La Princesse Élémentaire 🍃

Chapitre II

Pdv Laura

- Salut, je m'appelle Maël, me dit-il, et toi c'est...

Je peux pas me décrocher de ces magnifiques yeux. Blake avait raison, il est à tomber. Je finis pas répondre, sans pour autant me décrocher de ses yeux marron.

- Euuh... Moi c'est Laura.

- Ton prénom est magnifique.

Je rougis et détourna le regard.

- Mademoiselle Rangers, intervint le prof, qui a écrit "Le haut des hurlements" ?

- Euh... J'en sais... Rien, dis-je gêner.

- Alors, écouter.

- Oui, monsieur.

Pendant tout le cours, je regardais soit par la fenêtre, soit vers lui. Lui aussi me regardait, et à chaque fois je rougissais.

Quand c'est la pause du dîner, je pars directement ​retrouver Rosa.

- T'as vu le nouveau, me dit-elle, il est craquant.

- Oui, dis-je en le regardant, il s'appelle Maël. Je suis avec en littérature, musique et histoire.

- Chanceuse, me dit-elle la mine boudeuse, alors, tu le trouves craquant ?

- Il ne m'intéresse pas. Et même si, il s'intéresserait pas à moi, dis-je, neutre.

Soudain, je me rendis compte qu'il me regardait aussi. Je rougis et Rosa s'en aperçut. Mais elle changea de sujet.

- Alors, ton frère et Alec sont officiellement ensemble ? Dit-elle.

- Oui, ils sont tellement mignons ensemble, dis-je en regardant dans leur direction, regarde les, on dirait toi et Junior au début de l'année passé. Vous toujours ensemble.

- C'est vrai, mais contrairement à eux ça a durée que 2 mois, dit-elle, colérique.

- Ouais, c'est ​vrai que c'était un emmerdeur professionnel, mais je lui en ai fait voir toute les couleurs.

- Et il a changé de lycée, tant mieux, dit Rosa.

On parti à rire. On était incontrôlables toute les deux. Ahah. Je repense à l'an passé : c'était hilarant. On s'était​ battus et je lui avais donné une raclée. Il s'était ramassé à l'hôpital, avec une fracture à la jambe gauche et des échymoses un peu partout. Moi, j'en étais sorti indemne.

On a parlé de tout et de rien tout le reste du midi nous sommes repartis en cour.

Ellipse des cours

Après les cours, je vais attendre mon frère où ma voiture. Soudain, Maël arrive à côté de moi. Je baisse la tête.

- Salut, me dit-il tout sourire.

- Salut, lui répondit je dans ma barbe.

Après mon salut ennuyant, il prit directement mon menton de deux doigts ​et me releva la tête.

- Eh, sa va, me dit-il inquiet.

- Oui, oui, tout va bien, même très bien... Euh... Tu voulais quelques choses ? Lui dis-je.

- Euh, non, je voulais juste te dire au revoir.

- Oh , et bien à demain Maël.

- À demain, douce Laura.

Et il part sans regard en arrière après m'avoir surnommé douce Laura. Étrange, quand il m'a touchée tantôt, j'ai ressenti des frissons me parcourirent le corps. C'était relaxant, en même temps d'être étrange.

- Coucou, Lolo, me fit sursauter, mon frère.

- Coucou Bay, tu m'as fait une de ses peurs.

- Ahah. Mais, quesqui c'est passé tantôt quand t'étais avec le nouveau, me demanda t'il inquiet, je reçu plein de frissons sur tout le corps.

- Rien, mais toi quand tu es avec Alec, je ressens plein d'émotion de ta part et c'est assez embarrassant, dis-je sur un ton moqueur.

Oui, c'est vrai, puisque nous sommes jumeau, on reçoit les sentiments de Blake et moi les siens.

- C'est moins pire que quand nous l'avons tu arrêtait de m'harceler le lendemain. Ça venait agaçant pour moi et Alec, dit-il.

- Ouais, c'est sûr.

Sur ce, nous partons pour la maison. Pendant tout le trajet, on ne parla pas. Je pensais à Maël : de ses beaux yeux marron et de son sourire étincelant. Il est vraiment beau. Je voudrais être avec lui tout le temps. On dirait que quand je l'ai vu pour la première fois c'est comme un vide en dedans de moi qui s'était​ rempli à nouveau​, mais que j'avais jamais ressenti ce vide auparavant.

On arrive à la maison et on rentre. Papa est déjà en train de manger. Il a commandé de la pizza. Miam¡ On va se régaler.

Après le souper, je vais prendre ma douche et me coucher dans mon lit pour lire.

Tout à coup j'entends quelques choses cogner sur ma fenêtre. J'ouvre les rideaux et vois Maël . Mais que fait il là à cette heure.

J'ouvre la fenêtre et lui dit de me rejoindre à l'entrée puisque que la famille est couché. J'ouvre la porte.

- Mais que fait tu là ? Lui dis-je sous l'incompréhension.

- J'avais besoin de te voir.

Mon cœur s'emballe et je rougis.

- Pourquoi, lui répondis-je bêtement.

- J'ai besoin de te parler.

- Ok, vient dans ma chambre.

Il me suit jusque dans ma chambre et on s'assoit sur mon lit.

- Alors, qu'à tu à me dire de si important?

- Tu sais ce que t'as ressenti quand je t'ai touché, moi aussi je l'ai ressenti. Je vais tout t'expliquer... Mais...

On fut couper par des coups sur ma porte de chambre.

- Chérie, tu dors ? Me dit mon père.

- Oui, lui dis-je. Bonne nuit.

- Bonne nuit.

Je me retourne vers lui.

- Désolé, je vais revenir t'expliquer, il faut que j'y aille. Je vais revenir te chercher...

Sur ce, il s'enfuit par la fenêtre...

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À suivre...