l'école des pourfendeurs volume 2

chapitre 130 : Que faire des élèves.

Nos chères élèves sont actuellement dans une mauvaise position. Je dirais même très mauvaise. Ils ont essayé d'utiliser le deuxième scénario mais hélas ça n'a servit à rien. Ils sont actuellement dans la cour attaché part les pieds. Certains se retiennent de vomir , d'autres dorme...

Moi : ( Tousse ) Tokito , gyutaro!

L'eurs prof n'a même pas essayé de connaitre la raison de cette incident. Alors armé de ça fidèle ceinture ils les à attaché part les pieds et il est actuellement en réunion avec les autres professeur et le directeur.

Dans la salle de réunion

Sanemi : ( Frappe sur la table)
C'est sales merdes mérite une punition.
J'en peux plus deux.

Iguro : Faut les égorger.

Uzui : Et avec panache.

Kanae : Vous y allez un peux fort les gars. Un accident ça arrive.

Sanemi : Désolé mais là c'est pas du tout un accident.

Kyojuro : On n'a plus de salle d'informatique. Sans oublier que shinazugawa à faillit y passer.

Sanemi : Ils ont failli me tuer c'est sales vermines.

Kyogai : Alors faut les punir.

Gyomei : ( Prie et Pleure) Prions pour eux...

Sanemi : ( Hurle)
Non faut pas de prière. Faut qu'on les enterre.

Goto : À ce point là ?

Sanemi : Oui.

Tomioka : Il y à deux fautifs dans cette histoire.

Sanemi : Hein ?

Iguro : Qu'est-ce qui raconte celui-là ?

Tomioka : Les fautifs sont shinazugawa et Michikatsu!

Sanemi : Répète ça le dépressif j'ai pas entendu.

Tomioka : Pourquoi n'étais pas présent alors que tu devais les avoir ? Si tu avais été là comme prévu rien de tout ça ne serait arrivé.

Sanemi : J'avais une réunion avec le directeur.

Muzan : Je confirme.
( Bois une tasse de café)

Tomioka : Alors c'est la faute à Michikatsu ! Il aurait dû les surveiller.

Kyojuro : Pas possible. Il est du service qu'à neuf heures. Et ils ont eu cour à huit heure.

Kanae : Et le pronote alors ?

Goto : C'est vraie que si ça avait été mis ça aurait simple.

Kyogai : Il était peut-être avec nakime !

Tomioka : Excuse de merde.

Sanemi : Bref , les seuls fautifs sont ses branleurs de merde. Qui va payer les réparations de la salle maintenant ?

Muzan : Tu veux plutôt dire qu'est-ce que je vais dire à l'académie. C'est moi le patron alors c'est moi qui vais le plus prendre cher dans cette histoire.

Uzui : C'est pas faux.

Muzan : En même temps c'est de votre faute.

Les profs : Pardon ?

Muzan : Vous pouvez pas l'eurs apprendre les bonnes manières à ses gamins ?

Iguro : On est pas l'eurs parents je vous signale.

Sanemi : Plutôt crevé d'ailleurs.

Kyojuro : Abuse pas. Il y à ton frère dans l'histoire.

Sanemi : La famille ça compte pas quand on est aux travaille.