Partie sans titre 2

2 0 0
                                    

1



Décroissancedémographique. Stopper l'immigration. Aide à la réémigration afinde respecter la diversité humaine et son adaptation au milieu. Findes aides sociales pour les étrangers. Objectif France à 50millions. Stopper les aides aux pays en voie de développement etcesser de vouloir occidentaliser la planète entière.


Lebut de ce premier chapitre n'est pas de remettre en cause l'humanité,ni même son droit légitime d'interférer sur son environnement. Ilest en revanche de remettre en cause l'humanisme qui a fait del'homme le tyran de son environnement. Au nom de l'égalité entreles hommes, c'est toutes les autres espèces qui ont été mépriséesou sacrifiées. L'humanisme a transformé nos espaces en zones àexploiter. L'homme semble ainsi dominer ; il semble mêmeexister comme finalité. Dans ces conditions, le terrain étaitpropice à rendre l'homme meilleur, plus conscient, plus clairvoyant,plus intelligent, moins grégaire, moins instinctif. En un mot, tout,selon les humanistes, était rassemblé pour augmenter en qualité etnon en quantité. Seulement voilà, non seulement il n'a pasprogressé qualitativement, mais en plus il s'est développéquantitativement. Et c'est à partir de ce moment qu'il a commencé àen demander trop à la nature. On ne peut pas d'un côté exiger legrand confort d'un être raffiné tout en ne tempérant pas del'autre ses instincts de conservation qui mènent au pullulement.

Sil'occident a su plus ou moins bien tempérer sa démographique, lereste de la planète en revanche, aidé en termes d'avancéesmédicales, hygiénistes et scientifiques par un occidentpost-colonialiste qui ne raisonne encore que de façon purementuniversaliste, a dangereusement contribué à rompre les équilibres.En soi, si on se base sur le standing européen, on sait que celui-ciest énergivore et exige un espace conséquent. C'est donc unecertitude que l'africain, dont le niveau de confort est moindre,exige un espace moindre tout en sollicitant également moins deressources. Seulement voilà, que souhaite en fin de compte l'immensemajorité des africains sinon copier le standing européen ? Eten parallèle à cela, quel est le doux rêve de la finance hors soloccidentale sinon d'occidentaliser la planète entière pour leurvendre des babioles et générer de la croissance économiquequi leur profitera directement ?

C'est pourquoi l'écologieconservatrice milite en faveur d'une décroissance démographique enstoppant les aides aux pays en voie de développement et en cessantde vouloir occidentaliser la planète entière. Il apparaîtd'ailleurs un peu prétentieux d'estimer que la façon de vivreoccidentale est la meilleure et qu'il faut pour cela, parfois enfaisant la guerre, l'imposer à tous, comme si les critères desatisfactions étaient les mêmes pour tous, et qu'il n'existaitqu'une seule vérité, une seule façon de voir les choses. Nous,nous disons qu'il n'y a ni morale universelle, ni raison universelle,ni devoir, ni droits universel et nous souhaitons laisserl'opportunité à tous de trouver ce qui se rapproche le plus de leuressence, de leur être véritable. Dès lors on comprendra lanécessité de stopper l'immigration, surtout quand celle-ci vient depeuples extrêmement différenciés, et dont le caractère inné nepeut que s'entre-choquer avec l'occident. Pour être tout à faithonnête, s'il y a bien un principe universel qui s'applique enbiologie comme en sociologie, c'est que la différence constitue etque la séparation préserve. Et à partir du moment où l'on nie ceprincipe, on se nie et on nie les autres, un peu comme si l'onrejetait la diversité.

Sil'écologie conservatrice aspire au respect et à la préservation detoute la diversité, y compris la diversité humaine, alors pourquoine militerait-elle pas en faveur du rétablissement et del'affirmation des identités tout en limitant l'impact du métissage ?On ne peut pas d'un côté prétendre vouloir sauver les espèces envoie d'extinction et la diversité dans la nature sauvage, tout enfaisant l'inverse chez l'homme, et contribuer à détruire desmilliers d'années d'histoire et d'adaptation.

Ainsi l'immigrationextra-européenne tarie, il serait préférable d'aider celles etceux qui ne parviendraient pas à se conformer à une psychologie etune culture qu'ils ne comprennent pas vraiment, à ré-émigrer dansleur biotope originel afin de respecter leur spécificité et lanôtre. C'est pourquoi un État, sorti des dogmes humanistes afin derétablir l'ordre naturel des choses, se doit de supprimer la doublenationalité ainsi que toutes les aides sociales aux étrangers.

Parce que la surpopulation,en plus d'être inhumaine, est un désastre écologique, la Franceraisonnable et consciente des enjeux de demain, ne peut compter plusde 50 millions d'habitants. La pollution automobile diminuait, et ilserait plus facile de circuler sur des réseaux routiers aujourd'huicomplètement saturés. Un frein serait mis au bétonnage de noscampagnes et de nos champs, ainsi qu'à toute expansion urbaine.Tout ce qui effraie tant les pontes du capitalisme sauvagereprendrait vie sous la pression d'un peuple qui ne s'y retrouve plusdans le règne de la quantité et du toujours « plus »,comme si c'était toujours « mieux ». Car pourquoi seréjouissent-ils autant du fait que la population augmente sans cesseavec l'immigration si ce n'est pour faire tourner leur industrie dufric à vil prix, en abaissant les salaires des autochtones. L'UnionEuropéenne a d'ailleurs agi de la même façon par l'adhésion depays où la main d'œuvre et le niveau de vie étaient sensiblementinférieurs au reste de l'Europe. En vérité, il s'agit toujoursdu même principe ; il faut s'étendre indéfiniment enconsommateurs et en espace, tout en tirant le coût du travail par lebas. On peut alors se demander à qui profite ce systèmed'expansion. Dans un premier temps à tout le monde certes. C'étaitla période des 30 glorieuses. Par la suite, ça se complique un peu,l'ascenseur social se grippe, les premières crises apparaissent.Enfin, dès que l'on franchit une certaine limite, il n'y a plus queles 1% les plus riches qui en profitent pendant que tous les autressubissent.

Quoi qu'il en soit, cesfameux 1% de capitalistes hors sol n'ont que peu de scrupules. Ils sesont même fait les chantres de l'humanisme, non seulement pouraccroître l'immigration, mais aussi pour mettre la pression auxpolitiques afin que ceux-ci contribuent à l'occidentalisation de laplanète. Dès lors, l'occident, à travers notamment diverses ONG,s'est mis en tête d'aider la planète entière ; parfoistotalement vertueusement, d'autres fois pour se donner bonneconscience. Mais à y regarder de plus près, ça n'a jamais été ungeste totalement gratuit ni désintéressé. Il s'agissait le plussouvent d'avoir une main-mise et un marché favorable dans le paysconcerné. L'impact le plus sournois fut sans conteste le fait quel'autochtone s'est vite retrouvé confronté au standing occidental.Et par mimétisme ou par pure appétence matérialiste, il s'est misà envier l'occidental et à vouloir consommer la même chose quelui, sans imaginer le moins du monde que ses critères desatisfaction allaient devenir les mêmes qu'en occident, faisant delui un nouveau pauvre, prêt à se soumettre pour des commodités.

Seulement, et ceci vaut pourl'occident également : C'est quand le désir de commodités etde richesse devient plus important que la volonté de préserver saculture et son identité que les inégalités économiques secreusent injustement ; ce moment où le pauvre fabrique le trèsriche et que l'argent devient frontière. Si la bien-pensance appellececi liberté ou progrès. Nous autres, plus critiques, appelonscela : Exploitation des appétences populaires et destructiondes peuples.

Tandis que les capitalistesprônent la suppression des frontières physiques tout en eninstaurant une nouvelle de l'argent, la gauche humaniste etmondialiste se fait l'idiote utile en favorisant la concurrencedéloyale qui sert les premiers ; quoi qu'il en soit, ces deuxformes d'universalisation sont l'exact contraire de ladifférenciation naturelle. N'importe quel éthologue vous le dira :l'instinct de territoire est prépondérant. Au mieux, quand il y aabondance dans un biotope, les espèces concurrentes s'ignorent, maisen cas de disette, elles se font la guerre. Les doux rêveurs quiaffirment que la frontière ainsi que le racisme sont des inventionshumaines ne rendent pas service à l'humanité par la négation deces principes de la vie dont l'homme ne peut échapper.

Afindonc de lever toute ambiguïté quant à nos intentions, l'écologieconservatrice se doit de stopper toutes les aides aux pays en voie dedéveloppement et de cesser de vouloir occidentaliser la planèteentière, pour le bien de l'occident et pour le respect de tous. Ilest temps de cesser le sentimentalisme et de favoriser ladécroissance démographique par le non interventionnisme partout oùcela est nécessaire. Ce n'est qu'à partir du moment où l'onrespecte le fait que la différence constitue et que la frontièrepréserve que le respect pour la diversité devient sincère.


Ecologie conservatrice et post-moderneWhere stories live. Discover now