1.

223 6 9
                                    


                                                                          Paris 

                                                                       Mai 2019 


Chris, travaillais toujours pour Gaëtan à Facebook .

Même si Emmanuel, si était opposer. Par ailleurs, Emmanuel passait presque toutes ses nuits dans la chambre de Chris, ce dont personne bien sur ne savait, et encore moi ne soupçonnait.

Chris, contemplait le soleil qui commençait à illuminé la chambre, en poussant un soupir de satisfaction. À côté de lui, Emmanuel était allongé. Son homme - son beau Président sexy, torse nu, vêtu d'un boxer Hugo Boss . Il lisait un article sur le système bancaire occidental. Ça devait être fascinant : Chris ne l'avait jamais vu aussi immobile. Chris voyait plutôt un étudiant plutôt que le Président de la France.

- Tu as bien dormi ?  Murmura doucement Emmanuel à l'oreille de Chris.

Assouvi par leur étreinte passionnée, Chris était allongé en travers de la poitrine d'Emmanuel.

- Très bien. Même si avec toi il est difficile de dormir. Dit Chris, un sourire au coin des lèvres.

- Mmm. Répondit Emmanuel. Il éclata ensuite de rire et serra tendrement Chris dans ses bras.

Chris embrassa la poitrine d'Emmanuel, d'un baiser doux et chaste, et lui dit :

- On va déjeuner !

Le nouvel appartement de Chris, avait une grande terrasse et était cacher par des grands arbres. Personne ne pouvait voir donc ke Président de la République, accompagné de son amant.

Chris, pris un café noir et s'installa sur la terrasse. Il était encore tôt, mais il  faisait déjà chaud.

La voix d'Emmanuel le fit sursauté :

- Tu vas brûler.

- Je ne brûle que pour toi. 

Avec un petit rire ironique, Emmanuel tira le parasol pour le placer vers Chris.

Malheureusement pour les deux amants ces petits moments si précieux était de plus en plus rare. Emmanuel avait tellement de travail. Il devait subir la pression, du monde entier.

Bref, les instants séparer de l'un et l'autre leurs semblait interminables.

Chris endurait pourtant cette condamnation sans protester : Être gay et être l'amant du Président français. Il n'y avait pas plus compliqué comme situation.

Emmanuel, voulu embrasser Chris mais celui-ci se leva et rentra à l'intérieur de l'appartement.

- Tu t'enfuis ? Dit Emmanuel d'une voix calme, Chris répondit :

- Non. Je préfère rentré pour que personne nous aperçoivent. Chris ne voulait pas prendre de risque. Surtout pour Emmanuel. Si ce cela se savait.

- Je m'en fous !

Chris pensa à Brigitte, à l'Elysée seule.

- Eh bien, moi pas.

- Chris tu as peur ?

- Peur pour toi, Emmanuel.

- Ne t'inquiète pas pour moi, d'accord ? 

Commme Chris paraissait perdu, il l'aida.

- Et Chris, pour ce qui est de toi, je t'ai dit que si quiconque te faisait du mal, je le traquerais. ( Même lui entendit la façon dont sa voix se transforma en un grognement menaçant. )

Chris tendit sa main et toucha le visage d'Emmanuel, ses doigts caresser sa barbre naissante. Oh, mon Dieu, le toucher. Sentir la chaleur de sa peau, inspirer son odeur fraîche et masculine.

Emmanuel attirait Chris vers lui, ramenait ce corps contre le sien. Il déplaça l'une de ses mains jusqu'à la nuque de Chris, et l'enfouit profondément dans les cheveux. D'un mouvement rapide, Emmanuel referma les bras autour de la personne la plus importante de sa vie.

Ce mec était sa raison de vivre.

Prenant la tête de Chris dans sa main, il l'attira plus près de lui et posa son visage contre son propre cou. Boum.Boum.Boum. Son cœur tambourinait si fort qu'il se demanda s'il n'allait pas exploser.

- Tu vas rester avec Brigitte, dit Chris d'un ton apathique. Tu vas...

- Ne recommence pas tes conneries avec elle...plus jamais. Jure-le.

Même si cela le tuait, Chris était impuissant à lui refuser quoi que ce soit.

- D'accord.

Plus tard, une fois Emmanuel parti. Chris alla prendre une douche, il pénétra dans la cabine en verre et prit le savon.

Emmanuel était en couple et Président, se répéta-t-il une fois de plus. Et donc, dans ce moment de vide, voilà qu'il se faisait poignarder par son propre passé. On aurait dit que c'était une nouvelle occasion pour le destin de lui donner ce qu'il méritait.

Comme il se lavait, il trouva que le savon était loin d'être aussi doux que la peau d'Emmanuel et sentait beaucoup moins bon. L'eau n'était pas aussi chaude que le sang du Président et le shampoing pas aussi apaisant. Rien ne se rapprochait d'Emmanuel. Rien ne s'en approcherait jamais.

Fermant les yeux, il revint à ce moment où il avait embrassé Emmanuel à la fin...Il l'avait vraiment, sincèrement embrassé et leurs bouches s'étaient jointes avec douceur. Alors que son esprit réécrivait le scénario, il n'était plus repoussé de l'autre côté de la limite qu'il avait lui-même établie. Non, dans son imagination, les choses s'achevaient ainsi qu'elles l'auraient dû : il caressait le visage d'Emmanuel et ordonnait aux lampes de s'allumer pour qu'ils puissent se regarder dans les yeux.

Dans son fantasme, il embrassait de nouveau son Président, reculait et...

- Je t'aime, dit-il au pommeau de douche. Je... t'aime.

Fermant les yeux sous le coup de la douleur, il lui fut difficile de savoir ce qui, dans ce qui coulait sur ses joues, était de l'eau et ce qui n'en était pas.


                                                          Costa-Dorada 

                                                              Espagne 

                                                              Mai 2019 


Un des terroriste, se rend dans un village des bords de la Méditerranée où il retrouve un certain Ramzi. Ce dernier, qui s'est vu refusé son visa pour la France, fait désormais office d'agent de liaison entre le Chef et les terroristes.  Lors de cette rencontre, il informe au terroriste que le Chef, souhaite que l'attaque soit lancée immédiatement. Le terroriste dit qu'il doit retardé l'opération de quatre à six semaines. Le temps de former convenablement ses "gros bras" . Il lui faut également constitué quatre groupes, qui emprunterons des itinéraires séparés pour provoqué un seul et même cataclysme. Mais le message de l'agent de liaison est des plus claire. Le Chef, craint que la France ne découvre le complot et veut que l'opération soit mis en place dès que possible.


                                                                    Paris 

                                                                Mai 2019 


Depuis le bureau local des services secrets français, un agent envoie une note à ses supérieurs. Il a remarqué qu'un certain nombre de ressortissants du Moyen-Orient lier à l'Islam radical se sont inscrits dans des écoles de pilotage. Des individus sur lesquels il faudrait enquêter et qui serait en mesure de conduire des activités terroristes. Cette note arrive à tous les sièges et à son unité anti-terroriste. Mais elle arriveras aux échelons les plus élevés que bien trop tard. Et le personnel de base ne prend aucune mesure.

DarkerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant