Bloc E

Le plan d'urgence

Mercredi le 14 décembre 1977,
00:42 am

Après un peu plus de trois heures de vol, l'appareil bleu et blanc à la queue orné d'une éclair entouré des lettre TCB , le logo signifiant taking care of business, et qui officiellement ne devais effectuer qu'un petit vol de maintenance afin d'entretenir l'engin en état de vol, venais a peine de se poser sur la piste numéro deux, que, Pierre Gendron, contrôleur aérien en chef de l'aéroport de Montréal, visiblement nerveux et irritable envers son personnel depuis le début du quart de nuit, pris personnellement le micro du radio émetteur pour entrer en communication avec le pilote de
l'avion qui venait de s'immobiliser.

il était conscient que, avec les passager a son bord, et suite a la rencontre qu'il avait eu la veille avec un haut dirigeant des services secrets américain concernant le caractère hautement confidentiel de cette opération ; il avait tout intérêt a ce que tout ce qui était de son ressort soit parfaitement synchronisé.

Bien sur il n était au courant de rien, ou presque, mais il avait tout de même été aviser qu'il s'agissait d 'une opération du style programme de protection des témoins. Aucune fuite ne devait transpirer concernant cet atterrissage et il avait pour mandat de faire tout en son pouvoir pour faciliter et accélérer le processus de transfert, et ce avec discrétion. le moins de personnel possible ne devais être informé de cette opération.

Dans les heures qui avaient précéder leur départ pour le Québec. Seule province majoritairement francophone du Canada, situé a des centaines de kilomètre de leur futur destination . Dans cette grande maison jalousement gardé, mais également connue de tant de gens de par le monde. qui, il n'y avait pas si longtemps encore débordait de vie et d' activité jour et nuit.

Chacun des hommes présent, ce soir la , et qui devais prendre part aux préparatifs du voyage,
s'attelait à préparer ce transfert avec une immense tristesse mais aussi beaucoup de soulagement.

Depuis plus de quatre mois déjà, c était la folie pour toute l'équipe rapprocher du patron.

Toute l'organisation des fausses funérailles avait été un cauchemar. l'utilisation d'un mannequin de cire en guise de cadavre pour l'exposition, avait failli tout faire foiré lorsque le mannequin commença a fondre a cause de la chaleur caniculaire de l'été.

A la dernière minutes, ont réussi a remédier au problème en incorporant dans le cercueil un climatiseur pour conserver le mannequin en état le temps de l'exposition. les mensonges a répétition, les petits tour de passe pour camoufler la vérité qui avait suivie la tentative de suicide, avait épuiser moralement tout ceux qui étaient au courant de l'affaire.
Maintenant qu'ont terminais de préparer les malles, les documents légaux , les stocks de médications, et la mallette d'argent liquide nécessaires au voyage et aux frais a réglé dans l'immédiat, les choses allaient heureusement bientôt enfin , se calmer.
la responsabilité de veiller vingt quatre heure sur vingt quatre avec une équipe réduite, au chevet de leur patron avec l'aide du personnel médicale, en plus de réconforter son père , était devenu lourd pour tout les employer et la famille.

Depuis que le FBI ( federal bureau of investigation)et la DEA ( drugs enforcement agency)
s était immiscer dans le dossier lors de la réunion de Végas du mois d'avril, plus rien n'était simple désormais. les détails devenait important, et des réputations honorable était a sauvegarder.
le père du patron,quoique encore relativement jeune, était dans un état pitoyable depuis la tentative de suicide de son fils.

il avait ,déjà fait une crise cardiaque, et tous essayait de ménager son cœur malade du mieux possible ,lui qui devait maintenant se résigner a accepter le fait que, plus jamais il ne reverrais son fils. en tant que légataire testamentaire principale, il comprenais que toute cette mise en scène était encore la meilleur option possible , autant pour
l'organisation que pour le gouvernement.