J'ai frôlé la mort

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La Mort vient me hanter même dans mon sommeil,

Jusqu'au plus profond de mes songes, elle est mon rayon de soleil.

J'ai senti mes battements de cœur lâcher petit à petit,

Elle était là juste devant moi, me rongeant les entrailles avec appétit.


Mes appels à l'aide, inaudibles sous les lourds décombres,

Je me meurs, il n'y a personne pour me répondre.

Ils m'ont tous abandonné, j' accueille la faucheuse à bras ouvert,

Apaise mes douleurs, libère moi de ce monde dans lequel j'ai tant souffert !


La Mort ne m'a malheureusement pas englouti entièrement,

L'heure de mon trépas n'a pas encore sonné apparemment.

Mes angoisses quotidiennes sont surement auteures de mes illusions,

Pourtant si réalistes, me mettant dans une grande confusion.

Poèmes d'un.e dépressivWhere stories live. Discover now