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« Les ennemis attaquent par devant donc je surveille les amis de près »

@Haïdah


Soumaila : ... Baba il est dans le coma Haïdah

Moi : Quoi, comment ça ?

Soumaila : Sa veut dire qu'on pourra pas rester longtemps vu que dans 1 heure ils vont lui faire des examens

Moi : oh....

Soumaila : mais t'en fais pas j'ai demandé et ils m'ont dit qu'il allais bien

Moi : il est dans le coma et tu me dit qu'il va bien !?

Soumaila : *surpris*

Moi : ... désolé, c'est juste que-

Soumaila : non t'inquiète je comprends... c'est baba

Moi : *hoche la tête positivement*

C'est aussi parce que mon père depuis je l'es jamais revu, réveillé ou non... et apprendre qu'il est dans un coma sa me rend vraiment triste. Si il aurait été mort j'en voudrais beaucoup à Mareme et Djeneba.

Moi : Et sa fait combien de temps ? *monte une marche d'escalier*

Soumaila : environ 7 mois

Moi : ...

On est arrivé devant la porte de sa chambre, j'ai souffler un gros coup puis Soumaila à ouvert la porte.

En entrant on a directement vu mon père, il était allongé sur le lit et il était branché à une machine, elle contrôlait son rythme cardiaque.

Quand j'ai vu ça j'ai directement eu les larmes au yeux, Soumaila il l'a toute de suite remarqué donc il m'a laisser toute seule dans la chambre.

Moi : *avec la voix tremblotante* Baba...

Logiquement il ne m'a répondu, j'entendai que les bruit de sa machine cardiaque en fond.
Je suis parti m'asseoir près de lui.

Moi : Baba, je suis désolé... j- je suis sur que tu doit me détesté mais je jure que c'est pas de ma faute *renifle* c'est Djeneba elle m'a interdit de venir te voir, de prendre des nouvelles de toi et-

La je pouvais plus parle donc je me suis stoper en me retenant de pleurer, c'était senser être un moment qui allais me faire rendre heureuse mais là je me sens juste coupable alors que vous même vous savez que tou ça c'est pas de ma faute.

Donc après je crois 30 seconde j'ai continuer en récitant une sourate, mes larme couler en même temps. Quand jus fini de la réciter, je me suis levé et je suis sortie de la pièce.

Il y avais Soumaila juste à coter assis sur une chaise avec les yeux rivés sur son téléphone.

Moi : Soumaila ?

Il à levé la tête vers moi.

Soumaila : On peut y allais?

Haïdah : Mariage forcé - « Un mal pour un bien ? »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant