Chapitre II (lemon)

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Je me dirigeais vers ma place habituel dans l'amphi, me laissais tomber sur ma chaise et sorti mon tel et mes écouteurs.
Ah non en fait. Je les rangeais rapidement en voyant que ma proie m'avait suivi, pourrait s'amuser aujourd'hui...
Je lui fis un sourire lubrique qui eu pour effet de le gêner immédiatement. Oh non pitié pas un Saint Nitouche...
Je soupirais discrètement et sorti un cahier sur lequel il n'y avait que de vague gribouillis en faisant mine de m'intéresser au cours, qu'est-ce que je ferais pas pour battre l'autre con.
M'enfin sa moue dépité valait le coup de se faire chier.
Si il pouvais rager aussi... Cette pensée me tira un large sourire qui m'attira un regard d'Ay'.
Ouais je ressemble à un con à sourire comme ça, et ?!
Je serrais discrètement le poing pour me contenir, l'insulter n'est sûrement pas le meilleur moyen de le chopper, même si tout les goûts sont dans la nature je le vois mal maso.
Quoiqu'avec sa tête de victime... Hhmmm...
Bref.
Je fis "involontairement" tomber mon crayon à ses pieds et me penchais en prenant appui sur le haut de sa cuisse, frôlant son entrejambe du petit doigt.
Ce qui le fit gémir.
Pitié mais ce mec est en manque ou quoi ?!
Je me relevais brusquement et fit comme si je n'avais rien remarqué. Il essaya d'abord de s'expliquer en bafouillant, rouge de gêne, mais en voyant que je lui fis simplement un petit sourire il soupira et se concentra à nouveau sur son cahier.
Putain d'int... Je regardais plus attentivement et remarquait qu'il dessinais, et en me penchant un peu plus... C'était Bib, Souls et moi entrain de fumer un joint à notre place habituel. L'ananas était un peu bâclé mais les détails sur Quentin et moi était impressionnants.
Mon ombre me trahi et il tira son dessin vers lui.
- Tu peut me laisser un peu d'espace ?! T'es soûlant à la longue.
Ptit con prétentieux... T'ose simplement pas t'avouer que j'te plaît... Mais visiblement Bib aussi, merde.
Je rigolais simplement, ce qui lui fit lever les yeux au ciel. Et sourire discrètement.
Waw, t'as réussi à me tirer un rire faux, bravo.
Je me retins de soupirer et attrapais mon téléphone, lu rapidement les messages de Bib qui se faisait chier, et y répondit. Je passais le reste de l'heure silencieux à papoter avec Quentin, tandis qu'Ay', tout aussi silencieux, dessinais je sais pas quoi.
Quand la sonnerie retentit, enfin, je me levais et me dirigeais vers mon prof de maths.
Je savais que je n'aurais jamais des résultats suffisant avec mon peu d'attention aux cours pour passer mon année, aussi c'était on... Arrangé je dirais. Antoine, de son prénom, était un homo refoulé marié à une femme vaniteuse et superficielle qui lui avait donné deux gosses.
Il attendit que les derniers élèves sortent pour fermer la porte à clé et s'approcher de moi de sa démarche féline, et très sexy. Je lui souriais simplement. Quand il arriva à ma hauteur je l'embrassais fougueusement, tandis qu'il me poussait contre son bureau. Je me laissais faire, enlevait rapidement sa veste de costard puis sa cravate rouge tandis qu'il envoyait valser mon t-shirt. Nos gestes étaient brusques, notre baiser sauvage et notre envie presque palpable.
Je déboutonnais hâtivement sa chemise, et mordillais ses tétons en déboutonnant son pantalon. J'étais assis sur son bureau, il me retira brusquement mon pantalon, dévoilant mon érection. Je ne portais pas de boxer, ça l'excitait et c'était moins de linge à laver.
Rapidement j'abaissais son pantalon et son boxer, juste d'une dizaine de centimètres, et il entra violemment en moi. Je serais le bureau entre mes mains, les larmes aux yeux. J'entourais rapidement ses hanches de mes jambes et ondulais du bassin une fois habitué à sa présence en moi, et il me lima violemment, faisant bouger son bureau. Je retenais difficilement mes couinement de douleur en me faisant sauter par mon prof, mais je prenais très clairement mon pied. Lèvres entrouvertes, gémissant de plaisir, les yeux clos.
Je me faisais casser le cul violemment.
Il attrapa mon érection et me branla activement, et vint une poignée de minutes plus tard. Heureusement qu'il était précoce, s'était la fin de la recrée et les fucking cours allaient reprendre.

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Ouais dès le chapitre 2 et sans sentiments. Ouais. Niquez vos mères.

A+ en commes

Parier. Jouer. ...Aimer ? [FINI]Where stories live. Discover now