J'aime le mauvais garçon [RÉECRITURE+CORRECTION DES FAUTES ET DES INCOHÉRENCES]

Chapitre 17

-C'est pas facile à dire Lara!

***

-Bien! Alors je te pries de me laisser passer. Plus vite je pars, plus vite j'arrive, je n'ai pas envie de perdre mon temps avec toi aujourd'hui.

Je le pousse sur le côté et marche vers la sortie.
Arrivée au pas de la porte, il crie.

-JE T'AIME!

Je recule, me retourne et avance vers lui.

Dès que j'arrive à sa longueur, je le regarde en plein dans les yeux.

-Tu peux répéter ça? Demandais-je.

Il ferme les yeux et me sort.

-J... Je vous aimes Lara Mary Smith. Il ne se passe pas une seconde sans que je ne pense pas à vous.

Pourquoi ce vouvoiement si soudain?

-Tu peux me tutoyer hein... Comme d'habitude.

-Bien, alors je n'imagine pas ma vie sans toi. Avant, il y avait mes sœurs, ce que j'avais de plus précieux, les seules, mais après, tu es entrée dans ma vie. Le jour de notre probable baiser est inscrit dans ma tête. Tous ces moments passés avec toi sont comme des films que je repasses en boucles et en boucles dans ma tête. Dès que nos corps se touchent, des tas de frissons parcourt mon corps. J'ai même rêvé que tu m'avais dit « je t'aime ».

-...

Alors... Il... Il ressent la même chose que moi?

-Dit quelque chose merde!

-Ce... Ce n'était pas un rêve.

Il reprit son sourire ravageur et dit...

-Alors tant mieux.

Et alors, ses lèvres se posent sur les miennes. Le baiser continu un moment et il demande accès à ma langue, accès bien sûr que je lui donne, et il scelle nos lèvres ensembles. Cette fois, c'est un baiser passionné, depuis le temps que j'attends ça.

Je passe ma main dans ses cheveux et lui, pose une main dans le bas de mon dos et l'autre sur ma nuque.

Je sens un sourire se dessiner sur ses lèvres, puis on s'arrête, n'ayant plus de souffle.

On colle nos front l'un à l'autre, nos lèvres ont une distance trop éloignées je trouve.

On se regarde l'un et l'autre puis je viens de me rendre compte.

-Et... Stephany?

-Je l'ai quitté... Pour toi.

Je souris, puis pose ma tête contre son torse et ferme les yeux. Je n'étends que les battements de son cœur se ralentir et retrouver un rythme normal et sa respiration.

-Je t'aime. Me souffla-t-il.

-C'est vrai? Ce n'est pas un rêve?

-Non Lara. Tu n'es pas en train de rêver. Je t'aime vraiment ma Choupinette.

Je rigole puis lui répond.

-Moi aussi mon Choupinet...

Ellipse du lendemain...

J'ai dormis dans ses bras, encore une fois. La chaleur de son corps, le bruit de sa respiration qui s'accorde parfaitement avec la mienne.

Me tête dans le creux de son coup, la sienne au dessus de la mienne, dans mes cheveux.