Séjour linguistique

Chapitre 128

La nuit est paisible chez Jeroen. Valentin est au lit avec un mec qu'il connaissait même pas il y a encore quelques heures mais ce n'est pas cela qui l'empêche de passer une bonne nuit. Peu habitué de la maison, il lui semble avoir entendu du bruit. Cela l'a éveillé en sursaut et depuis il écoute les bruits de la nuit. Oliver dort lui allongé à ses côtés.

-S'il y avait eu du bruit ça l'aurait aussi éveillé se dit Valentin pour se rassurer.

Il écarte le simple drap qui les recouvre et ne peut s'empêcher de regarder à nouveau le corps de son nouvel ami. Cette fois, il peut le faire sans risquer qu'il le remarque. Il le laisse découvert et se dirige vers le couloir. Il grimpe les premières marches qui couinent un peu et écoute. Pas un bruit ne vient de l'étage, tout est calme. Il retourne alors au salon et fait le tour du living-room pour aller jeter un œil à l'extérieur. Rien de spécial à signaler, il revient alors sur ses pas et accroche une chaise au passage. Le bruit éveille Oliver qui se demande ce qu'il se passe :

-Qu'est-ce que tu fous à voyager comme ça en pleine nuit ?

-Désolé, je t'ai réveillé. J'ai cru entendre un bruit qui m'a réveillé mais je ne vois rien.

Oliver se gratte le crâne de son bras musclé et Valentin le trouve sexy même à moitié endormi.

-Puisque je suis éveillé, je vais me servir un verre d'eau.

Valentin qui tourne en rond le regarde partir vers la cuisine. A chacun de ses pas, ses fesses musclées s'agitent et Valentin trouve ça trop beau. Il finit par le rejoindre et quand il voit Valentin s'avancer vers lui, il lui tend le verre pour qu'il boive une gorgée d'eau. Tout en buvant, Valentin essaye de le mater discrètement. Enfin c'est-ce qu'il pense car Oliver l'a repéré.

-17 cm lui dit-il tout à coup.

Valentin le regarde surpris et lui fait :

-Pardon ?

-Elle fait 17 cm si c'est-ce que tu te demandais et la tienne ? enchaîne-t-il.

-Pareil, 17 cm mais ce n'est pas ce que tu crois....

-Arrête, je vois bien que tu me regardes depuis le moment ou je t'ai offert une canette à la piscine. Mais si je l'ai fait c'est que toi aussi tu m'avais tapé dans l'œil. Ce que je ne pensais pas c'est qu'on se retrouverait aussi vite ensemble dans le même lit.

-Tu veux dire que....

-Oui, je te trouve sexy et maintenant qu'on est debout et certain que les autres dorment, on pourrait peut-être en profiter. Tu en penses quoi ?

Oliver s'approche de Valentin et le serre contre son corps musclé. Un peu plus petit, il dit redresser la tête pour que ses lèvres trouvent celles de Valentin. Celui-ci lui mets directement les mains aux fesses trop heureux de pouvoir enfin les tâter. Enlacés l'un l'autre, ils sentent leurs queues se dresser et Oliver s'écarte un peu pour qu'ils puissent profiter du spectacle. Il positionne sa bite juste à côté de celle de Valentin. Ce dernier se rend alors compte qu'elles ont bien la même taille mais que celle d'Oliver à l'air plus épaisse. Oliver prend alors les 2 bites en main pour les branler. Etant en sens inverse, il en décalotte une à fond quand l'autre est calottée et inversement. Valentin passe ses bras autour de son cou tout en le regardant faire en se demandant s'il pratique ça aussi avec son frère.

Quand ils sont bien excités, ils retournent au salon. Oliver s'assied sur l'accoudoir de la banquette jambes bien écartées. Valentin vient se coincer à genoux entre ses cuisses pour le serre contre lui et l'embrasser. Il continue de l'embrasser en passant par le cou, le torse, les tétons, le ventre, le nombril et enfin sa queue. Il mordille avec ses lèvres la peau de ses couilles. Il passe ensuite sa langue sur toute sa longueur avant de s'amuser avec son gland. Oliver la tête inclinée vers l'arrière passe un bon moment.

Oliver dit tout à coup à mon tour et Valentin ne se fait pas prier. Il s'allonge sur le lit et c'est maintenant à Oliver de lui donner autant de plaisir en jouant avec sa tige. Il la mange littéralement et tente de glisser un doigt tout en le faisant. Voyant que Valentin gémit et que le doigt rentre facilement, il essaye un deuxième qui entre tout aussi facilement. Comprenant que Valentin a le trou bien dilaté, il lui fait redresser le postérieur. Valentin écarte les jambes et les relève un peu pour faciliter Oliver. Dès qu'il a les fesses en l'air, Oliver lui met une claque dessus avant de s'introduire en lui. La queue d'Oliver est épaisse et il y a peu elle ne serait jamais rentrée mais avec l'habitude cela va tout seul. Plié en 2 sur Valentin, Oliver s'active de bon cœur. Ils prennent leur pied l'un et l'autre.

-Ca va, je ne te fais pas mal, sinon faut le dire fait Oliver.

-Non, c'est trop bon continue encore répond Valentin qui se branle en même temps.

-Tu me le feras après quand j'aurai joui ?

-Si tu veux, je ne savais pas que tu aimais ça aussi. Alors j'arrête de me branler et je me réserve pour ton cul.

-Je vais jouir sur ta queue, ça servira de lubrifiant pour toi me prendre.

Sentant que ça arrive, Oliver met une petite tape sur la fesse de Valentin tout en se retirant. Il rabaisse son postérieur et Oliver se termine à la main. Il arrose copieusement la tige toute dure de Valentin qui est en plus maintenant toute gluante.

Oliver se met alors à genoux en boule et le corps penché vers l'avant. Valentin arrive par derrière et le jus aidant, se glisse en douceur dans l'orifice. Valentin s'active sur le postérieur d'Oliver et quand il est bien à fond ses cuisses viennent claquer contre ses fesses. Il va et vient pendant plusieurs minutes et au moment ou il veut se retirer pour jouir, Oliver lui demande au contraire de rester car il veut sentir en lui les jets partir. Valentin obéit et lorsqu'il la retire cela s'écoule de son orifice.

Après s'être nettoyé un peu, ils s'allongent collés l'un à l'autre et s'échangent quelques bisous ou câlins avant de se rendormir jusqu'au petit matin. Malgré la java faite de la nuit par le duo, personne n'est encore debout. Enfin c'est-ce qu'ils pensent car en montant les marches pour aller vers la salle de bain, ils entendent un écoulement d'eau. Vu le bruit la porte est restée ouverte et ils s'approchent doucement comme s'ils espéraient surprendre un truc qu'il ne faut pas. Et c'est le cas.... Malgré la porte grande ouverte, Jeroen est occupé de se faire sucer par le frère d'Oliver. Voyant que c'est lui, celui-ci se montre et fait :

-On s'emmerde pas ici.

Et Jeroen de répondre vu que l'autre à la bouche pleine :

-C'est pour me remercier de l'avoir invité. Vous vous joigniez à nous ?