd'hui !
-je sais, chéri ! C'est tellement excitant de te parler pour la première fois ! J'ai hâte que l'on ai toutes nos premières fois ! Notre premier rendez-vous, notre premier repas ensemble, notre premier baiser, notre première... mhihihi
-...Rioba-chan... si tu aime quelqu'un, tu ne devrais pas le kidnapper et l'attacher à une chaise !
-Bien, alors comment suis-je supposé faire pour être sûre que tu n'essaiera pas de t'enfuir, chéri ?
Il commence a perdre espoir et tente de la suppliée.
-Pitié... pitié, laisse moi m'en aller. Je te promet que je ne dirais rien à la police.
-Désolé, chéri ! Tu n'es pas autorisé à quitter cette chaise tant que je ne serais pas 100% sûre que tu n'essaies jamais de me quitter ! A partir de ce jour, je ne te perdrai jamais de vue ! Nous serons ensemble... pour toujours !
-...p...pour toujours...?...
-C'est ça ! Bon, je vais te laisser te reposer, à demain !
Et voilà comment s'est terminé leur première rencontre. Le temps passe et mon père n'avait plus le choix, après une semaine enfermé sans chauffage, sans changer de vêtements mais ma mère lui préparait quand même trois repas par jours avec le plus grand soin, elle descendait chaques jours au sous-sol pour lui dire bonjour ou bonne nuit, elle savait bien qu'il finirait par céder; Il lui annonça un matin avec une grande vérité dans la voix qu'il était prêt à rester avec elle pour toujours.

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Love Sick
HorrorVivre sans sentiments, c'est difficile. Aimer quand on ne ressens rien l'est encore plus. Je suis Ayano Aishi, et voici mon histoire... Avant de commencer, sachez seulement une chose. Celle qui se mettra en travers de mon amour, le paiera de sa vi...