V.L.P.I.

Chapitre 1 : Clara Reys

C'était une nuit comme les autres, le froid de l'hiver glacé les vitres et les forts vents de l'altitude grondé au dehors de la voiture. Clara ne savait pas exactement où elle se rendait. Elle savait que son université de San-Francisco l'avait envoyé en stage dans un endroit isolé des États-Unis pour un stage d'enquêtrice. Elle avait accès à toutes les données de la police, le droit d'entrée sur chaque scène de crime. Mais elle se demandait quel genre de crime pouvait se passer dans une ville telle que Grayson Hills, tellement reculé et isolé qu'elle n'en n'avait jamais entendus parler. Elle pensait que son séjour contiendrait des fraudes fiscales, des excès de vitesse ou des conduites en état d'ivresse. Cependant, son stage avait une durée indéterminée. Donc son université lui enverrait de l'argent chaque mois et payera le loyer d'un petit appartement tant qu'elle ne voudra pas partir de la ville. Pourtant elle n'était pas très enthousiaste car elle partait loin de sa famille pour partir vivre avec des ploucs autant qu'elle veut. Elle était obligée de rester pendant au moins un mois avant de pouvoir retourner chez elle. Cela était bien trop long pour elle et elle essaierait de se faire des amis pour que le temps paraisse beaucoup moins long. Clara était une femme plutôt mince avec une assez forte poitrine. Elle était brune et avait de beaux yeux bleus. Elle portait un T-shirt blanc à manche courte et une veste noire déboutonné. Elle portait un jean bleu et des chaussures à talon rouge. Elle avait des belles boucles d'oreilles dorées et une bague que son ex-petit ami lui avait offert à son anniversaire. Elle était dans une voiture noire plutôt classe et qui roulait à vive allure. Il y avait plusieurs heures de route depuis New York mais le chauffeur n'avait pas lâché un mot depuis le départ. Elle aussi rester silencieuse, elle avait vainement tenté de lui faire allumer la radio sur la route mais elle n'avait reçu aucune réponse. Il commencer maintenant à pleuvoir et des gouttes d'eau glisser lentement sur la vitre. Au dehors, il n'y avait que des arbres à perte de vue. La pluie faisait luire les feuilles des arbres et l'herbe verte de la plaine qui s'étendait à perte de vue était un spectacle magnifique. La voiture avait pris plusieurs virages et fait de nombreux kilomètre quand la voiture arriva dans une ville avec écrit sur le panneau « Grayson Hills ». La voiture traversa plusieurs rue et avenue quand elle s'arrêta devant un hôtel miteux. Le mur en pierre était très ancien et l'échafaudage placé à chaque étage donnant sur les fenêtres ne donnait pas l'impression d'être très solide. Une double porte se trouvé en face d'elle et donnait une vue sur un escalier à l'intérieur.

- 300 dollars.

Clara se tourna vers le chauffeur et lui dit :

- Pardon ?

- Vous me devez 300 dollars.

Elle avait brusquement été sorti de ses pensées et se rendait compte qu'elle était sortie du taxi et qu'elle avait était attiré vers cet hôtel. Elle paya le chauffeur de taxi qui déguerpi aussitôt. Elle marcha alors vers l'hôtel et poussa la double porte d'entrée. Elle se présenta à l'accueil à gauche de la porte mais ne trouvât personne. Elle sonnât la cloche posée sur le comptoir et au bout de quelque seconde un homme se tenait derrière elle. Elle se retourna et poussa un petit cri de surprise en voyant le vieil homme de grande taille derrière elle. Il était chauve mais il lui rester deux ou trois cheveux sur la tête, il portait un t-shirt blanc crasseux et un pantalon gris tout aussi sale. Il avait également une démarche boiteuse qui lui donné un air de pirate. Ayant retrouvé ses esprits, Clara lui dit :

- Je suis heureuse de vous voir, j'ai cru qu'il n'y avait personne ici.

- Oh il est vrai que nous recevons peu de clients, répondit le réceptionniste de sa voix aiguë tout droit sorti d'un film d'horreur. Mais il y a quelque personne qui séjourne ici.

- Et en ce moment y a-t-il des gens dans l'immeuble ?

- Si vous vous inquiétée d'être dérangé par les voisins, il n'y a pas de soucis à se faire de se coté là. Votre voisine est une très vieille dame.