|| Partie 34 ||

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- Je t'ai rien pris du tout.
- Si, Yanis. Je suis dépendante de toi.
- N'importe quoi !
- Tu sais à quel point c'est dur de trouvez un travail sans avoir un Bac+ ? C'est carrément impossible !
- Pourquoi tu veux travaillée ? Moi je travail déjà, j'ai un bon revenu
- Bah voilà ! Et si moi j'ai envie de quelque chose ?
- T'as juste à me demandé ce que tu veux, où de l'argent
- D'accord, alors je suis dépendante de toi.
- Mais non
- Si je veux quelque chose, je devrai toujours passer par toi.
- C'est pas ça être dépendant
- Ah ouais ?
- Ouais, parce que tu peux vivre sans moi
- Et si un jour je veux me barrer, parce qu'entre toi et moi ça va pas, je vais allez ou, hein ? Chez ma mère ? Tu m'as regarder deux minutes ?!
- En fait, ce qui te dérange c'est juste d'être à mes frais, et de pas pouvoir faire les choses de toi même, comme t'as envie sans rien demandée à personne
- C'est justement ça, être dépendant de quelqu'un. Je pourrais jamais rien faire de moi même, je peux pas m'acheter ce que j'ai envie sans passer par toi, je peux pas me faire plaisir si je viens pas te demander avant, je serai obligé de te suivre partout parce qu..

Il me coupa :

- Parce qu'on est marié

Je le regarda, et repris ma phrase :

- Parce que sinon je suis dans la merde.

Il m'as regardé avec de la haine, du mépris, un regard noir brutal. Je sais pas si je regrettais ce que j'avais dis. Mais je fus sauver par le gong, parce qu'on sonnait à la porte, sûrement le livreur. Yanis ce leva pour allez chercher les pizzas et régler la commande. Je le suivi, il me donna ma pizza et ce posa au salon. Moi je préférais manger dans la cuisine, je voulais pas me retrouver face à lui.

Quand il eu finis sa pizza, il entra dans la cuisine sans me lâcher un regard, ni un mots. Il se dirigea vers le frigo pour boire du Coca, et il partie.
Moi je suis restée dans la cuisine, je réfléchissais. Et le sommeil arriva, alors je me dirigea dans la chambre, mais je n'avais aucune envie de dormir avec lui ce soir. J'allais dormir dans une autre chambre.
Dans la nuit, je me sentis soulever, j'ouvra légèrement mes yeux. Mon corps était en apesanteur, tenu dans le vide. Je sentais mes pieds et mes bras se balancer dans le vide, comme si ils n'étaient pas les miens. Je leva mes yeux, c'est Yanis qui me portait, t'elle une princesse. Je sentais ses gros bras qui me portait. Je m'agrippa alors à son cou, et il me déposa sur le lit où il dormait. Il ne fit pas plus attention à moi et se glissa sous la couette, puis il me couvrit aussi. J'étais trop faible à ce moment pour retournée dans la chambre ou j'étais.

Je me réveilla à 7 heures du matin, la bouche assécher. J'avais carrément pousser Yanis au bord du lit pendant mon sommeil. J'allais boire, et retourna me coucher.

« Une minute pour tout ce dire »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant