partie 7

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Kali avanca silencieusement vers le café du coin. Ses pas se hâtaient, elle l'avait quitté las de vivre près d'un mort-vivant, de ne pas retrouver celui qu'elle aimait mais elle l'aimait toujours. Cela faisait 2 ans qu'il ne lui avait plus donner signe de vie. Les rares fois où leur chemin s'était croisé c'est à peine s'il lui avait lancé un regard. Daniel était assis de dos un café en main. Son cœur loupa un battement puis elle reprit ses esprits Kali posa son sac sur la table et s'assit devant lui.

-bonsoir Dan, dit-elle

-bonsoir Kali, dit-il en la regardant

-tu as dit avoir besoin de mon aide

-tout d'abord je suis désolé, avoua-t-il d'un air triste

-ce n'est pas toi, dit-elle après de longue minute de silence, tu avais besoin de soutien et moi je t'ai fui, il sentait finalement dans sa voix une maturité qui leur manquait il y a quelques années, mais si tu as besoin d'aide tu peux compter sur moi

-merci, il regarda de nouveau son café puis l'android qui servait un couple à côté, Ariel a été arrêté

-mais pourquoi ?

-il n'avait pas prit de vaccin, il a été arrêté avec un groupe de personnes non-vacciné

-ceux avec qui il s'était enfui ?

-oui c'est cela, continua Daniel, il a été transféré dans une prison du nouveau continent j'ai besoin de ton aide pour sauver mon frère il va être torturé là bas

-on pourrait tout simplement y aller

-je dois être jugé d'ici peu je ne devrais pas sortir du pays en plus grâce à ce vaccin ils peuvent connaitre tous mes déplacements

-tu veux que j'y aille

-non je veux que tu m'aide à trouver un moyen pour aller sur le continent sans me faire repérer je ne veux pas t'impliquer d'avantages et te mettre en danger j'ai juste besoin de ce service

-si tu sais que je connais quelqu'un qui peut t'aider à passer illégalement c'est que je suis déjà impliquée, je ne vais pas te laisser tomber cette fois, ni toi ni Ariel, dit-elle, laisse moi le temps d'appeler mon contact, elle se leva et s'éloigna un peu

Daniel la regardait admiratif, elle était tout ce qu'il cherchait chez une femme, forte, débrouillarde. Kali voulait être journaliste, elle avait prit contacte un peu partout et ce n'était pas étonnant de trouver dans son répertoire des personnes très louche. Elle tenait un blog depuis ces trois années commencé après les disparitions où elle postait ses recherches. Son avis sur le président mondial avait finalement changé et elle ne le cachait. Lorsque certains pays s'étaient retourné contre Israël il était soudainement apparut calmer le jeu et peu de temps après ces disparitions de masses, le génie politique qu'aimait le monde, le prodige qu'aimait l'islam, le héros que voyait les juifs et les chrétiens étaient pour elle un suspect. Elle ne tarda pas à revenir quelques minutes après.

-alors ? demanda l'adolescent

-le seul créno que j'ai pu avoir est dans une semaine, lundi à 22h on doit être au port

-c'est d'accord j'y serai sans faute encore merci Kali

-de rien, ils se levèrent et s'en allèrent.

Le jour venu, Daniel rangea ses affaires. Il sortit pae la fenêtre laissant derrière lui sa famille reconstruite pour aller chercher son frère. Arrivé au port, il trouva Kali accompagné d'un homme qui lui demanda de tendre son bras pour lui injecter un sérum.

-encore une piqure?

-cette piqure va endommager pour 4h seulement ton vaccin, tu ne seras pas localisable mais tu ne pourra plus rien acheter non plus, il tendit le sérum à Kali, il faut qu'il se pique chaque 4h il y en pour seulement 10 jours alors débrouiller vous

-et s'il en met trop ?

-il mourra, les robots font parti de notre corps maintenant on ne peut plus les enlever on peut juste ralentir leur effet, tu seras extrêmement vulnérable durant ces 4h une blessure peut s'infecté rapidement, il n'y a plus de régénérations rapides

-merci Asad

-ce n'est rien, il fit sortir de son sac, une carte du nouveau continent

-où se trouve la prison ? demanda Daniel

-j'espère que tu te fera pas tuer avant de trouver ton frère petit c'est très risquer même mon chef refuse d'y mettre les pied

-indique nous juste ce que c'est

-c'est souterrain, en dessous de ce grand centre commercial par là et ça continue jusqu'à l'usine par ici, fit Asad, j'ai un agent qui pourra vous faire passer il s'appelle Harry Prakash le code c'est "bhoomigat, bandee"

-merci beaucoup Asad

-bonne chance petite le bateau est sur votre gauche le conducteur s'appelle Moussa dit lui que tu es le papillon il saura où vous déposer

-la chance n'existe pas, dit-elle en rangeant le sérum dans son sac, merci beaucoup Asad

Les deux adolescents se rendirent dans le bateau et celui-ci démarra. "J'arrive Ariel" dit Daniel

VÉRITÉ FALSIFIÉE[Terminé En Correction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant