Coup de foudre (W/ Cameron Dallas)

Chapitre 35 : Jalousie.

Lucie

Cam : Eh, mon cœur....
Il me fit des bisous dans le cou.
Cam : Réveilles-toi...
Moi : Mmmmm...
Cam : Désolé de te sortir de tes rêves, mais il faut qu'on se lève !
Moi : C'est pas grave, je sors d'un rêve pour en entrer dans un autre...
Cam : Comment ça ?
Moi : Parce qu'à partir du moment où t'es dans ma vie, elle devient tellement parfaite qu'on dirait un rêve.
Cam : Wouah ! Je ne te savais pas si poétique !
Moi : T'y habitues pas trop, ça doit être parce que je suis encore à moitié endormie !
Cam : Eh ! Dit-il en me pinçant la taille et en rigolant.
Je me tors sur le côté.
Moi : Arrête tu sais très bien que je ne supporte pas ça ! Dis-je morte de rire.
Cam : Et toi tu sais très bien que je ne supporte pas quand tu es insolente envers moi !
Moi : Moi insolente ??

Il hocha la tête de haut en bas, avec un grand sourire au lèvres. Il est tellement beau !

Cam : Je te donne envie ?
Moi : Non, je me disais juste que t'es vraiment moche. Dis-je d'un ton sérieux même si j'en pense tout l'inverse.
Cam : Oh mais toi ma petite, il se leva, tu l'auras cherché !!!

Il pris un oreiller, se mis à califourchon sur moi et commença à me frapper avec.
J'en saisie également un posé à côté de moi, et le frappe aussi. On était pèté de rire tout les deux.

Moi : JE VAIS TE FAIRE BOUFFER DU TISSU DALLAS !!!
Cam : A PART SI JE T'EN FAIS BOUFFER AVANT !!!

On se frappa avec les oreillers, encore et encore, jusqu'au moment ou je vis qu'il fonça sur moi. J'eu juste le temps d'esquiver, il se cassa donc la gueule du lit. J'explose littéralement de rire. Mais vraiment. J'étais pliée en deux.

Cam : Aiiieeee....

J'étais allongée tellement je ne pouvais m'empêcher de rigoler. Je me relève pour aller au bord du grand lit pour voir s'il ne s'était quand même pas trop fais mal, mais toujours en rigolant.

Moi : Ça va ?
Cam : Pas vraiment...

Je n'eu même pas le temps de répondre qu'il me tira par le poignet pour que je tombe sur lui. Il me serra dans ses bras et un grand sourire se réinstalla sur son magnifique visage.

Cam : A maintenant ça va mieux !
Moi : Pfff... Je vois pourquoi t'es acteur !

On s'embrassa lentement. Un sentiment que je ne connaissais peux avant, mais qui depuis quelque temps était devenue presque une habitude, me traversa le corps. Ce sentiment de paix, de sécurité, et tout simplement d'amour, mais empliriés. Toutes ces sensations s'unissaient, afin de n'en devenir qu'une, une seule, une "simple" sensation, qui faisait vibrer tout mon être.

Cam : T'as raison en faite, on est vraiment dans un rêve. Un putain de beau rêve éveillé.

Ces mots me fient encore plus sourire que je ne le faisais déjà.

Moi : Bon, je suppose que tu ne m'as pas réveillé pour rien ?
Cam : Ah oui c'est vrai, Chris m'a appelé, on a tellement dormit qu'on est en retard pour le dîner.

Je regarde ma montre.

Moi : Ah ouais merde !
Cam : A oui et aussi il m'a dit qu'après on irait en boîte.
Moi : Ouh, je dois sortir le grand jeu alors !
Il me regarda d'un air inquiet et perplexe.
Cam : Pas trop non plus.
Moi : Et pourquoi ça ?
Cam : Parce que...
Moi : Parce que quoi ?
Cam : Je ne veux pas faire le copain jaloux, parce que ce n'est pas le cas je ne le suis pas, mais j'ai pas vraiment envie que les autres mecs te regarde. Tu comprends, j'aurais pas trop envie de me battre le jour de mon anniversaire.
Moi : T'es jaloux ! Assumes !
Cam : NON ! Non, je ne suis pas jaloux.
Moi : On verra ça... Dis-je avec un sourire en coin.