My story.

Grosse vache.

Tout a commencé par "Grosse vache", "Tu ressemble à rien", "Salope" puis jours après jours on essaye de s'habituer, on essaye de prendre sur soit, de faire semblant. Oui, se genre de masque que vous enfiler pour faire croire que rien ne vous blesse. Tu comprend mieux maintenant ? Pas sûr.. certains diront que ce ne sont que des insultes, que se n'est pas méchant, que c'était pour rire. Alors toi qui te réjouis de ce que tu ma fait, tu as bien raison car tu as réussi à tout gâcher. Mon adolescence et devenu mon pire cauchemar et tout sa grâce à toi. Oui c'est bien toi.. malheureusement je suis tomber dans ton piège même dans votre piège à vrai dire. J'ai honte de moi, j'ai honte de ne pas avoir su me défendre face à vos insultes vos coups, j'étais faible et sans défense. J'avais une salle réputation et toi tu sais laquelle. Oui c'est bien toi qui a dis que j'avais perdu ma virginité avec ce gars au fond de la classe, et qu'il m'avais attraper dans les toilettes, tu t'en souviens ? Et bien moi oui.. Tu peux pas savoir à quelle point je me sentait mal à chaque fois que je passer ce putain de portail, ce genre de sentiment qui te détruit le moral, qui te mais au plus bat, c'est ce genre de moment qui te fait croire que tout à changer. J'en ai pas fini avec toi, tu le payera enfin je l'espère, si aujourd'hui j'ai si peur de me regarder dans le miroir c'est en partie de ta faute. Je sais pas si ta raison, et je ne serait jamais pourquoi tant de haine en vers moi. Qu'est-ce que j'ai pu de te faire pour mériter tant de coup ?? Toujours pas de réponse.. toujours dans le doute, et toi tant pense quoi ? Nan à vrai dire je men fou de ce que tu peux penser. Moi je veux que tu ressente cette lame poser tu ton corps qui te tranche les veines, tu t'imagine la douleur..? Bien sûr que nan tu et trop égoïste. Je me suis toujours demander pourquoi j'avais tellement peur d'aller au collège, maintenant j'ai mes réponse, mais parents parler de harcèlement, puis de cyber-harcèlement, mais si tu doit t'en souvenir !! Tu sais c'est photos de moi nue posté sur un site de rencontre pour adulte, sa te dit toujours rien attend je vais te raviver la mémoire. 10:36 on était en français, tu était trois rang derrière moi, on étudier cette pièce de théâtre les fourberies de scapin de Molière, sa te revient ?! La prof de français nous avait donnez ce questionnaire à remplir quand tout à coup, je sentie une main toucher mon épaule et une voix m'appeler, "Alors petite cochonne ! T'es sur un site de cul maintenant !" A vrai dire je ne mis attendais pas, j'ai vu tout le monde rigoler, je ne savais pas vers qui allez jetait seul.. et personne pour m'aider. Toi aussi d'ailleurs tu rigoler, t'avais réussi ton coup, bravo t'avais réussi à me briser en deux. Alors pendant les interclasse, je suis allez au toilette et je me suis mise à pleurais, jetait au plus mal et toujours personne pour m'aider... alors j'ai pris mais trois doigt et je me lai suis enfoncer dans la bouche et j'ai vomi. C'était bête mais je n'ai pas réfléchi à quoi bon réfléchir. Je suis rentré en retard dans le cour d'espagnol, je suis passer pour une faible encore une fois car mon mascara qui coulait avait assombrie mon visage tout pâle, à ce moment là je ne ressente plus rien. En sortant des cours, j'avais un mauvais pressentiment, ce genre de truc qui te fait dire que tout va s'empiré, et j'avais raison, vous m'aviez tous attendu dehors. À ce moment précis je ne savais pas si je devais courir ou bien rester pour affronter la réalité, alors je suis rester puis vous avez commencer à me prendre mon téléphone à fouiller dedans, puis à me pousser par terre telle une merde, vous m'avez cracher à la gueule comme une moins que rien, puis ce surveillant qui me regarder en ne sachant quoi faire, je l'ai ai encore c'est putain de vision, j'en fait des cauchemars la nuit, je me réveille en sursaut, je veux pas le revivre tout c'est jour où je rentrer chez moi avec mes vêtements déchirés et mon corps couvert de bleue, et toujours personne pour m'aider. Vous vous demandez tous ce qu'il c'est passer après ? Et toi aussi d'ailleurs ? Alors en rentrant chez un jour parmi tant d'autre, j'avais décider de prendre c'est médicaments cacher au fond du tiroir, puis de tous les avalées, malheureusement rien..alors j'ai pris la manière forte..tu as quand même une petite idée de ce que j'ai pu faire nan ?? Oui j'ai pris une corde, je l'ai mise au tour de mon coup, jusqu'à ce que mon manque de volonté détruise cette corde. Puis j'ai fini par terre en pleurant dans les bras de ma maman. Plutôt joyeux tu me dira. Ouais à ce moment là je me suis dit que tu avait raison, je n'avais plus rien à faire de ce monde. Mais si j'écris ceci c'est que je suis encore envie malgrès toute les souffrance que j'ai infligé à mon corps. Peut être ai-je une dernière chance de penser que la vie peut me donner une seconde chance, seulement je n'y ai pas cru longtemps non plus, car les seuls amies qu'il me rester avait décider de me lâcher à leur tours, leur raison était que j'avais trop changer..misère quelle lâcheté, elle ne voulais pas avoir de problème avec toi, du coup elle mon toutes lâcher par peur. Mon univers devenais de plus en plus sombre, mon seul échappatoire mes textes, ma psychologue me disait que j'avais subi un grave tourment dans ma vie mais que tout allez s'arranger, mais tout sa n'a fait que empirais et vous y êtes pour qu'elle chose...tu veut savoir la suite parce que tu as pitié de moi ? Et bien ta pas tord, je ne suis qu'une pauvre gamine qui se plaint parmi tant d'autre, se genre de fille qui a une maison, des parents en vie, et une vie plutôt banale, ta raison je suis personne mais laisse moi juste t'expliquer une chose, j'écris parce que jusqu'à présent personne n'a su me réconforter et me promette une vie meilleur, sans doute parce que il n'y a pas un monde meilleur et qu'il faut trouver une solution. Mourir et une solution. Je suis déjà morte car tout et vide à intérieur de moi, je n'écris qu'avec c'est mot qui trébuche dans ma tête...je ne vie plus je survie dans un monde ou tout le monde et égoïste.