Partie 12

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Salam alikoum wa rahmatoulah ! PARTIE 12


Ben vous l'avez bien compris, qui dit impossible de monter, dit impossible de descendre.. Donc a suivis une longue période de déprime, de pétage de plombs, de solitude.. mais aussi une période dans laquelle une histoire magnifique a débuté, une histoire qui ma fait renaître, une histoire sans laquelle je ne serais jamais devenu celui que je suis aujourd'hui..


Le premier jour, j'crois que sa a étais le plus dur ! Ils mon déposés à 9h du matin, j'arrivais pas a dormir, les secondes me paraissaient des heures .. J'regardais par la fenetre, j'tournais dans l'appart, j'zigzagué entre la tv, la play, la musique.. Safia elle était en cour et la mama rien qu'elle me traité ! Mes poto y étaient pas dispo ! La grosse merde quoi ! 


J'pété les plombs, j'essayais tout le temps de me levé mais mes jambes ne me suivaient pas, j'me haïssais, haïssais de pas y arriver ! Plusieurs fois j'ai voulu enlevé cette ceinture de merde ! Pas moyen de me coucher sur le coté ou quoi, obligé de resté constamment droit, constamment sur le dos ! Sa m'prener la tete , j'en avait plus que marre wAllah ! Ok tu joue a la play sa te passe une heure, 2 heures, 3 heures maximum, la tv pareil mais après j'fais quoi ? 


J'comprenais maintenant pourquoi j'resté jamais ici, j'suis pas une meuf pour rester a la maison, ma vie c'est dehors, ma meilleure alliée c'est bien la rue, la street, c'est la que je m'épanouis ! Entre 4 murs, j'étouffe, j'arrive pas, j'peux pas, faut que j'remarche, le plus tot sera le mieu ! 


En plus de sa j'devenais grave mauvais, deja qu'a la base j'étais pas facile a vivre alors imaginez dans cette situation ! J'étais '' à fleure de peau '', j'menervé, j'pété les plombs pour rien ! J'devenais INVIVABLE !


Meme Safia avec qui j'mentendais un peu près bien a la base ben la sa allez plus du tout, j'passais mes nerfs sur elle, eu debut elle prenais sur elle puis elle a éclaté, j'parlais donc plus n'y avec elle, n'y avec ma mere. Ma mère elle restait le maximum a la maison, elle me ''surveillé'', depuis le jour ou j'ai chutté en voulant marché bessif, elle restait toujours pas loin de peur que j'pete un cabble, que j'essaye encore de me lever et que j'tombe mal ou que j'enlève la ceinture parce que sa aussi j'lavais fais ou que j'prene pas le traitement ! J'voulais guérir le plus vite possible mais j'fesais rien pour ! J'étais JAMAIS seul, y'avais toujours obligatoirement quelqu'un pas loin, comme un bébé qu'on a peur de laisser seul. Safia elle s'quaté de plus en plus avec Melina, c'était devenu des ''best friends'', elle était souvent chez moi mais comme elle me la si bien dit y'avais PLUS RIEN, non elle me regardais pas de travers comme avant n'y rien, elle ce contenté de m'ignorer et elle me disait bonjour quand elle était obligé mais sa s'arrété la.


Avec Karim sa c'étais ''réglé'' y'avais toujours quelques tensions mais sa allé un peu mieu et Hamza toujours la meme, il venait dès qu'il pouvait, il me ramené ce que j'avais besoin, il m'informé sur ce qui se passer, mais bon il avait aussi une vie et defois j'le voyais pas, quelque temps, mais j'pouvais pas lui en-vouloir !


Ma vie elle a était comme sa les deux premières semaines, sa fesais presque un mois que j'marchais pas, j'avais une infirmière qui venais deux fois par semaines, sah to sah des fois j'me disais ''tu serais mort sa aurait était mieux !'' ! Starf''Allah, j'étais vraiment égoïste mais a ce moment j'étais tellement mal que j'me voyais comme le pire cas possible ! J'voyais pas ce qui m'entourer, la misère du monde.. J'pété les plombs, sa fesait plus de deux semaines que j'avais pas mis les pieds dehors, mon ascenseur il avait remarché entre temps et Hamza était venu pour ''me sortir'' mais non c'était hors de question, j'voulais pas sortir, j'voulais pas que les gens me prenne avec pitié, je savais que j'me serais énervé a un moment ou a un autre et j'aurais pas pu pété les plombs comme j'laurais fait avant, donc non je sortirais seulement quand j'marcherais !

Chronique de Mehdi:A force de trop m'aimer j'ai fini par me detesterWhere stories live. Discover now