Si autrefois, je t’aimais
Je ne pensais qu’à toi sans cesser
Je ne cessais d’imaginer
Ma vie sans toi, tout était percé
Aujourd’hui ma passion est détournée
Vers un endroit à ne jamais tromperSi autrefois, mon cœur battait pour toi
Tu es devenue mon ennemie à la fois
Tu demeures toujours un vide sans foi
Une être qui ne voulait savoir pourquoi
Lorsque j’avais des yeux rougis parfois
Et pour l’instant, je suis sous la toiture sans toiSi autrefois, tu étais mon trésor
Tu valais toujours mieux que l’or
Et lorsqu’apparait le soleil à l’aurore
J’aimais ouvrir mes yeux près de tes décors
Mais, je ne trouvais auprès de moi monsieur Victor
Et je comprenais que j’avais tortSi autrefois, tu étais dans mes pensées
Où sans toi se dissipaient mes idées
Pourquoi garder cette relique dans les tranchées ?
Aujourd’hui, je souffre d’avoir t’aimé
Parce que tu as éteint la lanterne qui éclatait
Au fond d’un cœur qui t’adoraitSi autrefois, tu étais dans mes écrits
Maintenant, tu n’es même pas dans mes cris
Mes cris crient et disent à mes manuscrits
De ne plus décrire cette décri
Qui a noircie les calligraphies
De GaYdh et ses idéologiesSi autrefois, tu étais ma reine
Tu n’es aujourd’hui qu’une peine
Qui s’est encombrée de ses aubaines
A l’occasion de s’éloigner les déveines
Que tu as tant engendré dans mes veines
Ainsi que tu m’as éloigné de tes teignesSi autrefois, tu m’étais un ange
Qui, dans mon tréfonds, faisait des déranges
Aujourd’hui, tu n’es qu’un courage
Qui me donne tant de montages
Qui ne correspondent pas à ton âge
Mais, écrire ces stances est mon hommageSi autrefois, je vouais
De ne plus abandonner
Ta confiance donnée
J’ai maintenant avoué
Que tu as commencé,
A ma main, de te détacherSi autrefois, tes messages étaient ma lecture
Où je faisais souvent ses relectures
Aujourd’hui, tu n’es qu’une rayure
Qui m’a tant laissée de ruptures
En noircissant ma couverture
Qui avait des belles borduresSi autrefois, je sacrifiais mon temps
Pour te montrer mon amour longtemps
Tu as une fois changé le ton
Et m’as le petit pont
Un mot affable et indulgent
Pour me dévoiler ta bonté, mais bon !Si autrefois, tu étais mon allégresse
Tu t’es soudain transformée en traitresse
Traitresse, la sœur de tristesse
Tu as tant apporté de détresses
En me privant de ta caresse
Mais, tu m’as divulgué ta paresse
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L'AMOUR Sans Cesse
PoetryL'amour fut pour moi un enfant Qui parle tout doucement Afin de ne pas déranger ses parents Qui s'endorment auprès de lui dorénavant. Aimer avait une valeur Qui, décollait au fond de mon cœur Qui ne trâchait du bonheur par d'ailleurs Que s'en...