Une vie mouvementée

Chapter numbre two

Satine venait d'arriver, j'allais enfin pouvoir entamé une réel conversation avec elle et non pas une petite conversation courte, qui ne dure que deux minutes parce qu'elle cherchait son trousseau de clefs, Jaren était vraiment gênant avec ses commentaires sur mon corps à chaque fois, mais je devais dire que c'était plutôt flatteur de sa part, de recevoir un tel compliment. 

Moi : Bon, tu peux partir de la salle de bain, c'est gênant là, je suis légèrement toute nue. 

Jaren : Oh tu es vraiment ridicule, quand ton corps c'est de l'art, pourquoi ne pas le partager à un public. 

Je sourit telle une adolescente de 15 ans, il est tellement flatteur vis à vis de moi. 

Moi : Oui, bon sors. 

Il ferme la porte derrière lui, j'entends ses pas dans les escaliers, je me rince les cheveux, puis je sors de la douche et je m'essuie le corps, je met une brume rafraîchissante sur mon corps, et me nettoie le visage, je sèche mes cheveux avec le sèche cheveux, et m'habille, je met un jeans skinny, bleue foncé, une paire de bottes en moumoute marrons à pompons, et une blouse légère blanche, je me coiffe rapidement mes cheveux, et je descends les escaliers. J'entends des rires provenant de la salle à manger. 

Lorsque j'arrive dans la salle à manger, Bree s'amuse à jeter des cacahuètes et les rattraper avec sa bouche, telle une enfant de primaire, tout le monde ries de ses conneries. 

Bree : Oh te voilà Lexia, viens.  Dit-elle en souriant. 

Je m'assois autour de la table, Emilio ouvre sa bouteille de bière à l'aide de ses dents. 

Bree : Emilio, arrête tu vas te casser tes dents, il y a des ouvres bouteilles, c'est pratique. 

Elle prend sa bouteille et l'ouvre à l'aide d'un ouvre bouteille, en lui faisant un clin d'œil. Holly se décide enfin à se joindre à nous, elle s'assoit à côté de moi.

Bree : C'est bon tu t'ai calmé, tu as arrêté ton caca boudin ? Dit-elle en rigolant

Holly ne dit rien. 

Jaren me regarde avec un sourire en coin de lèvres, je continue de penser qu'il est vraiment bel homme.

Emilio : Bon alors ont le fait cet action ou vérité ? 

Bree : Vous ne faîtes pas de bordel, moi je vais me coucher, à demain. Dit-elle en partant en direction de sa chambre. 

Moi : D'accord, pour l'action ou vérité, je suis partante. 

Emilio allume son portable et met en route l'application, il y installe les prénoms puis me regarde en souriant, puis il me dit : Lexia, action ou vérité. 

Je réponds : Vérité. 

Il me regarde avec un sourire sadique, je sais d'avance que sa question ne sera pas sympathique. 

Emilio : Est-ce que Jaren te plaît ? 

J'hésite à répondre, puis j'enlève ma salive de travers en ajoutant : Vous dire qu'il est moche serait vous mentir. 

Il sourit. 

Satine me regarde, puis elle me dit : Je vais te faire une confidence ma chérie, voilà maintenant deux jours qu'il ne fait que me parler de toi, il me rabâche sans arrêt que tu es d'une beauté, je ne t'avais pas vue jusqu'à tout à l'heure mais c'est vrai, que t'es une très jolie femme, je pense que tu lui tapes à l'œil, pourtant pour attiré mon frère il en faut, parce que jusqu'à maintenant toutes ses copines n'étaient que des plans culs. Dit-elle en prenant son verre de sangria 

Je suis toute contente d'apprendre cette information sur Jaren, je ne pensais pas que je lui plaisait, je pensais qu'il s'était juste lancer le défis de m'emmerder.

Jaren : C'est officiel, je ne te raconterais plus jamais rien à toi, il faut toujours que tu saisisses une opportunité pour m'embarrasser à croire que tu prends ton pieds de me foutre mal à l'aise t'es vraiment une casse bonbon, Satine. Dit-il d'un air arrogant.

Je rigole légèrement intérieurement, on dirait qu'il perd ses moyens c'est mignon. 

Satine : Oh, si je ne lui avait pas dit elle l'aurait deviné, elle n'est pas folle hein. Dit-elle en s'allumant une cigarette, très fine, qu'elle se met sur le bout des lèvres, elle est d'une beauté même quand elle fume. 

Elle croise ses jambes, puis elle me fait un clin d'œil, tout sourire. 

Elle est vraiment sympathique, et cool, elle ressemble à une coco bohème, une véritable petite hippie, toujours entrain de sourire et de se la jouer à la cool, avec ses cigarettes et son verre d'alcool. 

Emilio devient blanc comme un navet. 

Jaren : Qu'est-ce qu'il y a mon pote ? 

Emilio : Mandy m'a envoyé un message, en me demandant où tu étais, je dis quoi moi ? 

Jaren : Qu'est-ce que tu lui as dit ? 

Emilio : Justement j'ai rien dit, qu'est-ce que je lui dit ? 

Jaren : Dit rien à tout les coups elle va débarquer.. 

Emilio : Trop tard.. mon pote.. 

Jaren se lève et fou un coup sur la table avec son poing en répliquant d'un ton sarcastique : Mais tu es con ou quoi ? Toi même tu sais comment elle fonctionne non ? Elle va débarquer et s'incruster ici, elle va taper un scandale parce que je suis entourée de deux femmes, en plus elle n'aime pas Lexia, tu veux ma mort ou quoi mon gars ? Tu n'as pas gérer là. J'ai envie de te foutre une tatane là, tu m'agaces. Dit-il en faisant des gestes de colère. 

Emilio reste bébête ne sachant que dire. 

Jaren : Oh le con, mais quel con. 

Il est hors de questions que ce genre de femmes mettent les pieds chez moi, je ne veux pas d'elle chez moi, à cause d'elle tout l'établissement est au courant que ma mère est décédée, elle m'a tapé sur le système à la villa d'Emilio, je vais la tuer si elle met les pieds ici. 

Moi : Je ne veux pas d'elle ici. 

Holly : C'est qui, cette fille ? Pourquoi elle semble si détesté ? Jaren c'est ta copine pourtant.. non? 

Jaren : C'est ma pseudo copine tu veux dire, demande à ta sœur elle à ses raisons de la détester, moi non plus je veux pas la voir. 

Il me fait signe de la tête de le suivre, je le suis, il monte en direction de ma chambre. Je le suis puis lui dit : Je veux pas d'elle, et encore moins chez ma tante, alors tu te démerdes, tu lui racontes ce que tu veux mais elle ne passera pas la porte. 

Il me dit : Tu crois que moi je veux d'elle, je t'ai déjà dit ce qu'elle représente pour moi, elle est complètement différente de moi, pour sa mère je ne suis qu'un insecte qu'il faut écraser rapidement, pour son père je ne suis qu'un pauvre type, parce qu'ils sont issus d'une famille aisé, et moi je suis modeste, et parce que c'est une famille croyante, ils partent à la messe chaque dimanches, sans compté que son père est banquier. Je ne l'aime même pas, Lexia. 

Après tout ce qu'il venait de me révéler il m'avait fait de la peine, je le prend dans mes bras et le serre contre moi, il souffle sur mon épaule, en me tenant par les hanches. 

Jaren : T'es une fille cool, Lexia, et t'es une fille forte aussi. 

Je sourit bêtement en le regardant dans les yeux. 

Il me  touche la joue, puis me prend par le menton et m'approche de ses lèvres 

Moi : Non.. ne gâche pas tout Jaren, ne fait pas ça.. 

Il hésite deux secondes, puis m'embrasse.