Chapitre 4

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L'année avait filé à la vitesse de la lumière et beaucoup de chose s'étaient passé. Pour commencer passer autant de temps avec mon frère avait renforcé notre lien et permis de mieux nous connaitre. Ron Weasley avait était humilier tout au long de l'année et toute l'école a ris de ces déboires. Nous étions les meilleurs élèves de Poudlard, du moins de notre année. Mais beaucoup de chose se produisirent, chose qui nous fit très peur. Harry avait découvert un chien à trois têtes dans une pièce au troisième étage de l'aile ouest du château. Ensuite, le soir d'Halloween un Troll fut trouvé dans les cachots. Seulement le temps de prévenir Dumbledore, il avait fini au premier étage. Le pire, étant donner que tous penser que le Troll était dans les cachots, on envoya les élèves dans leurs salle communes respectives, seulement, la mienne se trouver dans les cachots. Et personnes n'avait tilter. Personne sauf Harry qui avait hurlé pour se faire entendre, argan qu'il ne me laisserait jamais retourner là-bas si, il y avait un risque que le Troll si trouvait encore. Résulta, tout les Serpentards restèrent dans la Grande Salle qui fut sceller magiquement pour éviter tout risque d'attaque surprise. Mon frère nous avait sauvé la mise sur se coup là. Et c'est mon crétin de frère qui réussi à vaincre le Troll en allant récupéré la Miss Je-Sais-Tout de sa maison qui était enfermer dans les toilettes des filles. D'ailleurs, dés le lendemain il fut félicité par notre père, qui nous annonça que notre mère attendait un heureux événement. Elle était enceinte, encore une fois de jumeau et ils étaient ravis. Cela m'avait mis un coup au moral, pas que je n'étais pas contente de devenir grande-sœur, non. Le problème était que je n'aurais pas le droit de les approcher. A Noël, Harry reçut une montagne de présent tous plus beau les uns que les autres. De mon coter je n'eu rien de nos parents. Harry m'avait offert de nouveau livre et des vêtements, quant à Malfoy il avait trouvé le moyen de m'offrir un bracelet, qui demeurait invisible à ceux qui n'était pas au courant de son existence. Ce qui me faisait mal était de ne pouvoir leur rendre l'appareil. Ce n'est qu'a la fin de l'année que j'appris qu'Harry avait mener une enquête sur le chien a trois tête et qu'il avait affronter l'âme de Voldemort tout en récupérant la pierre philosophale de Nicholas Flamel.

Quand je l'ai su, je me suis précipité à l'infirmerie pour bien faire comprendre à mon frère ma façon de penser de son comportement dangereux. Il eu mal aux oreilles pendant plusieurs heures après cela. Malheureusement, l'année était finit, nous allions passer en deuxièmes années et les jumeaux était enfin arrivé. Un garçon et une fille, Rose et Alec, tout deux ressemblait à nos parents, mais aucun n'avait les yeux de notre mère. Harry avait hâte de les voir, moi j'aller devoir me contenter de les observer de loin cacher dans l'ombre.

Cette année, se fut Griffondor qui gagna la coupe des quatre maisons, grâce aux points de dernière minutes que Dumbledore donna a certain Griffons, dont mon frère, pour ce qu'il c'était passer avec le professeur Quirrel et Voldemort (même si ces deux dernier fait était passé sous silence). Les Verts et Argents étaient dégouter, mais ils se jurèrent de tout faire pour gagner l'année suivante.

Le voyage de retour à la maison fut long, mais aussi énervant. Je ne savais pas se que père allait me faire pour mon appartenance a Serpentard. Et plus nous approchions de Londres, plus je sentais l'angoisse monter en moi. Harry l'avait bien senti et malheureusement il ne pouvait rien y faire. Arriver a la gare de King's Cross, Harry fut pris dans une étreinte d'ours par notre père. Qui les fit tout deux transplaner sans attendre et en m'oubliant complètement. Je soufflai de dépit en observant brièvement l'endroit où ils c'étaient tenus il y avait même pas quelque seconde. Avec tristesse, j'appelai Roca qui me ramena à la maison. Elle semblait ma la l'aise une fois arriver. Encore plus quand je pris la direction de ma chambre. Une fois devant, j'eu un mauvais pressentiment, qui se confirma quand j'ouvris la porte. Ma chambre avait laissé place à une pouponnière, elle avait été nettoyée de fond en comble et agrandis par l'abattement du mur contre lequel ce trouver autrefois mon lit.

AlennaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant