Son passé, mon présent, notre futur

Chapitre 8

Je viens d'arriver en bas des escaliers avec Robin, je me dirige dans le salon où ma mère était.

— Coucou maman..

— Coucou ma puce, elle se tourne vers moi et regarde robin. Qui est ce jeune homme ?

— C'est un ami, j'ai..j'ai quelque chose à te dire.

— Dit moi ?

Je pars m'assoir à coter d'elle avec Robin qui s'assoit à coter de moi.

— Sa faisait quelques temps que je voulais te dire sa mais..mais j'arrivais pas à te le dire...depuis quelques année papa me..me touche..

— Comment sa ? Demande t'elle entre l'énervement et l'incompréhension.

— Il me..il me touchais sans mon consentement, il me frappait si je lui disais que je ne voulais pas..

Les larmes dévalaient mes joues comme si sa venait d'arriver.

Robin ne parlait pas et me regardait tristement, pendant que ma mère était plus que choquer et au bord des larmes elle aussi.

— Je suis désoler ma puce de ne pas l'avoir remarquer..

Elle me prend dans ses bras et me caresse le dos en même temps.

— Pendant que tu n'étais pas là..papa l'avait encore fait et..et heureusement que Robin, dit je en me tournant vers lui, à débarquer au bon moment et ma aider..

— Merci beaucoup à toi mon garçon, je t'en suis reconnaissante. Dit elle le prenant dans ses bras.

— Maman lâche le tu vas l'étouffer !

— Désoler !

Elle revient s'assoir à coter de moi pendant que robin reprend sa respiration et que moi je rigolais.

A ce moment là je me sentais bien, j'étais heureuse d'avoir réussi à le dire à ma mère.

— Je vais appeler la police, où est..papa ? Demande t'elle dégoûter.

— Dans ma chambre.

Elle fait un hochement de tête et pars chercher son téléphone.

— Je vais y aller princesa on se revoit demain en cour et oublie pas de faire tes devoirs cette fois.

— T'inquiète pas et toi oublie pas qu'on a les une heure de colle demain aussi.

— Ah ouais c'est vrai..

Je rigole et lui sors de chez moi, ma mère vient me rejoindre.

— Alors raconte moi tous, qui est ce beau jeune homme.

— Maman ! C'est juste un ami arrête.

— Oui bien sur.

Elle se lève quand la sonnette de la porte sonna, elle ouvrit et deux grand policer se présentèrent devant elle.

— C'est bien vous qui on appeler ? Demande le premier policer.

— Oui..

— Que se passe t'il ? Demande le deuxième policer.

— Mon mari a toucher ma fille plusieurs fois sans son consentement..

— Je vois, ou se trouve t'il ?

— A l'étage deuxième porte à gauche.

Les deux policiers montèrent et ma mère revient s'assoir a coter de moi.