Texte n°7 - Le libre sonnet déchiré
Couleur d'iris indéterminée,
Un pauvre coeur laminé,
Incertitude vexante et musicale,
Émotions transformées en pétales ;
Deux jours que le fardeau est là,
Que rien ne s'exprime et que l'univers est las,
Joie en brasier tortionnaire,
Ses souvenirs tuent, la mémoire ne peut se taire ;
Reviens, ô toi qui as causé la plénitude,
Qui as si bien ensorcelé un néant de marbre,
Ô toi qui as si bien engendré la solitude !
Tu songes à ce qui te dérange,
Tu décortiques et tu démembres,
Mais pour tout trouver tu me fais me perdre en échange !
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Textes En Vrac
RandomTout est dans le titre. Enfin presque tout. Attendez-vous à lire n'importe quoi. Pas grand chose d'heureux, parce qu'il me semble que la littérature n'est pas ce qu'il y a de plus joyeux. Je crois que les gens amoureux des mots sont aussi amoureux d...
