Chapitre 9: Surprises en tous genre

51 13 12
                                    

Il devait être environ dix heures du matin quand je me réveillais. J'allais dans la cuisine et pris les pancakes de la veille dans le frigo, les réchauffais et enfin les mangeais. Je reçu un message de ma mère, elle me souhaitait joyeux anniversaire. Je regardais la date d'aujourd'hui, 30 juin. Cela faisait maintenant seize ans que j'étais née. Avec tout ce qui s'était passé, je l'avais oublié. Je répondis à ma mère avec un « merci, vous me manquez » simple et efficace. Bizarrement, je n'étais pas vraiment... excité que ce soit mon anniversaire. À vrai dire, cela m'étais plutôt égal.

Ayant trouvé un mot de Miriam avec des instructions précises, jee me dirigeai vers la salle commune. Sur la porte, je remarquai un panneau. Dessus étaient écrient les mots : « Toquer avant d'entrer ». Je le fis. N'ayant aucune réponse, j'ouvris la porte. Les lumières étaient éteintes, je ne savais pas où était l'interrupteur.

- Eh oh. Y a quelqu'un ?

Pas de réponse.

- Madame Sart ? Miriam ?

Personne ne répondit. Je commençai à croire que j'étais seule.

- Je sais que y a quelqu'un !

- Oui on est là mais un peu de patience petite princesse !

- Merde Stella !

Il y avait donc quelqu'un. Les lumières s'allumèrent.

- Surprise ! - gâchée par Stella mais bon.

Il y avait toute l'académie, élèves comme professeurs.

J'aurai surement dû sauter de joie ou paraitre surprise, mais je ne ressentais rien de tout ça.

- Surprise ! répéta Sam.

Je repris mes esprits, ainsi qu'un air surpris.

- Je... merci ! Mais qu'est-ce-que c'est que tout ça enfin !

- C'est ton seizième anniversaire, cela fait maintenant 5844 jours que tu es née. On n'allait pas oublier non plus ! s'exclama Miriam.

Mon grand-père sorti de la foule avec un petit paquet.

- Joyeux anniversaire.

Il me tendit donc cette petite boite envelopper dans un magnifique papier doré. Je le pris donc et remerciait mon grand-père. C'était un nouveau carnet de dessins avec des crayons de différentes épaisseurs. Le carnet était noir avec un jet d'eau qui créait une clé de sol. Nous faitâmes encore un peu. Puis, tout le monde commença à se disperser dans leurs activités journalières, de sortes que je restai seul avec mes grands-parents, Miriam, Samuel et Leslie.

- Merci encore ! Vous n'aviez aucun besoin de faire ça.

Ils se regardaient.

- On doit lui dire. Dit Miriam en regardant mes grands-parents.

Leslie acquiesça en signe d'approbation. Samuel, quant à lui, les regardaient sceptique.

- Pas encore. Elle ne maîtrise même pas ses pouvoirs enfin ! On ne peut pas lui demander ça. De plus, elle refuserait. Dit-il.

- Pas si elle savait l'autre choix. Répliqua Miriam

Ils étaient clairement en train de parler de moi comme si je n'étais pas là. Je pris mon courage à deux mains et me décidais à demander.

- Me dire quoi ?

Ils me regardèrent le temps d'une seconde, puis se remirent à parler.

- Tu rigoles ? Dit sam à l'attention de Miriam. Puis il se tourna vers mes grands-parents.

La DernièreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant