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PARTIE 43:

Moi: Mais il s'passe quoi dis moi, quelqu'un est mort ??

Selma: Nan.

Après ça Selma ne me réponds plus, j'étais en stress totale !!! Personne ne me répondais, j'avais les nerfs! Je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit, Aymene? Hakim? J'vais pété un cable. C'est pas possible il s'passe quoi là bas !?

Arrivé à la cité avec Aurélie, je ne croise personne dehors. A peine arrivé chez moi, je pose mes affaires et fonce chez Selma !

Selma: Ah t'es là..

Moi: Ouais j'suis là dis moi ce qui s'passe.

Selma: Il à fais un accident de moto. Ses potes disent qu'il à fais exprés.

Moi: Il est mort?

Sans même qu'elle ne me dise le prénom j'ai lu dans son regard de qui il s'agissait comme si c'était écrit.

Moi: IL EST MORT ?!

Selma: Pourquoi tu lui à pas dis?

Moi: Parce qu'il à sa meuf. Selma il est mort?

J'étais en panique, et en pleurs. Aurélie me tenais par les épaules.

Selma: Il à personne Myriam, il mens ! Comme toi tu lui mens.

Moi:  Je m'en fou de ça putain ! Il est mort ou pas ?!

Selma: Qu'est ce qu'il vous faut comme déclique ! Faut qu'un de vous deux meurt pour que vous réalisiez la gravité de vos actes?

Moi: SELMA JE VAIS TE TUER !!! DIS MOI SI IL EST MORT OU PAS !

Selma: Tu bois, tu fume je sais ! Lui il joue à conduire comme un fou en moto sans casque quitte à perdre la vie. Va voir toi même ce qu'il en ai moi je sais pas !

Moi: Il est ou ? Il est ou ? Il est ou ?!!!

Selma: A l'hôpital.

Moi: Il est dans le coma? Il est mort? Dis moi stp

Selma: J'te dis rien Myriam, va voir de tes propres yeux. Sois forte, c'est le Destin ça devait arrivé.

Elle me serre fort la main, j'vois bien qu'elle est inquiéte mais qu'elle ne veux rien dire. J'en ai marre de le voir à l'hôpital d'abord un coma artificiel, maintenant un accident de moto !

J'ai qu'une envie c'est de le voir de lui sauté dessus de lui dire à quel point je l'aime !

Selma: Attends je met mon manteau je t'accompagne. Tu sais il faut...

J'me met à courir à toute vitesse en pleurant.

Selma: MYRIAM ATTENDS !!!

J'ai laissé les filles toutes seules, même Aurélie la pauvre son séjour à Paris commence par les problémes, je l'ai abandonnée. A vrai dire y'avais plus rien qui compté, je courrais sans m'arrêter en direction de l'hôpital.

Je cours tellement vite et sans regardé le sol, que j'me prends le pied dans une grosse pierre. Je plonge au sol, je m'arrache tout le pantalon au niveau du genou. Je saigne comme pas possible, mais je m'en fou je continue à courir.

Tellement l'adrénaline me monté au cerveau je ne ressenté aucune douleur, j'étais térrifiée à l'idée de le perde. J'en pleurais des milliers de larmes. Perdre Aymene? Je peux pas, pas maintenant on à tellement à faire ensemble !

Arrivée à l'hôpital, je fonce à l'accueuil.

Moi: La chambre d'Aymene D***** !

L'hôtesse: Désolée mademoiselle je trouve pas

Moi: Quoi ?? Mais cherchez bien là !!!

L'hôtesse: Non y'a pas.

J'suis perdue, Selma m'aurait menti? Impossible. J'décide quand même de passé par les urgences, je sais même pas pourquoi, mais mon coeur m'as poussé à passé par la sortie des urgences. Comme un préssentiment.

J'avance, fallait voir l'état dans lequel j'étais mon jeans déchiré, avec du sang partout. Mes yeux tout rouges a force de pleurer.

...: Myriam ?

J'me retourne et là je vois.. La mère à Aymene.

Moi: Khalti, Aymene il es ou ?

Je disait ça en pleurant, vraiment j'étais au plus bas.

Mère à Aymene: Il est partis faire sa radio pour son épaule.

Moi: Il va bien ?

Sa mère: Il à mal mais hamdoulillah il a rien eut de grave. J'ai eut peur benthi, et toi qu'est ce que t'as au genou ?

Moi: J'suis tombé. J'peux le voir ?

Sa mère: Il va arrivé. Pourquoi tu pleure ça va pas ?

Moi: Non, j'ai eut mal...

Oui mal avec la peur de perdre Aymene... C'est attroce comme douleur

Sa mère: Va voir le médecin.

Moi: Non c'est bon j'attends Aymene.

Sa mère: J'vais t'engueulé va le voir, regarde t'as même mis du sang par terre c'est grave !

En tombant j'avais pas réalisé à quel point j'étais ouverte. Mais la douleur commencait à se faire sentir.

Aymene: Qu'est ce que tu fais là toi ?

Sa mère: Elle est venu pour toi. Ah Myriam ma fille je t'aime beaucoup beaucoup ! T'as fais ta radio toi?

Aymene: Ouais j'attends les résultats. T'as quoi au genou Myriam?

Il regardé mon genou il était sous le choque. Du sang partout, moi je m'en rendais pas compte. Il était là face à moi VIVANT, debout ! J'ai envie d'lui sauté dans les bras.

Sa mère: J'vais au travail je te laisse wouldi (mon fils) force Myriam à voir le médecin.

Sa mère part.

Aymene: Commence ça force la? T'es pas venu aux urgences pour ta jambe ?

Moi: Non, j'me suis fais ça en venant...

Aymene: Tu venais voir qui ici ?

Moi: Toi...

Aymene: Ah bon ?

Moi: J'ai cru que t'étais mort Aymene...

Aymene: T'es folle.. Sa t'as fait quoi?

Là avec ce qui venait de se passé, j'étais prête à lui ouvrir mon coeur entiérement. A dire toutes les vérités.

Moi: J'ai cru que j'allais mourir aussi...

J'me met à pleurer. Je pleure de soulagement...

Aymene: Mais arrête j'suis là Mymy pleure pas.

Il me serre dans ses bras. Moi j'le serrer fort fort fort ! En mettant mes bras autour de sa taille, j'évité de touché son épaule. J'voulais plus le lâcher.

Myriam Le love à la cité(réécriture réelle)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant