L'anis etoilé

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Knockin' On Heaven's Door ~ Guns N' Roses


Brutus le cactus dans une mains, ma bouteille de Ricard dans l'autre, Knockin' On Heaven's door dans les oreilles je marches sur les trottoirs de la ville, si on peut appeler ça une ville.

Les première lueur du jour pointe le bout de leurs nez, tandis que les dernier vent frais s'évanouissent. Je remet tout de même la veste, qu'Ethan ma prêter, sur mon épaule. Le printemps arrive, mais l'hivers cede difficilement sa place. 

Cindy m'avait d'ailleurs lancer un regard noir quand il me l'avait passait. J'aime bien quand elle me foudroie de ce genre regard. Ça veut dire qu'elle m'appartiens encore.

Elle me la bien fait savoir pendant cette folle soirée. Un sourire se forme sur mon visage quand je me remémore les souvenir de la nuit.

Je crois d'ailleurs que c'est Cindy qui ma donné ce caillou. Par contre j'ai oublié pourquoi on l'a appeler Brutus le cactus.

Elle voulait surement lui donné un nom originale. Elle veut faire partie de ces gens qui ne suivent pas le chemin. Certain trouve ça ridicule, mois c'est ce qui ma plus chez elle. Ce « grain de folie » qu'elle n'assume pas totalement.

Quand je réfléchis, je me rend compte que tous commence a s'arranger. J'ai bien fait de venir a cette fête, elle a peut-être tous arranger pour moi. Je sais que Cindy était trop bourré pour se rappeler de tous ce qu'elle ma dit, et de tous se qu'on a fait, mais je sais qu'elle se rappellera qu'elle ma pardonner.

Les garçons aussi ont tourné la page. Je suis contente que Chris soit revenue. C'est mon meilleur amie, et il ne m'avait jamais autant manqué, je n'ai jamais eu autant besoin de lui. Et il était là, car il tenait encore a moi, mais c'était tous. Si il n'était pas venue m'aider la semaine dernier on se serait jamais reparler. 

J'aurais due l'couter. Il m'vais prévenue que ces cons retournerait leurs vestes, mais j'ai préfère leurs faire confiance a eux, plutôt qu'a Chris. Je suis trop con.

Même Ethan ne m'en veut plus. Je sais pas si c'est une bonne chose, mais je sais que je ne serais plus tenté. Je sais a quel point je tiens a Cindy désormais.

Je ne pensais pas l'aimer autant. J'ai dis qu'elle était encore a moi, mais je crois que c'est plus moi qui lui appartiens.

A travers la music de mes écouteurs j'entend le vrombissement d'un moteur. Cela me rappelle quand on a prit la voiture pour partir loins.

Juste après être rentré par effraction dans une piscine. Carl va se faire engeuler par son père, ça c'est sûr. On a surement due niker ses fauteuil en cuire avec l'eau chloré.

L'obscurité a quitté le ciel, pour laisser des nuance verts parsemer le ciel. Je m'arrête au milieux du trottoir pour admirer. J'ai toujours aimer le matin. La matin c'est le commencement, le début de tous. La fin des cauchemars, le début des rêves. C'est le moment ou les ténèbres nous quittent, pour laisser place au feux ardent du soleil, qui ne peur que être porteur d'espoir.

Pour remercier la nature de ce spectacle, je lève ma bouteille pour trinquer, avant de boire une gorgé. La fraicheur de l'anis étoilé glisse dans ma gorge, laissent un gout de réglisse amer dans ma bouche.

Je crois que je commence a aimer le Ricard. Dir que je me foutais de la geule de Carl, quand il a sortis la bouteille a deux mille balle de son père. Je ne comprend toujours pas le prix exorbitant, mais je dois admettre qu'il a très bon goût.

Ce qui est sur, c'est qua ce prix je ne vais pas jeter la bouteille, ça serait comme un affront, et je ne veux offenser personne.

Accompagné par le chant d'un oiseau, je reprend ma route. Mes talons résonne sur le bitume, quand je sens mon téléphone vibré dans mon sac.

L'histoire des corbeaux Where stories live. Discover now