Sanemi : tu est sûr que tu ne préfère pas un restaurant ?
Kanae : Mais oui je t'assure. Ça ne me dérange pas de manger chez toi.
Sanemi : Ok , si ça peut te faire plaisir.
Sanemi à invité kanae , à mangé chez lui et il craque un peux et aurait préféré un restaurant.
Kanae : Ton frère et là ?
Sanemi : Normalement il doit dormir...
Genya : ( joue à fifa dans le salon)
Sanemi : Genya tu vire.
Genya : Non je joue.
Sanemi : ( Crie )
Tu dégage. Les dents , pipi , et aux lit.
Genya : Non.
Sanemi : ( crie)
Tu ose me répondre ?
Genya : ( Éteins la console)
C'est bon je te laisse avec ta chérie.
Sanemi : (Devient tout rouge de colère. )
Genya : ( S'en va)
Sanemi : Je vais le butler ce gosse.
Kanae : ne sois pas trop cruel avec lui.
Sanemi : Tss. Il me donne le baton pour ́le battre.
Kanae : Maintenant que j'y pense quand il à le mot chérie il avait l'air un peux triste en disant ça.
Sanemi : Hein ?
Kanae : peut-être qu'il est jaloux de toi.
Sanemi : Hein ? Lui jaloux de moi ? Mais il va pas bien ce gamin.
Kanae : Ce n'est qu'une supposition...
Sanemi : ( Prend une ceinture et va voir genya !)
Kanae : Non sanemi fait pas ça...
Sanemi : ( Crie )
Alors Comme ça t'est jaloux de moi ?
Genya : Hein ? Mais t'as craqué...
Sanemi : C'est toi qui va craqué.
Elipse de deux minutes
Genya se retrouve avec plusieurs bleus sur le visage)
Sanemi : Et que je ne t'y reprenne plus.
( Claque la porte)
Genya : ( Murmure)
Sale batard.
Du côté de notre bande préféré
Doma : ( Regarde le ciel depuis son trous. )
Umé : Hé doma , il faut que tu remonte.
Doma : Pourquoi ?
Umé : Il y à tes parents devant la maison.
Doma : Hé alors ?
Umé : Ben ils veulent te voir.
Doma : Ben pas moi.
Umé : Si tu viens pas tout de suite ça va barder.
Doma : ( Souffle )
OK , je remonte.
Une fois remonter doma va voir ses parents avec un air mécontent.
Mère de doma : Bonjour mon grand.
( tire les joues de doma !)
Doma : ( Crie)
Maman ! Laisse mes joues tranquille j'en ai besoin pour manger.
Mère de doma : D'accord j'arrête.
Doma : Bref , pourquoi vous êtes là ?
Père de doma : il faut qu'on te parle en privé.
