Son passé, mon présent, notre futur

Chapitre 19

Robin finit enfin d'enlever les cordes, il me regarde, je le regarde.

Il s'approche de moi, il me prend par les hanches et plaque ses lèvres contre les miennes.

— Je t'aime..

Merde, c'est sortie tous seul.

— Moi aussi je t'aime princesa.

Je le regardais légèrement étonner mais je sourie.

— Bon moi je vais devoir rentrer pour expliquer à ma mère pourquoi tu étais dans mon lit, tu veux venir ?

— C'est comme tu veux, de toute façon mon oncle est pas à la maison.

— Bah tu viens alors.

On prend la route jusqu'à chez moi, j'arrive devant la porte, je l'ouvre en grand et on rentre.

— Salut maman !

— Coucou ma puce, salut robin !

— Bonjour madame !

Elle lui sourit pendant qu'on se diriger vers elle.

— Robin peut dormir ici ce soir ? Demandais je en m'assaillant à coter d'elle.

— Ta pas l'air d'avoir voulu me le demander hier.

Je commence à sentir le rouge me monter au joues, je vois robin ricaner.

— C'est lui qui a débarquer comme sa !

— Oui vas-y rejette la faute sur moi. Dit il.

Je soupire en regardant ma mere rigoler.

— Je rigole, bien sûr qu'il peut dormir.

— Mercii !!

Je prends le bras de robin d'un coup sec et je l'emmène dans ma chambre.

— T'es sérieux là de dire que c'est moi qui t'es ramener ?!! Demandais je rouge de gêne.

— Sa avait pas l'air de trop la déranger et après le bruit que ta fais sa m'étonnerai qu'elle ne sache pas que j'étais là.

Je lui tape l'épaule.

— Tu m'énerve.

Il s'approche légèrement sa tête de la mienne.

— A bon ?

Il vient attraper mes hanches et coller mon corps au sien, je lâche un gémissement quand mon intimité vient se poser contre la sienne.

— Robin !!

Il rigole avant de lâcher mes hanches.

— Je vais me doucher. Dit je en partant vers ma salle de bain.

— Je peux venir ?!

Je soupire de désespoir, quel gamin.

— Oui vas-y vient.

Je prends mon pyjama dans mon dressing et je pars rejoindre robin dans la salle de bain.

J'allume le bain le temps de le remplir pendant qu'on se déshabille.

Robin rentre en premier puis je me rentre en deuxième et je m'assoie sur lui.

— Elle est putain de froide ! Me dit robin en grelottant.

— Mais non arrête elle est bonne.

— Comme toi.

Je lui retape l'épaule.

— T'es vraiment un gamin robin.

Je me tourne vers lui et je m'assoie en califourchon sur lui du mieux que je peux.

Ses mains viennent se poser sur mes hanches, il vient approcher son visage du mien avant de plaquer ses lèvres contre les miennes.