《Je suis amoureuse de mon professeur 》

!Chapitre 28!

Omar: Mon amour calme toi, rien ne t'arrivera désormais. Ouvres la porte...
Moi: je ne peux pas, il m'a enfermé !
Omar: zaïne, pousses toi on va défoncer la porte.

Je crois qu'ils ce sont mis à trois, puis soudain la serrure à claquer. Omar est direct venu vers moi et quand je l'ai vu jai pleuré de plus belle, et lui aussi parceque j'étais dans un état vraiment pitoyable, issiaga venait juste de me battre.

Il m'a direct pris dans ses bras et je me suis évanoui.

...

J'essaye d'ouvrir les yeux mais une lumière me barre la vue, je les referme d'aussitôt. De peur de les reouvrir et que cette étrange lumière ne m'aveugle à nouveau. Je tatais au près de moi voir ce que je pouvais toucher lorsque j'entends la voie de mariame. J'ouvris les yeux...

Moi: mari..a..me
Mariame : zaine t'es débout ? AL HAMDULILAH Dieu merci..

Elle est allée chercher un médecin vite fait, il est arrivé et m'a dit que tout allait bien, j'avais des bandages au bras et sur le front.

Moi: j'ai dormi pendant combien de temps?
Mariame : ça fait 5heures là... tu nous as fait peur..
Moi: et omar?
Mariame : il est allé avec tes frères à ma cafétéria. Ils vont revenir tout à l'heure..
Moi: il est quelle heure?
Mariame : 21h..
Moi: humm
Mariame : tu m'as fait tellement peur, quand elles t'ont prises de force ces sorcières j'ai direct appelé omar pour lui en informer tu ne sais pas à quel point il était en colère et triste.
Moi: isma, il me reparle t'as vu ça.. il est venu me sauver
Mariame : omar est allé le voir, et lui a parlé d'homme à homme. Il lui a expliqué toutes les bonnes intentions qu'il avait à ton égard. Qu'il te respecte et qu'il voulait vraiment t'épouser. Ton frère la écouter et a bien vu sa sincérité. Omar a ensuite dit que c'était pas normal que ta famille te donne de force en mariage.
Moi: donc isma était au courant ?
Mariame : non, il était étonné et ne comprenait pas.
Moi: Ah bon?
Mariame : ouii, il est même allé voir ta mère et il a exigé qu'elle lui dise où tu étais mais elle a refusé.

Moi: Et mon père ?
Mariame : il est rentré aujourd'hui avec abdel, abdel lui voulait rentrer plutôt mais il n'y avait aucun véhicule pour conakry ces derniers jours.

À peine, qu'elle eût fini que omar ouvrit la porte.

Mariame : je vais vous laisser.

Omar est venu s'assoir près de moi, il a pris ma main et la mise sur sa poitrine. J'ai pleuré... il s'est couché sur ma poitrine et un liquide à couler sur moi, il pleurait aussi.

Omar: je suis désolé

Je l'ai serré contre moi...

Moi: tu n'as pas à t'excuser mon amour...

Il leva sa tête de ma poitrine mais tenait toujours ma main... il voulait me demander quelque chose..

Omar: est-ce qu'il ta...il..t'a..
Moi: NON... non.. il s'est rien passé. Il n'a pas pu...
Il m'a serré encore plus fort dans ses bras. Quand mes frères sont rentrés dans la chambre d'hôpital, on s'est détaché...

Abdel: petite sœur çava?
Moi: Al hamdulilah.. merci, merci isma
Il a pris la place d'Omar et m'a pris la main: tu n'as pas à me remercier. J'ai fait la connaissance de omar et je sais que c'est quelqu'un de très bien, c'est moi qui me suis tromper.

J'ai souris..

Isma: ce bâtard d'issiaga je vais le tuer..
Omar: Si je ne le tue pas en premier
Moi: Non, Dieu le punit déjà et le punira toute sa vie.

Omar a plissé les yeux en me regardant.
J'ai hoché la tête...

Quelqu'un tapa à la porte.

Abdel: entrez

Mon père entra dans la pièce, il pleurait mon pauvre papa.

Moi: Ne pleure pas papa, c'est ce que vous avez voulu pour moi.
Papa: Ne dis pas ça ma fille, je me suis laissée convaincre par ta mère...
Moi: J'étais à ce point une honte pour vous? Alors que j'ai jamais salis votre honneur hein papa?
Papa: pardonne moi ma fille.
Moi: je te pardonne pas, si Dieu pardonne qui suis-je pour ne pas pardonner?

Il me fit un câlin et un bisou au front, mon papa je l'aime énormément , il s'est laissé convaincre par ma mère qui elle a un cœur très dur.

Papa: omar c'est ça?
Omar: Oui Mr
Papa: On peut parler à côté ?
Moi: papa...
Papa: Ne t'en fais pas ma fille...

Ils sont sortis et je suis restée avec mes frères un peu plus tard mon père est venu me dire aurevoir et est rentré avec les autres. Omar leur avait dit qu'il allait rester. Je rentrais demain ...

Moi: il ta dit quoi?
Omar: Il est d'accord pour nous..
Moi: c'est tout?
Omar: c'est tout ce que tu dois savoir
Moi: Stp omar dis moi
Omar: Non toi dis moi plutôt comment c'est possible que ce bâtard ne t'ai pas touché ?

J'ai baissé la tête: il était impuissant Al hamdulilah pour moi.

Omar: hein? Dis wallah..
Moi: Si je te le dis.. mais il me battait chaque jour que Dieu faisait.
Omar : wallah zaïne j'ai envie d'aller le défiguré, qu'il se mesure à quelqu'un de sa taille de narvalo.
Moi: oublie Dieu le punit déjà parcequ'il ne pourra jamais enfanté.
Omar: Oui t'as raison... il faut qu'il te répudie, j'en ai parlé avec ton père
Moi: il doit dire trois fois qu'il renonce à moi
Omar: Oui c'est ça, zaine je t'aime tellement tu ne sais pas à quel point.
Moi: Chaque jour qui passait je pensais à toi , à l'état dans lequel tu te trouvais.
Omar : je t'aime tellement

Je me suis penchée et je l'ai embrassé.

Moi: omar..
Omar: Oui...
Moi: Tu aurais toujours voulu de moi si il.. si..il.. tu vois..quoi...

Il passa sa main sur mon visage et me leva la tête.

Omar: Tu aurais toujours été ma zaïne à moi , je ne t'aurais jamais abandonné.

....

Le lendemain je me suis réveillée omar n'était pas là, mais il n'a pas tardé à réapparaître.

Omar: je suis là, t'es réveillée ?
Moi: oui depuis un moment.
Omar : j'étais allé prendre une douche et me changer. Je t'ai envoyé des habits de rechanges.
Moi: Où tu les as eu
Omar: tu as des vêtements chez moi, t'as oublié
Moi: ahhh lol
Omar: Attends je t'aide tu vas prendre une douche.

Il m'a aidé à me lever et m'a amené à la douche puis il est sorti. J'ai pris une douche et je me suis brossée.

Je suis sortie et omar m'a accompagné jusqu'à la maison où mes frère m'attendaient devant la porte. On est rentré tous ensemble chez moi. Mon père nous a bien accueilli et je suis allée me reposer dans ma chambre. Omar m'a embrassé puis il est parti. Au couloir ma mère la intercepté, je les entendais parler.

Maman : omar, c'est toi omar n'est-ce pas ?
Omar : oui madame
Maman:??

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