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||PRINCE||

Vingt-deux heures passées je vois toujours pas Ciré. Alima enfermée dans sa chambre. Mohamed qui pleure parce qu'il n'y a pas de sein à tété.

Mais comment Ciré peut disparaître comme ça, et si Alima a raison, qu'elle est sortie. Non non je peux pas y croire Alima devient singler.

Mon enfant qui pleure, je ne sais pas que faire il n'a que trois semaines et quatres jours.

Je me lève du canapé et commence à le bercer. Il se calmait peu à peu. Mon bébé va mourir de faim, il va dormir en étant affamer.

Le téléphone fixe sonne, vivement que ça soit ciré. Je vais et décroche.

Appel téléphonique...

Allô ?

Oui allô c'est qui ?

C'est Jean le collègue de travail d'Alima. Elle est à côté ?

Non pourquoi ?

Enfaite je voulais dire que sa sœur est dans un coma artificiel, elle est entre la vie, et la mort...

Attend, attend de quelle sœur tu parles là ?

De Leïla Ciré bien sûr.

P*tain de merde! Elle est dans quel hosto bo*del?

Euh le lieu de travail d'Alima...

Bo*del dit moi le p*tain d'adresse de cet hôpital.

Calmez vous monsieur c'est à ********* dans l'avenue 23.

Je raccroche directement, mes cris ont réveillé Mohamed. J'ai pris les clés de ma voiture. Après avoir installer et attacher Mohamed derrière la voiture. J'ai démarré entre ses pleurs.

-- pleure pas mon ange, on va aller voir ta maman à l'hôpital.

Arrivée à l'adresse, le premier docteur vu je lui demande direct ...

-- euh s'il vous plaît docteur, il paraît qu'il y a ma femme dans cet hôpital nommé Leïla Ciré Koïta...

Docteur : oui monsieur mais gardez votre calme, je vous prierai de revenir demain les visites sont limitées à vingt heures.

-- docteur je vous en prie, voyez vous ce bébé il pleure à chaudes larmes je veux pas retourner à la maison tant que je ne vois pas ma femme, je vais dormir ici.

Docteur : monsieur comprenez nos règles. S'il vous plaît.

Je suis partie m'asseoir sur un banc à côté et essayais de calmer Mohamed. Finalement il s'est endormi. Après dix minutes le docteur est venu me trouver au même endroit.

Docteur : mais vous là vous insistez vraiment à voir votre femme.

-- je dis je bougerai pas d'ici tant que je ne la vois pas.

Docteur : mais c'est pas normal ça monsieur vous avez un bébé magnifique qui sera piquer par les moustiques.

Je ne lui répond même pas et regarde ailleurs.

          

Il persiste à me regarder et finalement il me laisse aller voir Ciré.

Elle était reliée par des fils de partout. Y'avait un petit fauteuil où Mohamed pourra continuer à dormir. Je le pose là-bas.

Je prend la main droite de ma femme dans les miennes, je commence à avoir des remords.

-- mais mon amour comment t'as eu ça? C'est de ma faute, j'ai pas été là pour te protéger, pardonne moi chérie. J'en suis sûr et certain qu'Alima est derrière tout ça, mais elle va m'entendre en rentrant à la maison. Demain je vais revenir à douze heures pour la pause à l'assurance de police. Je t'aime mon bb.

Je lui ai fait un bisou sur le front parce qu'a cause de ces maudits fils reliés au nez et à la bouche qui lui sert de je ne sais quoi je peux pas l'embrasser sur la bouche.

Je me suis couché près d'elle un moment puis le docteur m'a raccompagner jusqu'à la porte de l'hosto. Petit Kadjo dormais toujours.

-- Merci docteur Stéphane.

Docteur : de rien monsieur Kadjo. Aller rentrez bien.

On s'est serré la main, puis j'ai rejoins ma voiture, j'ai très bien installé Mohamed dans son cosy, et j'ai démarré la voiture.

Arrivé chez moi, je prends Mohamed qui dormait toujours, je l'emmène dans la chambre de ciré, le pauvre il n'a pas mangé, il a besoin du lait de sa maman.

Je l'ai couché dans son lit. J'avais qu'une seule envie défiguré Alima. Mais comment?

J'ai toqué à sa maudite porte mainte fois elle ne l'ouvre pas, mais par contre c'est comme si elle n'était pas seule dans la pièce elle parlait avec une personne.

-- Alima tu parles avec qui? Ouvre cette porte ou je l'a défonce toute suite !

Alima : non ! Je vais pas l'ouvrir je sais que tu vas me frappee pour quelque chose que je n'ai pas faite exprès.

Elle pleurais, sa vois tremblais.

-- écoute Alima ouvre cette porte j'essaierai de ne pas trop m'énerver mais tu vas quand même dire pourquoi t'as fais ça.

Alima : non je dis !

-- t'es trop têtue Alima. Tu n'ouvres pas cette porte j'appelle la police.

Alima : vas-y appelle la police, que j'ouvre ou n'ouvre pas cette porte tu vas le faire donc vas-y. Fait toi plaisir prince.

Oulala mais comment je vais faire parler cette femme?

-- écoute Alima je vais pas appeler la police si tu ouvres cette porte je te donne ma parole Alima.

Alima : jure le !

-- pff arrête de jouer avec ça Lima.

Alima : jure le ! Sinon tu fais ce que tu voudras faire je ne l'ouvrirai pas cette porte.

Pu*ain je suis énervé contre elle, et elle continue à m'énerver de plus.

-- bon d'accord je vais jurer mais toi d'abord tu vas jurer d'ouvrir cette porte si je jure de ne rien dire.

Alima : au nom d'Allah je vais l'ouvrir mais tu jures d'abord.

-- ok au nom de Jésus Christ je ne dirai rien à la police, c'est bon t'es contente. Maintenant ouvre cette p*tain de porte bordel de merde !

Alima : calme tes nerfs sinon je ne l'ouvre pas aussi.

-- bon maintenant je suis calmé ouvre.

Dix secondes après elle ouvre la porte... Elle était habillée comme une dervergondée, et ses yeux étaient gonflés et rouges de partout.

Je rentre et m'asseois notre lit.

-- Alima comment t'es habillée comme ça ? Tu veux devenir une pu*e c'est ça ?

Alima : ça ne te regarde pas ça. Dit moi ce que tu voulais me dire point final.

"Mais dit le que c'est moi qui t'ais dit de t'habiller de la sorte krkrkr"

-- bon...

Alima : tais toi !

-- Quoi ? Alors là t'as mentis Alima tu vas me parler moi.

Alima : excuse c'était pas toi je parlais à... Bref parle

-- Alima qu'est-ce qui t'arrive vraiment comment as-tu pu faire cette chose horrible à ta propre sœur ? Elle t'as fait quoi?

Alima : c'est pas moi p*tain ! C'est cette maudite voix dans ma tête qui me dicte les choses que je dois faire.

-- qu'elle maudite voix? Alima moi je dis tu deviens juste folle. Tu ne supportes pas l'idée que je m'occupe bien de Leïla et mon bébé, mais toi t'as eu beaucoup d'affection qu'eux, et aujourd'hui ta jalousie à fait que ta propre sœur est sur un lit d'hôpital dans un coma artificiel entre la vie et la mort. Alima comment appellerai-tu ça ? La follie ! Oui c'est de la pure dinguerie mélanger à de la jalousie maladive.

"C'est le moment chère Alima, gifle-le tout suite, il te rabaisse, il veut dire par là que t'es plus rien dans sa vie! Vas-y montre lui que t'as été sa première fois, dit lui que tu l'aimes plus !"

Alima : je t'aime plus Prince... Je te hais de toute mes forces. Et tu sais ce que je vais te faire pour calmer ma folie comme tu le dit...

-- tu vas me faire quoi? Sal hystérique...

Alima : l'hystérique va te faire ça...

Et bim une claque pour mon mari...

"Profite qu'il est courbé saute sur lui, prend le verre d'eau sur la commode puis cogne lui la tête avec, on va l'emmener à l'hôpital aussi "

-- p*tain Alima ! Qu'est-ce que tu fais quitte de sur moi !

Elle devient folle cette femme j'ai essayé de lui faire quitter de sur moi, mais elle était plus rapide. J'ai reçu un verre d'eau sur la tête ça s'est cassée vite fait et je crois que c'est ça que j'ai pu voir.

J'ai perdu connaissance...

"Hahaha on est bien là"

Alima : mais qu'est-ce que j'ai fais ?

"Ce que tu devais faire chère Alima Koïta"

للموت✨

•|ℳ𝒊ℬᎯ𝒍𝒊 ℳℬᎯℕⅅᎯ 🇨🇬{𝑻𝒆𝒓𝒎𝒊𝒏é𝒆}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant