Myriam Le love à la cité(réécriture réelle)

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PARTIE 67:

Aymene s'approche de moi et pose sa main sur mon épaule. Je recule aussitôt, toujours les yeux fixant le sol. Je ne pouvais pas le regardais ! J'étais vraiment tromatisée. Je tremblée !

Moi: Ne me touche pas.

Aymene: Myriam détends toi...

Moi: Je.. Je.. Je veux pas. Je peux pas t'entendre ni te voir. Pars je t'en supplis.

Aymene: Je partirait pas tant qu'on s'est pas parlé tous les deux.

Des larmes coulaient sur mes joues. Aymene pris l'initiative de les séchés mais j'ai vite repoussé sa main.

Moi: NE ME TOUCHE PAS !

Aymene: Tu m'en veux je comprends. Mais laisse moi m'expliqué.

Moi: T'as choisis de m'abandonné Aymene ! Tout seul ! Comment je pourrais pardonné ça ?

Aymene: Ecoutes moi...

Moi: NAN NAN NAN ! Je veux pas ! CASSE TOI !

Je m'affolé, Aymene me regardais il commencer à en avoir marre. Il m'as plaqué contre le mur d'une seule main. J'avais peur... Si peur ! C'est comme si ce n'était pas Aymene comme si je ne le connaissais pas, et que je n'avais rien vécu avec lui. Pour moi c'été comme si il revenait de sa tombe en quelques sortes, normal que ça me tromatise.

Aymene: Tu vas m'écouter maintenant.

Je ne parlais plus, son visage était proche du mien il cherchais à fixé mes yeux, mais j'avais le regard baissé. Je ne pouvais pas le regardais je n'y arrivais pas.

Aymene: Tu vois tu me force à employé la force wallah j'ai envie de tout cassé là.

Moi: ...

Aymene: Tu parle pas? Tu me facilites la tâche. Attends j'te relâche t'es calmé?

J'hoche la tête de haut en bas,  histoire de dire que oui je suis calmé. Aymene me relâche et allume une cigarette.

Aymene: Avant que t'emménages ici t'avais des problémes comme ça?

Moi: Nan...

Il avait raison mes gros problémes ont commencés dans cette cité de malheur ! Quelle conclusion allait-il en tirer ?

Aymene: Depuis que t'es avec moi t'as que des problémes Myriam. Tu t'es jamais dis que c'était moi le probléme dans ta vie? J'y penser avant l'accident mais j'y croyait pas. Et aprés l'accident quand j'ai bien réalisé que t'a faillit mourir j'me suis rendu à l'evidence...

Moi: L'évidence de quoi? (toujours les yeux au sol)

Aymene: Je t'apporte que des malheurs. Et c'est pas c'que je veux pour toi. Dieu ne veut pas qu'on soi ensemble Myriam voilà ma conclusion aujourd'hui. J'me suis fait passé pour mort pour que tu m'oublis, que tu trouve l'amour ailleurs. J'sais que c'est con, mais tu m'as perdue une fois tu sera capable de vivre sans moi une seconde fois. On est pas fait pour être ensemble

Là tous mes bloquages avaient disparus, j'ai réalisé que c'était encore une fois la fin. J'ai relevé la tête en larmes. Je ne savait même pas quoi dire, ni par ou commencer. J'ai tant de choses à lui dire, pour commencer j'lui dirait ne pars pas, ne pars plus !

Moi: T'entends c'que tu dis Aymene? Tu sais c'que j'ai enduré quand j'te croyais mort? TU SAIS OU PAS ?! Putain mais ! Mais comment t'as pu me faire ça ! Comment t'as pu décider à ma place ! Jugé ce qui était bon ou pas pour moi ! Je t'ais présenté à mon père, à ma famille ! COMMENT T'AS PU !?

Aymene: J'ai fait ça pour toi.

Moi: NAN ! Si tu l'as fait c'est pour toi ! Car moi je n'ais rien gagné de bon dans toute cette histoire. Tu m'as détruite Aymene. J'me suis relevé seule. Tu reviens pour me dire que tu repart encore une fois ! M'as-tu seulement aimé au moins un jour de ta vie ?

Aymene: Pf je t'ais jamais aimé bien sûre ! Aprés tout c'que j'ai fait pour toi comment tu peux pensé ça? Tu sais quoi Myriam regarde nous on se dispute déjà, on se comprendra jamais. Laisse tombé j'me barre

Moi: Aymene si tu pars...

Aymene: Si je pars quoi? Hein? C'est terminé Myriam. J'te souhaite tout le bonheur du monde wallah t'es une femme en or, mais t'es pas faites pour moi. Tu trouvera l'homme de ta vie, ais confiance en Dieu.

J'me suis mise à pleurais... Aymene s'est approché de moi et m'as serré dans ses bras.

Aymene: C'est la dernière fois que j'te serre dans mes bras, Myriam rentre chez toi réfléchis à tout c'que je t'ais dis et tu verra tu t'dira que j'avais raison. T'es belle, t'es droite et forte j'sais que t'aura un homme un vrai qui fera de toi une femme heureuse.

Aymene me relâche et s'en va.

Moi: Si tu t'en vas c'est pour la vie Aymene ! Réfléchis bien à c'que tu fais.

Aymene me lance un regard plein de compassion et sourit. Il baisse les yeux et s'en va me laissant seule en larmes.

J'me suis assise dans les escaliers, je pleurais j'étais anéantie. Je n'osait pas rentré chez moi en larmes comme ça, j'en peux plus d'affiché se visage triste devant ma mère. Je suis au plus bas j'appel Adam, j'ai envie de le voir lui et lui seul !

Adam: Ca va pas?

Moi: Non Adam vient me cherchais stp (en larmes)

Adam est venu me cherchais je suis monté avec lui, sur la route je faisait que de pleurais. Et j'lui est tout déballé. Adam était dégouté pour moi...

Adam: Ah ouais tu dois être au plus bas.

Moi: Mais tellement ! Il m'as tué se mec il m'as bousillé !

Adam: Putain wallah j'sais pas quoi te dire. Tu devra te faire une raison. Il regrettera, si il est pas déjà en train de regretter.

Moi: Je m'en fiche qu'il regrette !

Adam: Vois le bon côté des choses... Il est en vie. Laisse lui le temps d'se remettre les idées en place.

Moi: T'as raison. Puis j'ai supporté sa "fausse" mort une fois je pourrais supporté qu'il s'en aille une seconde fois. Il à raison je croit que c'est perdu d'avance lui & moi j'ai juste besoin de pleurais pour allé mieux

Adam: Je comprends, tiens un mouchoir.

Moi: Merci...

Je pleurais, Adam me laissé pleurais il savait que j'en avais besoin. Je ne me senté pas frustré à ces côtés j'étais libre de pleurer en paix. Personne pour me dire d'arrêter, ou tenter de me consolé avec des mensonges du genre "il va revenir" le genre de phrases qui aident pas !

En rentrant chez moi le soir j'ai croisé Aymene ont ne s'est pas regardés. Ca y est j'ai compris y'a plus d'amour maintenant je laisse place à la Haine !

Bizarre comme la vie est pleine de surprises, nous qui pensions que ce serait pour la vie. Fallait nous voir à cette periode la guerre était déclaré. C'était à celui qui allait faire le plus de mal à l'autre !