"PAR CE QUE JE T'AIME !.." { Chronique d'Assia} inspirée de fait réel

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« Et il y a des cœurs qui ne cesseront jamais de vous aimer. »

As- salam wa aleykoum.

Je me réveille encore avec ce sentiment de culpabilité et de regret. Je voulais absolument pas retomber sur ça.

Je voulais absolument pas passer la nuit à penser, à réfléchir jusqu'a m'auto détruire.

Je voulais pas wAllah...

Je vais bien

Je vais bien

Je vais bien.

Ça va aller

Ces phrases dont je me dis pour me rassurer, en faite je me sens limite hypocrite je me dit qu'Imrân doit sûrement me voir comme une fille pure et propre.

Mais il m'a gâcher la vie

Je parle bien de lui, oui. Amine.

Je ne sais pas si je le déteste je déteste plutôt ce qu'il m'a fait subir. En repensant à lui j'ai que un énorme dégoût. Il me dégoûte je l'avais temps mis en haut qu'il a tellement baisser à mon estime.

Ne fait jamais confiance à un homme t'en qu'il ne vous a pas marier.

Aujourd'hui c'est la seconde muqabala. J'ai un peut une boule au ventre, mais ça va aller.

Cette fois ci c'est Imrân et ces parents qui viennent chez nous. On prépare tout.

Sa sonne

Je l'es est entendu entrer puis mon père m'appel. J'entre dans le salon pour les Salam cependant je vois une fille qui n'étais pas là pour la première muqabala je m'approche pour lui faire la bise.

...: c'est donc toi la future femme à mon cousin. *d'un air hautain*

Moi:..

Je ne savais pas quoi répondre vu que je ne savais pas.

La maman : camélia ! On dit ça autrement.

Camélia : bah j'ai dis quoi ?!

Le père : bon ! On est pas venu pour ça! Tu vas bien assia ?

Moi : Al Hamdoulilah et vous, comment vous allez ?

Le père: ça va Al Hamdoulilah *souriant*

Je tourne mon visage vers Imrân qui était habiller d'un polo Lacoste blanc ainsi qu'un cargo noir. Il avait ces cheveux attacher en chignon.

Il était très souriant.

Mais j'ai vite détourné le regard.

Avant la muqabala j'ai demander à ma mère de poser quelque question par ce que des fois sa me gêner mais je voulais savoir !

Maman : Imrân mon fils, j'ai une question.

Imrân : oui khelti je t'écoute.