Trop de défauts

Je deviens la pétasse

Après plusieurs jours je suis devenu populaire. Je suis grosse mais belle pour tous le monde. Mes deux meilleures amies ne sont plus que des inconnus pour moi. Bethany est à la renverse. Moi je traîne avec sa bande. Je sors avec Marcus. Tout ce que j'ai toujours rêver.Je sortais en ville avec les potes quand je croisa Sarah et Jessica de vielles potes même si elles m'avaient toujours aidé dans ma sombre périodes d'il y'a 2 semaines elles ne sont plus que des coincés.  Je m'étale à nouveau du gloss en les ignorant. Béatrice et Léa  mes bitch  sont partit Il ne reste que moi et les Bad Boys .  Il ne reste plus que nous qui buvons  nos milkshake à la banane en train de snapper.  Jessie et Sarah se dirigent vers moi qu'est- ce qu'elles me veulent? 

- Ecoute Inès tu as trop prit la confiance ! On est tes meilleures amies ne l'oublie pas!  s'exclame Sarah. 

- C'est tes amies ces filles, se moque Marcus.
- Non... Je ne les connais  pas, mentis - je.   

- En plus de ça tu nous renie tu ne te souviens pas  de nos soirées pyjama le mois dernier à manger du chocolat, tu ne te souviens pas  quand tu étais tellement grosse que tu ne rentrais plus dans tes habits tu te souviens quand tu craquais pour Marcus et lui il ne savait  même pas que tu existais. Tu deviens comme Bethany une pétasse! Hurle Jessie.

Elle a trouvé mon point sensible.  Marcus se détache  de moi. Les garçons me fixe écœurait. Ils se souviennent de ce que j'ai été. Puis  je me souviens à mon tour que même si j'avais un corps minable  je n'avais pas un caractère de garce.   Je suis devenue un monstre. Mes vraies amies ont raisons. 

- Ah oui c'est toi le gros boulet, se moque un des bad boys qui se nome Bradley.

- Je crois  qu'on ne sort plus ensemble je préfère Bethany elle est cert hyper méchante  mais elle est mice et blonde le vrai profil d'une populaire pas comme toi  Inès l'algérienne , me dit Marcus.

Les gars se lèvent et sortent du café me laissant seule avec ma culpabilité.  J'ai perdu mon groupe de populaire, mon statut de pétasse au lycée et mes bonnes vielles copines. Je retourne chez moi en réfléchissant à mon erreur.  Je me réfugie à mon seul réconfort ; la bouffe.