|| Partie 23 ||

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Une des qualités que je devais reconnaître à Yanis, était qu'il savait quand j'avais besoin de douceur, il comprenait vite les choses, ce que je voulais dire juste en me regardant. Et pour dire vraie, je n'aimais pas ça. Bien que cela m'est arrangée cette nuit.

Ma relation avec Yanis est vraiment de plus en plus étranges. J'ai dormis avec lui, mais nous ne nous aimions pas. Je pense qu'on as juste besoin l'un de l'autre, pour combler l'affection..

Ce matin, je vais préparer le petit-déjeuner étant donner que Yanis dort encore. Je vais dans la chambre, plateau en main. Je le pose sur la table de chevet, et commence à câliner Yanis, tout en lui donnant des bisous sur le visage sans jamais toucher ses lèvres.
Il a les yeux fermer, mais un sourire ce dessine sur ses lèvres.
Je lui dis alors :

- Ton déjeuner est prêt.

Il ouvre enfin les yeux, en ce les frottant. Je souris en lui posant son déjeuner.

- Pourquoi t'es habiller, de bon matin ?
- On va voir ma mère, tu te souviens ?

Il semblait confus, mais reprit :

- Je mange, me douche, m'habille et on bouge.
- Ouais.

Je commençais à sortir, quand je l'entendais ce lever du lit à pleine vitesse pour m'attraper le bras. Je me tourna vers lui, il était en caleçon uniquement.
Je bégaya, ce qui le fit sourire. Il dit :

- Tu pars, comme ça ?

Je regarda ma tenu. J'avais un jean délavé, un t-shirt blanc avec inscrit Calvin Klein, une veste en cuir, et des basket noir et blanche.
Je demanda alors, perplexe :

- Quoi ?

Il souriait de nouveau, puis poursuivit :

- Mon bisous ?

J'étais.. Étonner, surprise, bouche bée.
Je le regarda, incomprise. Cherchant dans son visage et ses yeux, une lueur de mensonges, d'ironie, de blague. Mais rien. Il était serieux.

Je me leva donc à la pointe de mes pieds, posant chacune de mes mains de par et d'autres de ses joues, lui tournant la tête de sorte à embrasser sa joue, et je déposa mon baiser. Il fronça légèrement les sourcils, pour montrer son mécontentement. Puis il tourna les talons vers le lit.

Je comprenais pas. Il voulait un bisous, non ?
Tant pis.

Apres une éternité à attendre monsieur - j'avoue que j'étais presser, impatiente et que les temps m'as sembler durer cette éternité - il arriva enfin au salon.

- ALLELUIJA ! M'écriais-je

Il rigola, puis m'ordonna de monter dans la voiture. J'allais chercher les sacs et déposait tout dans le coffre.

Devant chez moi, je me rappelais tellement de chose. Je me pressa de monter, n'attendant pas Yanis.
Je salua les teneurs, qui me rendais mon bonjours aimablement. Je monta, et arriva face à la porte. Je la regardais mais je n'osais pas toquer.
Yanis fit son apparition près de moi, quelque minutes plus tard.

J'entra, et quand je fit calquer la porte derrière nous, ma mère commençais à insulter de tout les noms, nous prenant pour mon petit frère. Quand elle arriva à l'entrée, elle nous regarda longtemps, comprenant son erreurs. Je riais avec Yanis. C'était extrêmement drôle. Ma mère ce mis alors à nous insulter ironiquement.

Elle nous fit assoir dans le salon, et nous questionna comme il ce doit. Un moment je les laissa seuls pour lui amener ses cadeaux.

- Mama, tiens.

Je lui tendu le sac. Elle me regarda d'un air interrogatif. Je lui dis d'ouvrir. Elle pris du sac le petit coffret, et ce mit à sourire en voyant le collier en argent et la bague. Je la serra dans mes bras.

- Nos initiales sont graver sur la bague.

Elle me remercia. Elle le mérite.

« Une minute pour tout ce dire »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant